polémique en Allemagne.

[bennie]

Salut,
Il y a une grosse polémique en Allemagne, Eva Herman, une présentatrice vedette de la chaîne NDR, a été limogée suite à des propos vantant la politique familiale des nazis.


Elle avait été remerciée le mois dernier pour avoir regretté à l'antenne la disparition des valeurs familiales défendues à l'époque hitlérienne, a réitéré ses propos sur le plateau d'une autre émission de la ZDF.

Invitée pour se défendre, elle a répondu : « Si nous n'avons pas le droit de parler des valeurs familiales nazies, nous ne pouvons pas non plus parler des autoroutes construites à l'époque et que nous utilisons toujours ». Les invités et le présenteur, apparemment consternés, lui ont demandé de quitter le plateau en direct, ce qu'elle a fait.





J'ai lu le populaitre magazine Stern (étoile) qui en fait sa une, ils y répondent à ces arguments stupides, vous y répondrez bien tout seul!!

Il y a un sondage, qui affirme que 1 personne sur 4 en Allemagne penserait que tout n'est pas à jeter dans la politique de Hitler... !



http://www.stern.de/magazin/heft/600361.html?



Une présentatrice défend les aspects positifs du nazisme
Par Pierre Rouchaléou (Journaliste) 12H15 20/10/2007 dans Rue 89



(De Berlin) Est-il acceptable pour des Allemands de faire des déclarations publiques positives sur certains aspects du nazisme, soixante-deux ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale? Telle est la controverse qui a éclaté ces dernières semaines outre-Rhin à la suite d'opinions exprimées par Eva Herman, une présentatrice quinquagénaire travaillant pour la chaîne de télévision publique régionale NDR.

http://www.meinberlin.de/fototouren/bilder...n_dpa_50x40.jpg

Eva Herman a regretté l'abandon des valeurs liées à la famille telles que le régime hitlérien en avait fait la promotion: les femmes au foyer, prenant soin de leurs époux et enfantant d'une nombreuse progéniture. En dépit de dix-huit ans de loyaux services de cette célèbre animatrice, la NDR l'a exclue sur le champ.

Les déclarations d'Eva Herman [...] ont fait la une des principaux titres de la presse germanique. L'affaire aurait pu s'arrêter là, mais, lors d'un forum catholique à Fulda où elle fut chaleureusement applaudie, l'animatrice a réitéré ses propos, refusant de faire des excuses et précisant de manière insidieuse que les Allemands circulent toujours sur un réseau d'autoroutes construit pendant le IIIe Reich.

"Eva Herman n'a fait que réveiller un débat trop longtemps négligé"

Tollé général parmi les commentateurs. Eva Herman, qui rejette tout lien avec l'extrême droite, est accusée d'être provocatrice, dangereuse voire stupide. Pour accentuer le malaise, le magazine Stern a commandé un sondage auprès de l'institut Forsa, qui montre qu'un quart des Allemands considère qu'il y a des aspects positifs dans le nazisme. Le commentaire du Stern est sans appel:

"Le manque d'assurance sur la façon de traiter le nazisme est énorme. De même que l'ignorance à son propos. Eva Herman, dans son inconscience, n'a fait que réveiller un débat qui a été trop longtemps négligé."

Ce sujet est extrêmement sensible en Allemagne, où le combat a repris de plus belle contre les crimes aux motivations d'extrême droite et les attaques racistes, en forte augmentation dans l'ancienne Allemagne de l'Est. Le Stern affirme que des millions d'Allemands pensent comme Eva Herman, mais que très peu oserait afficher publiquement leur opinion.

Le magazine dénonce aussi l'hypocrisie des Allemands, en énumérant les lois promulguées du temps du nazisme et toujours en vigueur, notamment celles liant l'État aux Eglises. Il souligne enfin que si la loi allemande interdit les emblèmes nazis (swastika) et la première strophe de l'hymne national, cette même loi accorde des fonds publics au NPD, le parti d'extrême droite qui soutient implicitement le racisme et beaucoup d'aspects de l'idéologie nazie.



