la poussée de l'EG aux pays bas

Dans le monde...

Message par meichler » 25 Nov 2006, 11:51

Que les travailleurs, la population laborieuse (une partie en tout cas), aient cherché en votant pour le SP, à exprimer leur volonté (confuse) de rompre avec la politique de gestion de la décomposition capitaliste (celle des "libéraux" comme celle des social-démocrates), et de liquidation des acquis sociaux, ça me paraît clair. Ce devrait être mis en relation avec les luttes de classes qui se sont développées dans ce pays ces dernières années.

Mais que le "PS" offre la moindre issue politique pour les travailleurs néerlandais, c'est une tout autre histoire. Son programme demeure entièrement dans le cadre de la gestion du capitalisme. Ils ne peuvent être que la roue de secours de telle ou telle coalition bourgeoise, ou bien l'opposition parlementaire impuissante et démoralisante pour les masses. Ces dernières ont fait ce qu'elles ont pu avec ce qu'elles avaient, dans ces élections. Une partie non négligeable s'est saisie du bulletin de vote "PS". mais ça n'ouvre hélas aucune issue politique de classe.

Bien d'accord avec Puig là dessus :

a écrit :On aurait tort de se réjouir, donc, de la montée de ce parti nationaliste de gauche, qui est plus un élément de confusion dans la conscience de la classe plutôt qu'un outil pour montrer son rejet de la classe politique bourgeoise.
«Ni rire ni pleurer, comprendre.»

(Baruch SPINOZA)
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Message par Puig Antich » 25 Nov 2006, 13:23

D'accord avec meichler et zea sur la présentation de libération ; certainement le vote SP est un vote en partie de classe contre la casse sociale. Mais néanmoins, pour appuyer ce que je disais plus haut :



a écrit :Votez pour des expulsions civilisées, votez pour le SP !

De Fabel van de illegaal n° 57, mars/avril 2003

Eric Krebbers

Aujourd’hui une petite dose de racisme semble admise à gauche. De plus en plus de militants votent pour le Socialistische Partij (SP, Parti socialiste) aux Pays-Bas, adhèrent à ce parti ou deviennent même candidats aux élections pour ce groupe. Les positions de cet ex-organisation maoiste sont effectivement plus progressistes, sur de nombreux points, que celles de la plupart des autres groupes, mais pas quand il s’agit des réfugiés ou des immigrés. Tout comme les partis de droite, le SP prône une politique de fermeté contre « certains groupes de jeunes immigrés » et ne proteste pas contre le véritable apartheid administratif instauré par la loi sur la fusion des données informatiques qui permet de priver les sans-papiers de tous les services gouvernementaux. « Les sans-papiers et les réfugiés déboutés du droit d’asile doivent quitter les Pays-Bas », déclare « Première rue à gauche », le programme d’action du SP pour les années 2003-2007.

La dernière campagne électorale a commencé le 8 janvier 2003 par un débat télévisé entre les chefs des partis politiques. Le dirigeant du SP, Jan Marijnissen, a essayé de battre Mat Herben (le leader d’extrême droite de la Liste Pym Fortuyn) en employant des arguments populistes hostiles à l’immigration. « Nous devons obliger encore plus les gens à s’intégrer », a déclaré Marijnissen, suggérant que les immigrants et les réfugiés ne désirent pas suffisamment s’adapter. Bien qu’il ait reconnu que les Pays-Bas ne sont pas encore surpeuplés, il a averti que cela arriverait un jour si des mesures drastiques n’étaient pas prises. « Nous ne pouvons pas accepter de réfugiés économiques aux Pays-Bas. Si nous les laissions entrer, les Pays-Bas seraient envahis en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. » C’est pourquoi, selon lui, les expulsions sont nécessaires. « Je suis d’accord pour que l’on expulse les sans-papiers. Mais ne pourrions-nous pas le faire de façon un peu plus civilisée ? », a-t-il ajouté pour les électeurs de gauche. Des expulsions « civilisées », kezaco ?

L’appareil de contrôle de l’immigration

Certaines des mesures préconisées par le programme d’action du SP sont très positives. Le SP écrit que les sans-papiers ont droit à l’aide médicale et que les réfugiées et les immigrantes qui sont victimes de violences conjugales devraient obtenir un permis de résidence spécial pour raisons humanitaires. Le SP défend aussi l’attribution de cartes de séjour à tous les travailleurs sans-papiers qui ont payé des impôts avant la loi sur le regroupement des données informatiques votée en 1998, et à tous les réfugiés qui se trouvaient déjà depuis trois ans dans des camps de réfugiés néerlandais le 1er avril 2001, quand la nouvelle loi sur les étrangers a été introduite. Mais même si ces mesures sont très importantes pour les personnes concernées, elles ne visent qu’à arrondir les angles d’une politique répressive contre l’immigration. Dans aucun point de son programme d’action, le SP ne critique les fondements des politiques migratoires. Le SP souhaite placer les réfugiés dans des centres d’accueil « régionaux » (1) et empêcher les immigrants d’entrer aux Pays-Bas ; ce parti est favorable à la sélection des immigrés ; il veut rejeter certains réfugiés, ainsi qu’exclure et expulser les sans papiers.

