En attendant que le géant se réveille......

Dans le monde...

Message par Koceila » 03 Sep 2007, 19:43

En attendant que la classe ouvrière sort de sa léthargie; On peut rire un peu:


Un sénateur anti-homo avait fait des proposition dans les toilettes à un flic en civil:

a écrit :Le sénateur républicain Larry Craig démissionne
Par Deanna Darr Reuters - Dimanche 2 septembre, 09h24BOISE, Idaho (Reuters) -


Le sénateur républicain Larry Craig, au coeur d'une affaire de moeurs qui lui a fait perdre le soutien de son parti, a annoncé qu'il allait démissionner du Sénat.

Ce mois-ci, Craig, un sénateur de longue date âgé de 62 ans, avait plaidé coupable de comportement déplacé après son arrestation le 11 juin dans les toilettes pour hommes de l'aéroport St-Paul de Minneapolis. Des policiers étaient intervenus dans ces toilettes en raison de plaintes pour comportements obscènes.

"Aux citoyens de l'Idaho que je représente, à mes collaborateurs, à mes collègues du Sénat, mais avant tout à ma femme et à ma famille, je présente des excuses pour ce que j'ai causé. Je suis profondément désolé", a déclaré Craig lors d'une conférence de presse.

Il a précisé qu'il abandonnerait son mandat le 30 septembre.

Le gouverneur de l'Idaho devra désigner un successeur pour terminer le mandat de Craig, qui vient à expiration l'an prochain. Il devrait choisir un autre républicain, ce qui maintiendrait la proportion de 51 sénateurs démocrates et 49 républicains.

Lors de sa précédente apparition en public mardi, Craig avait nié s'être mal conduit et avait dit ne pas être homosexuel. Il avait expliqué avoir plaidé coupable sans les conseils d'un avocat "dans l'espoir que (cette affaire) prenne fin".

Il a déclaré samedi qu'il avait choisi de démissionner pour pouvoir se défendre. "Je ne peux guère contrôler ce que les gens choisissent de croire, mais laver mon nom est important pour moi et ma famille", a-t-il dit.

Le président George Bush a téléphoné à Craig peu après l'annonce de sa démission pour lui dire qu'il savait à quel point sa décision avait été difficile et lui souhaiter bonne chance, a déclaré Scott Stanzel, porte-parole de la Maison blanche.

Craig a siégé à la Chambre des Représentants de 1981 à 1990, après quoi il a été élu sénateur. Il a voté contre des lois donnant plus de droits aux homosexuels.

Koceila
 
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Message par Koceila » 03 Sep 2007, 19:50

Où sont les surhommes?

a écrit :Irak: Bush évoque une réduction de troupes, les Britanniques se retirent de Bassorah
Par Par Jim MANNION AFP - il y a 35 minutesBASE D'AL ASSAD (AFP) -

Le président américain George W. Bush, qui a effectué lundi une visite surprise en Irak dans une province emblématique pour la Maison Blanche des "progrès" enregistrés, a évoqué une possible réduction de troupes en cas de maintien de ces avancées.


"Le général Petraeus et l'ambassadeur Crocker me disent que si le type de succès que nous connaissons en ce moment (à al-Anbar) se maintient, ce sera possible d'assurer la même sécurité avec moins de troupes américaines", a déclaré le président américain à la presse.

M. Bush qui s'exprimait quelques jours avant que le général David Petraeus, commandant des forces américaines en Irak, et Ryan Crocker, l'ambassadeur des Etats-Unis à Bagdad, ne présentent au Congrès leur évaluation de la situation, n'a pas précisé l'importance, ni le calendrier d'une telle réduction.

Sa visite en Irak intervient le jour même où la Grande-Bretagne, son plus sûr allié, a procédé à un retrait hautement symbolique de la deuxième ville du pays, Bassorah (sud).

Accompagné de la secrétaire d'Etat Condoleezza Rice, M. Bush est arrivé en début d'après-midi sur la base aérienne d'al-Assad, où l'attendaient le secrétaire à la Défense Robert Gates et de hauts responsables militaires.

A 180 km à l'ouest de Bagdad, cette immense base américaine est au coeur de la province d'al-Anbar, un bastion de l'insurrection sunnite qui était autrefois l'un des théâtres d'opération les plus dangereux pour les GI's.

L'armée américaine y met en oeuvre depuis plusieurs mois une stratégie d'alliance avec les chefs tribaux locaux pour lutter contre la branche irakienne d'Al-Qaïda, une tactique qui a permis d'enregistrer "de remarquables succès", selon le conseiller national à la sécurité, Stephen Hadley.