Des déclarations récupérées par les mouvements néo-nazis

"L'Allemagne a toujours connu une pléthore de tabous. Le débat d'aujourd'hui fait parti de la transgression progressive de ces interdits", affirme Hajo Funke, un enseignant spécialiste de l'extrême droite de l'université libre de Berlin.

Au cours du demi-siècle écoulé, l'Allemagne a connu plusieurs phases dans la manière de traiter de son tragique passé: du silence coupable à l'autocritique cathartique. Ces derniers temps, ce rapport au passé nazi s'est cristallisé sur la douleur des Allemands ayant subi la guerre (lire "L'Incendie" de Jörg Friedrich aux éditions de Fallois) et les cinéastes ont exploré la personnalité d'Hitler (voir "La Chute" le film d'Oliver Hirschbiegel).

Ce qui aurait été impensable autrefois est désormais possible et la transgression des tabous opérée par Eva Herman inquiète: les militants néo-nazis peuvent essayer de s'en emparer pour légitimer leur politique. La DVU, l'autre organisation d'extrême droite, est en train d'organiser une manifestation pour défendre la liberté de parole d'Eva Herman.

Le Conseil central des juifs en Allemagne a fait part de sa consternation lorsqu'il a pris connaissance des résultats de l'étude faite par Forsa. "Les chiffres de ce sondage sont honteux et désastreux", a déclaré Dieter Graumann, le vice-président du Conseil qui les interprète comme "un sérieux avertissement".





Une nouvelle fois, je me dis qu'il est plus qu'urgent de s'informer, d'enseigner, car de telles bétises ne trouvent un échos qu'à cause du manque de connaissances...





Remarque, j'ai rencontré il y a trois ans une future prof d'espagnol qui disait la même chose à propos de Franco. si elle apprend cela à ses élèves, les sondages ne sont pas étonnants!

[bennie]

Qu'il y ait des personnes qui continuent à admirer les nazis, je le conçois.

Mais là, il s'agit d'un sondage qui affirme que 1/4 des allemands pensent que la national socialisme avait des bons côtés.
ça dépasse l'entendement.


En tout cas, ça discute ferme là bas.

ce que tu racontes sur le viel homme qui affirme en 1968 que avec Hitler, ça ne se passerait pas comme ça me rappelle le très bon livre de Günter Wallraf, 'Tête de Turc', c'est un journaliste qui se déguise en turc, en Allemagne et raconte , à la façon de 'dans la peau d'un noir ', de John Howard Griffin, et vis les dscriminations, qu'il raconte dans ce livre.

Il devient chauffeur d'un, riche allemand, qui tient des propos ouertement racistes, antisémites, pro nazis.
ça fait froid dans le dos.

[Matrok]

Qu'il y ait des personnes qui continuent à admirer les nazis, je le conçois.
Moi pas.

[bennie]

Qu'il y ait des personnes qui continuent à admirer les nazis, je le conçois.

Moi pas.

Je veux dire que je conçois qu'il reste quelques débiles qui continuent être néo nazis , des groupuscules, des cinglés...qui n'ont aucune influence. il y a bien toute sortes e sectes aussi débiles un peu partout!
ça reste très marginal.

Mais là c'est autre chose, il y aurait cette idée très répendue qu le nazisme n'aurait pas que des mauvais côtés.
C'est surréaliste, et ça , cette ampleur, je ne la conçoit pas.

[Indesit]

[quote=" (bennie @ dimanche 21 octobre 2007 à 15:58"]
Salut,
Il y a une grosse polémique en Allemagne, Eva Herman, une présentatrice vedette de la chaîne NDR, a été limogée suite à des propos vantant la politique familiale des nazis.


Elle avait été remerciée le mois dernier pour avoir regretté à l'antenne la disparition des valeurs familiales défendues à l'époque hitlérienne, a réitéré ses propos sur le plateau d'une autre émission de la ZDF.

Invitée pour se défendre, elle a répondu : « Si nous n'avons pas le droit de parler des valeurs familiales nazies, nous ne pouvons pas non plus parler des autoroutes construites à l'époque et que nous utilisons toujours ». Les invités et le présenteur, apparemment consternés, lui ont demandé de quitter le plateau en direct, ce qu'elle a fait.