Quand un parti politique soutient de telles mesures et est hostile à l’ouverture totale des frontières, il choisit aussi de soutenir toutes les institutions et les règlements dont les Etats ont besoin pour appliquer leur politique migratoire, par exemple les contrôles aux frontières et les centres de détention des expulsés. Les réfugiés et les immigrés essaient évidemment d’échapper à cet appareil de contrôle et sont donc toujours victimes de la répression, quand ils traversent illégalement les frontières, quand on les jette en prison et quand on les expulse. De tels résultats sont inévitables, même si le SP souhaite que cela se passe de manière "civilisée". Les antiracistes chercheront en vain, dans le programme d’action du SP, des propositions d’action contre le racisme. C’est comme si le racisme n’existait pas aux yeux du SP. Mais cela n’empêche pas ce parti de reprendre à son compte, dans ce texte, les préjugés racistes actuelement les plus populaires contre les immigrés.

Le plus important de ces préjugés étant que les immigrés ne font pas suffisamment d’ efforts pour s’intégrer. Selon le SP, c’est « l’échec de l’intégration » qui affaiblirait la « solidarité entre les immigrés et les Néerlandais ». C’est pourquoi le SP critique le climat hostile aux immigrés créé par... les immigrés eux-mêmes ! En d’autres termes : les victimes du racisme seraient elles-mêmes responsables du racisme. C’est pourquoi toutes les mesures proposées par le SP ne visent que les immigrés. Ce parti veut exiger davantage des nouveaux arrivants, « comme par exemple de mieux maîtriser la langue et de participer à des stages ». Le SP veut forcer les immigrés à suivre des cours de langue et d’intégration dans leur pays d’origine afin "d’atteindre le niveau que le gouvernement néerlandais exige d’eux".

Enfin, le programme du SP reprend à son compte un autre préjugé raciste très répandu : la criminalité serait pire lorsqu’elle serait le fait d’immigrés. Dans une période politique où la droite populiste donne le ton aux Pays-Bas, le SP ne s’intéresse plus à la criminalité elle-même, mais à l’origine ethnique de ceux qui contreviennent aux lois. Le parti participe ainsi au débat monté en épingle par les médias sur la "sécurité" et veut même imposer des mesures spéciales plus sévères contre les immigrés. "La lutte contre la criminalité et les problèmes spécifiques causés par certains jeunes immigrés doit devenir plus pratique et performante. Il pourrait être utile d’établir des profils types des délinquants" et de "disséquer le noyau dur des récidivistes". Le fait de classifier les délinquants selon leur nationalité ne sert qu’un seul objectif : le racisme. En posant les problèmes de cette façon, le SP contribue à détériorer encore davantage l’image des travailleurs immigrés.

« Travailleurs invités et Capital »

Durant les débats sur l’intégration, Marijnissen, secrétaire général du SP, s’est régulièrement vanté du fait que le SP « avait été le premier à souligner ces problèmes » dans « Travailleurs invités et Capital », un rapport publié au printemps 1983. A l’époque, Marijnissen lui-même avait participé à sa rédaction. Bien que ce texte soit totalement raciste, le SP ne prend pas ses distances par rapport à lui. Selon ce document, les immigrés contribuent à affaiblir les luttes des travailleurs. A cause de leur culture musulmane « arriérée » les travailleurs immigrés auraient une attitude servile envers leurs patrons. « Les Néerlandais ont beaucoup de mal à travailler et vivre ensemble avec leurs collègues étrangers à cause des différences de développement et de culture. » L’attitude négative de nombreux Néerlandais serait donc compréhensible, selon ce texte. De plus, d’après le rapport en question, on peut pas appeler ce genre d’attitude de la discrimination : « La ’discrimination’ est probablement le seul mot néerlandais qu’apprennent presque tous les étrangers. Nous ignorons s’ils en connaissent ou pas le sens. De toute façon, ils l’ont entendu tant de fois dans la bouche de travailleurs sociaux, sans doute bien intentionnés, qu’ils ont commencé à l’utiliser eux-mêmes, à tort ou à raison, dans toutes les situations qu’ils rencontrent. »