Cette visite survient aussi alors que l'administration Bush doit défendre sa stratégie en Irak devant un Congrès de plus en plus hostile et une opinion publique toujours sceptique quant à une guerre qui a provoqué la mort de plus de 3.700 soldats américains et de dizaines de milliers d'Irakiens.

M. Petraeus, commandant des forces américaines en Irak, et M. Crocker, l'ambassadeur des Etats-Unis à Bagdad, présenteront les 10 et 12 septembre au Congrès leur évaluation de la situation.

Ils se prononceront notamment sur l'envoi de renforts militaires et la stratégie de sécurisation de la capitale décidés en février par M. Bush.

La Maison Blanche doit aussi rendre compte de la situation au Congrès le 15 septembre pour convaincre les parlementaires de continuer à financer la guerre.

Le chef d'état-major général américain, le général Peter Pace, le chef des opérations militaires américaines au Moyen-Orient, l'amiral William Fallon, et le général Petraeus attendaient à al-Assad, le président américain, dont c'est la troisième visite en Irak depuis l'intervention de mars 2003.

"Il s'agit de la dernière grande rencontre des conseillers militaires du président et des dirigeants irakiens avant que le président ne décide de la marche à suivre", selon un porte-parole du Pentagone.

Le président américain, qui s'était rendu en Irak en novembre 2003 et en juin 2006, doit ensuite se rendre en Australie pour un sommet du Forum de coopération économique Asie-Pacifique (Apec).

Sa visite coïncide avec le retrait britannique de Bassorah, dans un contexte de brouille grandissante entre Londres et Washington.

Près de 500 soldats britannique ont quitté un palais qui leur servait de quartier général dans cette ville très majoritairement chiite, pour se replier vers une base aérienne fortifiée, à 25 km de l'agglomération, et rejoint 5.000 militaires qui assurent l'entraînement des forces irakiennes.

Le nombre total des militaires britanniques en Irak doit passer de 5.500 à environ 5.000 d'ici fin 2007 et le gouvernement du Premier ministre Gordon Brown est sous une pression croissante de son opinion publique pour accélérer leur départ.

Londres espère pouvoir transférer dès l'automne aux Irakiens le contrôle de l'ensemble de la province de Bassorah, malgré les réserves exprimées par le Pentagone, inquiet de possibles violences entre milices chiites rivales.



a écrit :L'armée américaine y met en oeuvre depuis plusieurs mois une stratégie d'alliance avec les chefs tribaux locaux pour lutter contre la branche irakienne d'Al-Qaïda, une tactique qui a permis d'enregistrer "de remarquables succès", selon le conseiller national à la sécurité, Stephen Hadley.

C'est surtout une tactique pour un futur retrait de l'armée américaine, et laisser ce beau bourbier au gouvernement irakien.
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Message par Koceila » 03 Sep 2007, 19:57

et en France................où il faut travailler plus pour gagner plus:

a écrit :Lutte Ouvrière n°2039 du 31 août 2007

Départ à la retraite : Guy Roux marque un but contre son camp

« Pour diriger l'équipe lensoise, il faut quelqu'un de plus jeune, de plus dynamique », « Je ne trouvais plus l'énergie nécessaire pour transcender les joueurs » : voilà comment Guy Roux a expliqué sa décision de renoncer à ses responsabilités d'entraîneur du Racing Club de Lens et de prendre sa retraite à 68 ans.

Cette démission aurait pu faire partie des mille petites péripéties qui émaillent une saison de football, si Guy Roux ne s'était retrouvé au mois de juin dernier au centre d'une polémique sur l'âge du départ à la retraite. La Ligue professionnelle de football avait en effet refusé d'homologuer son contrat de travail au prétexte qu'il avait dépassé la limite d'âge fixée à 65 ans. Plusieurs ministres avaient alors volé à son secours, dénonçant l'archaïsme de certains règlements et faisant de Guy Roux, peut-être pas mécontent d'être ainsi utilisé, un exemple de cette France qui veut travailler plus et plus longtemps, et à qui une administration tatillonne et dépassée veut mettre des bâtons dans les roues. Sarkozy lui-même n'avait pu s'empêcher d'intervenir dans le débat en déclarant : « C'est la règle qui est vieille, pas Guy Roux. » L'entraîneur n'a pas tenu trois mois.

Sarkozy et ses ministres ont donc raté une occasion... de se taire. Le retour rapide de Guy Roux au vestiaire doit leur donner l'impression d'un tacle par-derrière.

Olivier NEUVILLE
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