J'ai lu le populaitre magazine Stern (étoile) qui en fait sa une, ils y répondent à ces arguments stupides, vous y répondrez bien tout seul!!

Il y a un sondage, qui affirme que 1 personne sur 4 en Allemagne penserait que tout n'est pas à jeter dans la politique de Hitler... !



http://www.stern.de/magazin/heft/600361.html?



Une présentatrice défend les aspects positifs du nazisme
Par Pierre Rouchaléou (Journaliste) 12H15 20/10/2007 dans Rue 89



(De Berlin) Est-il acceptable pour des Allemands de faire des déclarations publiques positives sur certains aspects du nazisme, soixante-deux ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale? Telle est la controverse qui a éclaté ces dernières semaines outre-Rhin à la suite d'opinions exprimées par Eva Herman, une présentatrice quinquagénaire travaillant pour la chaîne de télévision publique régionale NDR.

http://www.meinberlin.de/fototouren/bilder...n_dpa_50x40.jpg

Eva Herman a regretté l'abandon des valeurs liées à la famille telles que le régime hitlérien en avait fait la promotion: les femmes au foyer, prenant soin de leurs époux et enfantant d'une nombreuse progéniture. En dépit de dix-huit ans de loyaux services de cette célèbre animatrice, la NDR l'a exclue sur le champ.

Les déclarations d'Eva Herman [...] ont fait la une des principaux titres de la presse germanique. L'affaire aurait pu s'arrêter là, mais, lors d'un forum catholique à Fulda où elle fut chaleureusement applaudie, l'animatrice a réitéré ses propos, refusant de faire des excuses et précisant de manière insidieuse que les Allemands circulent toujours sur un réseau d'autoroutes construit pendant le IIIe Reich.

"Eva Herman n'a fait que réveiller un débat trop longtemps négligé"

Tollé général parmi les commentateurs. Eva Herman, qui rejette tout lien avec l'extrême droite, est accusée d'être provocatrice, dangereuse voire stupide. Pour accentuer le malaise, le magazine Stern a commandé un sondage auprès de l'institut Forsa, qui montre qu'un quart des Allemands considère qu'il y a des aspects positifs dans le nazisme. Le commentaire du Stern est sans appel:

"Le manque d'assurance sur la façon de traiter le nazisme est énorme. De même que l'ignorance à son propos. Eva Herman, dans son inconscience, n'a fait que réveiller un débat qui a été trop longtemps négligé."

Ce sujet est extrêmement sensible en Allemagne, où le combat a repris de plus belle contre les crimes aux motivations d'extrême droite et les attaques racistes, en forte augmentation dans l'ancienne Allemagne de l'Est. Le Stern affirme que des millions d'Allemands pensent comme Eva Herman, mais que très peu oserait afficher publiquement leur opinion.

Le magazine dénonce aussi l'hypocrisie des Allemands, en énumérant les lois promulguées du temps du nazisme et toujours en vigueur, notamment celles liant l'État aux Eglises. Il souligne enfin que si la loi allemande interdit les emblèmes nazis (swastika) et la première strophe de l'hymne national, cette même loi accorde des fonds publics au NPD, le parti d'extrême droite qui soutient implicitement le racisme et beaucoup d'aspects de l'idéologie nazie.



Des déclarations récupérées par les mouvements néo-nazis

"L'Allemagne a toujours connu une pléthore de tabous. Le débat d'aujourd'hui fait parti de la transgression progressive de ces interdits", affirme Hajo Funke, un enseignant spécialiste de l'extrême droite de l'université libre de Berlin.

Au cours du demi-siècle écoulé, l'Allemagne a connu plusieurs phases dans la manière de traiter de son tragique passé: du silence coupable à l'autocritique cathartique. Ces derniers temps, ce rapport au passé nazi s'est cristallisé sur la douleur des Allemands ayant subi la guerre (lire "L'Incendie" de Jörg Friedrich aux éditions de Fallois) et les cinéastes ont exploré la personnalité d'Hitler (voir "La Chute" le film d'Oliver Hirschbiegel).