Ce rapport abordait aussi les « problèmes » posés par le regroupement familial. Mais il ne mentionnait pas les maisons délabrées dans lesquelles les immigrées étaient obligées de vivre, ni le racisme et l’exploitation qu’elles subissaient. A l’époque, le SP ne s’intéressait qu’aux « problèmes » qu’« elles » posaient. Les preuves apportées se réduisaient à des commérages de voisins. Le rapport mentionnait à de nombreuses reprises des anecdotes concernant des abattages rituels, des machines à laver qui fuyaient et des toilettes cassées. « Ces femmes ne veulent pas vraiment apprendre notre langue », prétendait le SP. Et à cause de la « forte densité de population dans notre pays » le parti voulait obliger les immigrés à choisir : « Soit ils deviennent des citoyens hollandais au bout de quelques années - nous proposons deux ans - soit ils rentrent chez eux après une période de même durée. »

Marijnissen et ses amis pensaient offrir aux immigrés 75 000 florins pour partir (soit 225 000 francs de 1983). Bien sûr, à l’époque, toutes les autres tendances de gauche avaient sérieusement critiqué le SP pour sa collaboration à ce rapport raciste (2).

Formulations et contenu

Certains des militants de gauche qui ont depuis lors rejoint le SP ne s’inquiètent pas de ce racisme, mais ce n’est pas le cas de tous. Par exemple, durant un débat électoral organisé le 18 janvier 2003 à EuroDusnie, Krista van Velzen, militante et députée du SP, a déclaré qu’elle n’appréciait pas les formulations du rapport de 1983 mais... qu’elle approuvait son contenu ! Hans vanHeijningen, candidat du SP, a récemment reconnu, dans le magazine militant Ravage, que les positions du SP en matière d’immigration lui posaient quelques problèmes. Il est personnellement favorable à l’ouverture des frontières, mais, selon lui, son parti a peur de se retrouver devant une « situation incontrolâble ». Que ferait Hans van Heijningen si le SP parvenait au pouvoir et trouvait chargé de la politique migratoire ? A cette question il a répondu : « Heureusement je ne fais pas partie des cercles du parti qui prennent des décisions sur de tels sujets (3) » !

1. Ces centres seraient situés à promixité des pays dont viennent les réfugiés, ou dans un Etat situé non loin des frontières de l’Europe (la Lybie, par exemple, est volontaire pour ce rôle de geôlier humanitaire) ; inutile de dire que les conditions de vie y seraient encore plus précaires que dans l’UE. De plus, ces lieux serviraient de « centres de tri » pour sélectionner ceux qui seraient « admissibles » sur le sol européen (NdT).

2. En 1983 et en 1994 de nombreuses discussions ont eu lieu sur le racisme du SP. La bibliothèque de De Fabel possède une vaste documentation à ce sujet. On peut aussi lire l’article de Gerrit de Wit "’SP’ruitjeslucht" (littéralement "Le SP sent les choux de Bruxelles" ; c’est-à-dire "Le SP pue le nationalisme") dans Fabel Archive sur Internet - en néerlandais.

3. "Armoedeprobleem verdient een offensieve benadering", ("Le problème de la pauvreté mérite une approche offensive"). Alex van Veen, Ravage 1, 10.1.2003.
Puig Antich
 
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Message par Indesit » 27 Nov 2006, 12:49

(Puig Antich @ samedi 25 novembre 2006 à 01:37 a écrit :Oui, c'est un parti particulièrement réactionnaire et anti-immigrés.

a écrit :Oui, c'est un parti particulièrement réactionnaire et anti-immigrés.


L'un de mes maîtres à penser disait qu'il fallait toujours aller au texte original...

parmi les douze points de leur programme le dixième est consacré au "beter integreren" ou "mieux intégrer". Ci-dessous l'introduction, suivie de ma traduction ;

Je précise que "allochtone", mot très employé dans la vie politique et sociale des pays néerlandophones, n'est pas synonyme d'immigré mais de "immigrés et d'origine immigrée".


Beter integreren

Oude en nieuwe Nederlanders

Uit de hele wereld zijn mensen naar ons land gekomen om er te werken, om zich te verenigen met hun familie, of omdat zij hun leven in hun eigen land van oorsprong niet zeker zijn. Bijna 20 procent van onze bevolking is ‘allochtoon’, van wie meer dan de helft ‘niet-westers allochtoon’. Hún waardering voor onze samenleving is gemiddeld hoger dan de waardering van ‘autochtone’ burgers, die hier hun wortels hebben. Als het gaat om de beoordeling van de persoonlijke situatie, ligt de verhouding echter omgekeerd en zijn ‘autochtonen’ meer tevreden. Dat is te begrijpen, want veel allochtone burgers kampen met een sociaal-economische achterstand. Ook culturele en religieuze verschillen maken het mensen van buiten lang niet altijd eenvoudig om een plekje in onze samenleving te verwerven. In Nederland moet iedere inwoner gelijkwaardige kansen krijgen. Dat is een voorwaarde om met elkaar te kunnen samenleven. Het beleid van opeenvolgende regeringen heeft de samenleving eerder verbrokkeld dan bijeengebracht en de bereidheid tot samenleven ondermijnd. Dat moet in de komende kabinetsperiode anders.


