a écrit : Plus de Figaro
FIL D'INFOS
01/06/09 10:53
General Motors et Citigroup quittent le Dow Jones
Le titre du constructeur automobile a cessé de s’échanger à la Bourse de New York lundi soir. Citigroup, l’ex-star déchue de la finance quitte également l’indice. Tous deux seront remplacés par Travelers et Cisco.
Après avoir déposé lundi son bilan, se plaçant du coup sous la protection du Chapitre 11 du Code des faillites, les choses s’enchaînent à un rythme frénétique pour l’ancien premier constructeur automobile mondial. Le New York Stock Exchange (NYSE) a en effet annoncé qu’il suspendrait la cotation de General Motors lundi soir, alors qu’il en était une composante phare depuis 1925. C’est la fin d’une époque. Les responsables du Nyse ont notamment «noté l’incertitude quant au calendrier et l’issue du redressement judiciaire» du groupe automobile. Robert Thomson, le directeur éditorial du Wall Street Journal et éditeur en chef du groupe Dow Jones, estime que « l’état pitoyable » de GM ne laisse pas d’autre choix, un dépôt de bilan disqualifiant « immédiatement un titre quelle que soit l’histoire de la société ou son rôle en tant qu’icône culturelle ». Le 8 juin, GM sera remplacé dans l’indice vedette de New York, le Dow Jones, par le fabricant de routeurs internet Cisco. Autre bouleversement majeur pour le constructeur, la fermeture de 14 sites industriels majeurs d’ici 2012. Dans un communiqué diffusé peu après l’annonce de son dépôt de bilan, GM indique que les usines du groupe passeront de 47 en 2008 à 34 à la fin 2010 et à 33 d’ici 2012. D’ici la fin décembre, GM va également mettre un terme à l’activité de trois centres de distribution de pièces détachées. Il s’agit des sites de Boston (Massachusetts, nord-est), de Columbus, dans l’Ohio (nord) et de Jacksonville, en Floride (sud-est).
Le Dow Jones renonce également à Citigroup
L’institution financière Citigroup accompagnera GM vers la sortie. Après avoir fait état de pertes colossales en début d’année, le groupe est « en plein milieu d’une restructuration considérable qui va voir le gouvernement détenir une participation importante et durable » en son sein, comme l’expliquait Robert Thomson. En conséquence, l’entreprise sera retirée de la côte en même temps que le constructeur automobile. Son successeur n’est autre que l’assureur Travelers, une de ses anciennes filiales.
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Un vent de panique s'abat sur l'économie
par nicoestla » 04 Juin 2009, 10:08
- nicoestla
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par nicoestla » 11 Juin 2009, 12:06
Et le petrole recommence son ascension
La hausse se confirme depuis plusieurs semaine. Le baril est passé de 30/38 dollars a 72. Donc, ca va recommencer.
D'abord le petrole, puis les produits alimentaires et apres un 2eme crack des bourses... et pendant ce temps, les economies des pays s'effondrent !!!
http://www.boursorama.com/graphiques/graph...?symbole=CLJL09
La hausse se confirme depuis plusieurs semaine. Le baril est passé de 30/38 dollars a 72. Donc, ca va recommencer.
D'abord le petrole, puis les produits alimentaires et apres un 2eme crack des bourses... et pendant ce temps, les economies des pays s'effondrent !!!
http://www.boursorama.com/graphiques/graph...?symbole=CLJL09
- nicoestla
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par nicoestla » 25 Juin 2009, 20:00
En ce moment, les marchés semblent se maintenir... "on" est dans une toute petite tendance haussière sans volume qui se stabilise vers les 3150/3200 pts. Aucune vraie reprise en vue pour les investisseurs. Pour le moment c'est le calme avant....
- nicoestla
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- Inscription : 10 Avr 2007, 13:06
par zejarda » 25 Juin 2009, 21:15
(pangloss @ jeudi 25 juin 2009 à 12:40 a écrit : Mais il a insisté dans le même temps sur la nécessité de réduire les déficits, et a jugé que le moyen le plus efficace d'y parvenir serait de tailler dans les dépenses publiques, "peut-être par une nouvelle diminution du poste des salaires des fonctionnaires" ou un "meilleur ciblage" des aides sociales.
Strauss-Kahn à l'œuvre. Cela ressemble à du Sarkozy, pour ceux qui aurait encore des doutes.
- zejarda
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par Vérié » 02 Sep 2009, 08:47
Pour sourire un peu. 
La crise est finie (1934) http://www.youtube.com/watch?v=7z2Xv1a4AOY...player_embedded
A quand un remake sur des paroles de Lagarde, Strauss Kahn et Rocard ?