Ce qui aurait été impensable autrefois est désormais possible et la transgression des tabous opérée par Eva Herman inquiète: les militants néo-nazis peuvent essayer de s'en emparer pour légitimer leur politique. La DVU, l'autre organisation d'extrême droite, est en train d'organiser une manifestation pour défendre la liberté de parole d'Eva Herman.

Le Conseil central des juifs en Allemagne a fait part de sa consternation lorsqu'il a pris connaissance des résultats de l'étude faite par Forsa. "Les chiffres de ce sondage sont honteux et désastreux", a déclaré Dieter Graumann, le vice-président du Conseil qui les interprète comme "un sérieux avertissement".





Une nouvelle fois, je me dis qu'il est plus qu'urgent de s'informer, d'enseigner, car de telles bétises ne trouvent un échos qu'à cause du manque de connaissances...





Remarque, j'ai rencontré il y a trois ans une future prof d'espagnol qui disait la même chose à propos de Franco. si elle apprend cela à ses élèves, les sondages ne sont pas étonnants!

Bonjour,

je reviens sur l'affirmation selon laquelle "Tout n'est pas à jeter dans la politique d'Hitler".

Une affirmation comme celle-là paraît pro-nazie mais en réalité elle est complètement tautologique, car aucun régime politique n'est jamais un mal absolu, à moins de faire dans le manichéisme.

Au nom du même argument, je pourrais te dire que l'assèchement des Marais Pontins par Mussolini fut une excellente nouvelle pour les populations concernées qui auparavant souffraient du paludisme.

Donc, c'est vrai, je souscris à l'affirmation suivante : "tout n'est pas à jeter dans la politique de Mussolini". Ce qui ne m'empêche pas de penser que le régime de Mussolini fut une abomination pour les travailleurs et le peuple italiens.

à +

[Paingrillé]

Mais la question était beaucoup plus vicelarde, selon l'article que je viens de trouvé.. Ce n’est pas directement "pensez vous que hitler a fait des choses bien ? " c'est plutôt "est ce que la politique nationale-socialiste (pas d'emploi du mot nazi, ce qui est important) a permis (qui a une valeur positive , c'est vrai)de construire des autoroutes, de réduire le chomage ....?"
ds l’ex du colonialisme ce serait ;
"Le colonialisme a til permit de constuire des routes, de foutre des mômes a l’école "? la réponse serait oui . Et on te demande pas ce que tu en penses.

De plus , je ne me rend pas compte si une telle marge d’erreur (3 points) représente qqch. sinon voir les pourcentages par catégorie d'age doit aussi être interessant.

Dsl pour l’anglais.

Survey: 25% of Germans believe Nazi period had some benefits  By The Associated Press 
A poll published Wednesday showed a quarter of Germans believe there were
at least some positive aspects to Nazi rule - a finding that comes after a popular talk show host was fired for praising Nazi Germany's attitude toward motherhood.

Pollsters for the Forsa agency, commissioned by the weekly Stern magazine, asked whether National Socialism also had some good sides (such as) the construction of the highway system, the elimination of unemployment, the low criminality rate (and) the encouragement of the family.


Forsa said 25 percent responded yes - but 70 percent said no.

Dieter Graumann, vice president of Germany's Central Council of Jews, said the poll should be considered a warning sign.

"The result of the poll is ugly, disastrous and makes me sad and angry," he told the Netzeitung online newspaper.

Still, he cautioned against alarmism, and called for more education about the Nazi period.

Stern commissioned the survey, conducted October 11-12, after Germany's NDR public broadcaster last month fired talk show host Eva Herman following her statement on the Third Reich.

News reports quoted her as saying at the presentation of her latest book that, while there was much that was very bad, for example Adolf Hitler, there were good things, for example the high regard for the mother under the Nazis.

Since then Herman, a 48-year-old who has written books urging a return to more traditional gender roles, has stood by her comments.

She later said: "What I wanted to express was that values which also existed before the Third Reich, such as family, children and motherhood, which were supported in the Third Reich, were subsequently done away with by the 68ers" - a reference to 1960s leftists.