Traduction perso en bon français :

MIEUX INTEGRER
Anciens et nouveaux néerlandais
Du monde entier sont venus des hommes vers notre pays pour y travailler, pour y regrouper leur famille, ou parce qu'ils craignaient pour leur vie dans leur pays d'origine. Presque 20 % de notre population est "allochtone" et parmi eux plus de la moitié est "allochtone non-occidentale". Leur jugement de notre cohabitation est en moyenne plus élevée que celle des citoyens "autochtones" qui ont leurs racines ici. Pour ce qui est du jugement sur la situation personnelle le rapport est inversé et les "autochtones" sont plus satisfaits. Il faut le comprendre car de nombreux citoyens allochtones font face à un retard socio-économique. Les différences culturelles et religieuses rendent plus compliquée pour les hommes de l'étranger de faire leur place dans notre communauté. Aux Pays-Bas, chaque habitant doit bénéficier d'une égalité des chances. C'est une condition pour cohabiter les uns avec les autres. La prudence des gouvernements successifs rendu plus difficle la cohabitation et fait diminuer la promptitude à cohabiter. Au cours de la prochaine législature, cela doit changer.

Suit un laïus sur la nécessité de vaincre lela ségrégation, d'assurer l'égalité des chances, d'humaniser les centres d'accueil de réfugiés, etc... C'est un peu long pour tout traduire.

Alors certes ce langage est un langage très social-démocrate qui n'a rien à voir avec ce que LO en dirait, mais on ne peut certainement pas taxer le SP de racisme ou je ne sais quoi dans le genre !

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Message par regivanx » 27 Nov 2006, 14:58

Comme quoi on peut traduire un texte qu'on ne comprend pas... Une nouvelle traduction est nécessaire, car tout le monde ne connait pas le canne-langue (la langue de faire coin-coin comme un canard).

Je dois dire que la traduction du canne-langue au bon Français est toujours difficile à cause des principes de base de cette langue. En effet, il est obligatoire de faire comprendre, à travers un même texte, au moins deux opinions contradictoires.

Tout ce paragraphe est une sorte de description très réservée de la question des immigrés au Pays-Bas, sans aucun contenu explicite. La seule promesse que nous fait ce parti, c'est qu' « Au cours de la prochaine législature, cela doit changer ». Dans quel sens, c'est bien la question qu'on peut se poser.

On pourrait comprendre que le parti socialiste des Pays-Bas va ouvrir ses frontières à l'immigration, donner du travail qualifié aux étrangers, leur offrir de bons logements, des loisirs, une formation...

Mais franchement, vous y croyez ? Est-ce ce langage-là qu'emploierait un parti qui aurait véritablement l'intention d'établir l'égalité ? Un langage comme : « allochtone non-occidentale », « retard socio-économique »... La « cohabitation » pour bien signifier qu'il n'y aura jamais d'intégration, jamais de mélange... La « communauté » des Pays-Bas dans laquelle on ferait une « place » aux étrangers... Que signifie condamner la « prudence » des anciens gouvernements ? Que le parti socialiste suivra la même politique mais d'une manière encore plus dur.

Voilà ce que signifie réellement leur programme :

a écrit :« De nombreux étrangers sont venus dans notre pays sans l'intention d'y travailler. Ils sont déjà 20%, c'est à dire une personne sur cinq ! De plus la moitié d'entre eux ne sont pas blancs. Ils croient qu'ils sont les bienvenus cher nous, mais nous, on n'est pas d'accord. En plus, ils ne sont pas content de leur situation dans notre pays. Ce sont des pauvres. On veut pas de bougnoules ni d'intégristes aux Pays-Bas ! Au pays-bas, il faut être comme les autres, sinon, tu retournes dans ton pays ! Les anciens gouvernements n'ont pas été assez dur avec les immigrés pour les forcer à rester à leur place, et ils ont même laissé s'échapper quelques éléments de révolte parmi eux. Au cours de la prochaine législature, cela doit changer. »


pour plus de précisions sur le canne-langue, lisez George Orwell : politics and the English language
regivanx
 
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Message par MadMaxIII » 28 Nov 2006, 16:17

Parler d' "égalité des chances " ça aussi c'est franchement craignos...
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Message par Indesit » 29 Nov 2006, 08:54

(MadMaxIII @ mardi 28 novembre 2006 à 16:17 a écrit :Parler d' "égalité des chances " ça aussi c'est franchement craignos...



Non, c'est social-démocrate...
Indesit
 
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Message par MadMaxIII » 30 Nov 2006, 12:51

Traditionnellement c'est quand même une notion de droite...
MadMaxIII
 
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Message par MadMaxIII » 01 Déc 2006, 14:32

Tout à fait d'accord :yes:
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