La crise est finie (1934) http://www.youtube.com/watch?v=7z2Xv1a4AOY...player_embedded
A quand un remake sur des paroles de Lagarde, Strauss Kahn et Rocard ?
- Vérié
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par erou » 05 Sep 2009, 20:02
Certains plutôt au NPA, contrairement à Trotsky, pensent que les forces productives continuent leur belle croissance, notamment grâce à l'explosion de la productivité
A propos de la productivité, un petit problème: 5 travailleurs et un robot pas encore au point . La production totale est de 100, soit une productivité du travail de 20 pour un temps de travail donné; puis le robot marche et à lui seul, ( plus le travailleur qui le contrôle)pendant le même temps de travail, il produit 200, soit à 2 ( un homme+une machine) une productivité de 100.
La productivité quintuple, il y a 4 chômeurs et une production impossible à consommer par manque de pouvoir d'achat.
En ce moment de crise économique aigüe, la productivité explose. comment ? par le chômage massif : on produisait 100 à 10, on produit 90 (récession actuelle) à 6. D'où l'urgence de la socialisation de l'économie et dans cette voie l'urgence de l'unité pour l'interdiction des licenciements.
Rappelons que pour Marx, Trotsky, la principale force productive c'est l'homme au travail
Par forces productives, au sens de Marx, il faut entendre la capacité d'enrichissement social, le développement de la civilisation humaine permis par l'ensemble des éléments qui concourent à un moment donné à déterminer la productivité du travail social, c'est-à-dire les ressources naturelles, les instruments de production au sens large (« travail mort » lui aussi résultant du « travail vivant »), la connaissance scientifique, le niveau technologique, culturel… De tous les instruments de production, "le plus grand pouvoir productif c'est la classe révolutionnaire elle-même" explique Marx dans "Misère de la philosophie".
'C'est le travail de l'homme qui donne aux ressources naturelles, aux instruments de production leur caractère de forces productives de l'humanité
il est vrai que de plus en plus de forces productives se transforment en forces destructives (non créatrices de valeurs d’usage aptes à satisfaire des besoins humains, individuels et collectifs), et que de plus en plus de forces productives sont purement et simplement détruites ; Marx utilise les termes de "forces destructrices" dans "l'idéologie allemande".
S'il est incontestable qu' en 1945 un marché mondial, une division internationale du travail se sont reconstruits, qu'un accroissement très important des moyens de production, de la production elle-même, qu'une accumulation importante du capital ont eu lieu,"Comment peut-on faire le bilan des 50 dernières années en oubliant les 50 millions de morts qu'a coûtés la 2ème guerre mondiale, en oubliant Auschwitz, Hiroshima, les millions de morts des guerres coloniales depuis 1945, l'hécatombe des seuls enfants morts de faim et de maladies facilement guérissables ? Et plus loin… "les 50 millions de chômeurs dans les pays capitalistes développés, ainsi que les millions de « nouveaux pauvres », les centaines de millions de chômeurs dans le tiers monde, une chute des revenus réels d'au moins 10 %, du prolétariat occidental…".
On pourrait ajouter les millions d'emplois précaires, la remise en cause des avantages sociaux, l'énorme endettement des pays du "tiers monde", la destruction de l'agriculture alors que des centaines de millions souffrent de faim, les guerres "locales", la destruction de la nature par les pollutions de toutes sortes, le parasitisme financier… la liste est loin d'être close ! La civilisation humaine, globalement progresse-t-elle ? Peut-on la confondre avec l'invention de l'ordinateur et du portable ?
Quand Trotsky écrivait "les forces productives ont cessé de croître", il le faisait pour toute une période historique commençant en gros avec la guerre 1914/18, et non pas de façon conjoncturelle. Dans une préface à l'édition en langue Africaan du Manifeste du PC de Marx et Engels, Trotsky en 1937, parle de la transformation du capital de système réactionnaire relatif en système réactionnaire absolu.
Comment peut-on penser qu'on fonde une nouvelle Internationale sur un programme conjoncturel!
A propos de la productivité, un petit problème: 5 travailleurs et un robot pas encore au point . La production totale est de 100, soit une productivité du travail de 20 pour un temps de travail donné; puis le robot marche et à lui seul, ( plus le travailleur qui le contrôle)pendant le même temps de travail, il produit 200, soit à 2 ( un homme+une machine) une productivité de 100.
La productivité quintuple, il y a 4 chômeurs et une production impossible à consommer par manque de pouvoir d'achat.
En ce moment de crise économique aigüe, la productivité explose. comment ? par le chômage massif : on produisait 100 à 10, on produit 90 (récession actuelle) à 6. D'où l'urgence de la socialisation de l'économie et dans cette voie l'urgence de l'unité pour l'interdiction des licenciements.