Any praise of the 1933-45 Nazi dictatorship is taboo in Germany. The Nazis were responsible for the murder of some 6 million Jews and starting World War II - a conflict in which at least 60 million people died, including more than 7 million Germans.

The poll, which had a margin of error of plus or minus 3 percentage points, showed that people 60 or older had the highest regard for aspects of the era, with 37 percent answering yes.

Those who grew up directly after the war, now aged 45 to 59, were the least enthusiastic about the Nazi era, with only 15 percent responding yes.

[Indesit]

Mais la question était beaucoup plus vicelarde, selon l'article que je viens de trouvé.. Ce n’est pas directement "pensez vous que hitler a fait des choses bien ? " c'est plutôt "est ce que la politique nationale-socialiste (pas d'emploi du mot nazi, ce qui est important) a permis (qui a une valeur positive , c'est vrai)de construire des autoroutes, de réduire le chomage ....?"
ds l’ex du colonialisme ce serait ;
"Le colonialisme a til permit de constuire des routes, de foutre des mômes a l’école "? la réponse serait oui . Et on te demande pas ce que tu en penses.

De plus , je ne me rend pas compte si une telle marge d’erreur (3 points) représente qqch. sinon voir les pourcentages par catégorie d'age doit aussi être interessant.

Dsl pour l’anglais.

Survey: 25% of Germans believe Nazi period had some benefits  By The Associated Press  
A poll published Wednesday showed a quarter of Germans believe there were
at least some positive aspects to Nazi rule - a finding that comes after a popular talk show host was fired for praising Nazi Germany's attitude toward motherhood.

Pollsters for the Forsa agency, commissioned by the weekly Stern magazine, asked whether National Socialism also had some good sides (such as) the construction of the highway system, the elimination of unemployment, the low criminality rate (and) the encouragement of the family.


Forsa said 25 percent responded yes - but 70 percent said no.

Dieter Graumann, vice president of Germany's Central Council of Jews, said the poll should be considered a warning sign.

"The result of the poll is ugly, disastrous and makes me sad and angry," he told the Netzeitung online newspaper.

Still, he cautioned against alarmism, and called for more education about the Nazi period.

Stern commissioned the survey, conducted October 11-12, after Germany's NDR public broadcaster last month fired talk show host Eva Herman following her statement on the Third Reich.

News reports quoted her as saying at the presentation of her latest book that, while there was much that was very bad, for example Adolf Hitler, there were good things, for example the high regard for the mother under the Nazis.

Since then Herman, a 48-year-old who has written books urging a return to more traditional gender roles, has stood by her comments.

She later said: "What I wanted to express was that values which also existed before the Third Reich, such as family, children and motherhood, which were supported in the Third Reich, were subsequently done away with by the 68ers" - a reference to 1960s leftists.

Any praise of the 1933-45 Nazi dictatorship is taboo in Germany. The Nazis were responsible for the murder of some 6 million Jews and starting World War II - a conflict in which at least 60 million people died, including more than 7 million Germans.

The poll, which had a margin of error of plus or minus 3 percentage points, showed that people 60 or older had the highest regard for aspects of the era, with 37 percent answering yes.

Those who grew up directly after the war, now aged 45 to 59, were the least enthusiastic about the Nazi era, with only 15 percent responding yes.

Quand on te demande si le national-socialisme a "aussi" (sic) eu des bons côtés, on laisse entendre qu'il a eu surtout des mauvais côtés et on libère la parole pour dire qu'il en a eu des bons, ces derniers étant implicitement envisagés sous l'angle de l'exception. De l'art d'orienter la réponse par la formulation de la question...

[bennie]

je n'ai pas l'article sous les yeux, mais , c'est ça, la question est orientée.
C'est aussi avec ce genre d' "évidences" que Eva herman conclut que la nazisme a des bons côtés. Sauf que c'est faux, c'est tirer les choses de leur contexte...

Tout ceci repose avant tout sur une méconnaissance de l'Histoire et des purs mensonges. Quand elle affrme que la politique nazie donnait un rôle important à la mère, c'en est pathétique de bêtise.