A l'appui de ce que dit Matrok, je dirais que pour qu'il y ait adaptation au milieu, il faut implicitement que le milieu change, sans changements, lents ou brutaux, pas d'évolution. Que la chute d'uné météorite (sans préjuger de sa réalité à la fin du crétacé) fasse disparaitre des centaines d'espèc...