Rappelons que pour Marx, Trotsky, la principale force productive c'est l'homme au travail
Par forces productives, au sens de Marx, il faut entendre la capacité d'enrichissement social, le développement de la civilisation humaine permis par l'ensemble des éléments qui concourent à un moment donné à déterminer la productivité du travail social, c'est-à-dire les ressources naturelles, les instruments de production au sens large (« travail mort » lui aussi résultant du « travail vivant »), la connaissance scientifique, le niveau technologique, culturel… De tous les instruments de production, "le plus grand pouvoir productif c'est la classe révolutionnaire elle-même" explique Marx dans "Misère de la philosophie".
'C'est le travail de l'homme qui donne aux ressources naturelles, aux instruments de production leur caractère de forces productives de l'humanité
il est vrai que de plus en plus de forces productives se transforment en forces destructives (non créatrices de valeurs d’usage aptes à satisfaire des besoins humains, individuels et collectifs), et que de plus en plus de forces productives sont purement et simplement détruites ; Marx utilise les termes de "forces destructrices" dans "l'idéologie allemande".
S'il est incontestable qu' en 1945 un marché mondial, une division internationale du travail se sont reconstruits, qu'un accroissement très important des moyens de production, de la production elle-même, qu'une accumulation importante du capital ont eu lieu,"Comment peut-on faire le bilan des 50 dernières années en oubliant les 50 millions de morts qu'a coûtés la 2ème guerre mondiale, en oubliant Auschwitz, Hiroshima, les millions de morts des guerres coloniales depuis 1945, l'hécatombe des seuls enfants morts de faim et de maladies facilement guérissables ? Et plus loin… "les 50 millions de chômeurs dans les pays capitalistes développés, ainsi que les millions de « nouveaux pauvres », les centaines de millions de chômeurs dans le tiers monde, une chute des revenus réels d'au moins 10 %, du prolétariat occidental…".
On pourrait ajouter les millions d'emplois précaires, la remise en cause des avantages sociaux, l'énorme endettement des pays du "tiers monde", la destruction de l'agriculture alors que des centaines de millions souffrent de faim, les guerres "locales", la destruction de la nature par les pollutions de toutes sortes, le parasitisme financier… la liste est loin d'être close ! La civilisation humaine, globalement progresse-t-elle ? Peut-on la confondre avec l'invention de l'ordinateur et du portable ?
Quand Trotsky écrivait "les forces productives ont cessé de croître", il le faisait pour toute une période historique commençant en gros avec la guerre 1914/18, et non pas de façon conjoncturelle. Dans une préface à l'édition en langue Africaan du Manifeste du PC de Marx et Engels, Trotsky en 1937, parle de la transformation du capital de système réactionnaire relatif en système réactionnaire absolu.
Comment peut-on penser qu'on fonde une nouvelle Internationale sur un programme conjoncturel!
- erou
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- Inscription : 20 Jan 2007, 20:44
par Crockette » 06 Sep 2009, 22:21
la productivité c'est pas le problème surtout si les travailluers sont secondés par les machines voir remplacés.
la question à se poser : c'est à qui vont les bénéfices de la productivité : pas ds les poches des salariés en ayant par exemple plus de salaires pour moins d'heures de travail hebdo, mais tout cela va ds la poche des capitalistes, les patrons, les fonds de pension, les actionnaires,les banques, et unpeu l'Etat.
tout lemonde se sucre sur le dos de ceux quin'ont que leur force de travail pour vivre...
le fond du problème : le rééquilibrage des pouvoirs ds l'entreprise à 50/50. cela permettra à terme aux travailleurs de s'émanciper des capitalistes et de produire sans eux, mais avt la phase intermédiaire de l'instauration d ecomité de travailleurs sera indispensable.
et plus ces comité seront composés de personnes cultivés et éclairés sur la lutte des classes, plus les patrons arreteront leurs conneries d'évaluation, de licenciements, de délocalisations etc.
la question à se poser : c'est à qui vont les bénéfices de la productivité : pas ds les poches des salariés en ayant par exemple plus de salaires pour moins d'heures de travail hebdo, mais tout cela va ds la poche des capitalistes, les patrons, les fonds de pension, les actionnaires,les banques, et unpeu l'Etat.
tout lemonde se sucre sur le dos de ceux quin'ont que leur force de travail pour vivre...
le fond du problème : le rééquilibrage des pouvoirs ds l'entreprise à 50/50. cela permettra à terme aux travailleurs de s'émanciper des capitalistes et de produire sans eux, mais avt la phase intermédiaire de l'instauration d ecomité de travailleurs sera indispensable.
et plus ces comité seront composés de personnes cultivés et éclairés sur la lutte des classes, plus les patrons arreteront leurs conneries d'évaluation, de licenciements, de délocalisations etc.
- Crockette
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