Encore un article crapuleux sur Chavez

[Edgar]

Je me demande quand même pourquoi les ouvriers vénézueliens sont si indifférents à l'amour que leur porte leur bon leader. 75% d'abstention aux dernières élections, quand même, je n'appelle pas ça être populaire.

[Barikad]

Je me demande quand même pourquoi les ouvriers vénézueliens sont si indifférents à l'amour que leur porte leur bon leader. 75% d'abstention aux dernières élections, quand même, je n'appelle pas ça être populaire.
Si tu veux discuter de la politique de Chavez, il existe dejà de nombreux fils sur le sujet. J'avais ouvert ce fil pour denoncer les campagnes d'intox de la presse et des medias (qui mentent) contre Chavez.
Et comme tu n'as pas eu encore un seul mot pour t'associer à cette denonciation, reservant ton fiel à Chavez et accesoirement à l'extreme gauche, on pourrait considerer que tu hurles avec les loups, pour utiliser une expression consacrée.

[Crockette]

d'accord avec Barikad nous sommes nous mêmes conditionnés (ensuite chacun l'est à tel ou tel degré ça depend de sa culture) par ce que les médias européens nous servent tous les jours...

le reportage dont je parlai qui est passé sur canal +, des potes au boulot l'ont vu, eux qui votent à gauche, m'ont dit que CHAVEZ s'était transformé en dictateur, que c'est dégeulasse que les gens doivent s'enfermer chez eux pour échapper aux policiers motards etc. etc.

le bourrage de crâne a commencé... :dry:

[jeug]

D'un côté, on n'empêchera jamais la réaction d'attaquer, et de manière virulente, ceux qui s'en prennent d'une quelconque manière aux privilèges des nantis.
Et donc de crier à la dictature, même si Chavez était le simple rapporteur de la plus démocratique des organisations de type comité national représentant des comités locaux de représentants du peuple dans un pays où le pouvoir appartiendrait aux travailleurs. Mais au moins, si c'était le cas, on aurait des arguments pour le défendre vis à vis de cette attaque-là.

D'un autre côté, avec le Chavez en place, on sait que ce n'est pas le cas.
On n'a donc pas de raison, au-delà de dénoncer l'hypocrisie de l'argument, de défendre Chavez sur ce terrain.
S'il le souhaitait vraiment, Chavez aurait peut-être les moyens d'impulser une vraie démocratie ouvrière et paysanne.