Sur l'histoire des étudiants de l'OCI je connais assez peu.
Il est clair que la MNEF a attiré les mouches comme le miel.
Mais s'il me semble le "partage"des tâches (des taches) s'était fait entre le PS, la MNEF et l'OCI, l'UNEF.
Les sordides bagarres autour de la MNEF furent plus le fait des différentes fractions du PS, voire entre le PC et le PS. D'ailleurs le système Spithakis a beaucoup plus concerné des membres du PS que des ex du PCI.
Il y avait à l'époque peu de militats de l'OCI investi à la MNEF, après 79_80 je ne sais plus. J'ai quasiment toujours connu le secteur étudiant de l'OCI comme structure preque autonome.
Qu'est-ce qui fut premier, la politique fausse ou les moeurs d'appareil?
J'ai la naïveté de penser que c'est la fausse politique qui a conduit à générer et à dégénérer.
Il est clair pour le cas du PCI avant 1984 que le p[SIZE=1]oids des permanents de FO au sein du PCI a pesé. Mais au départ, avoir des camarades choisis permanents syndicaux, c'était plutôt l'expression d'un poids politique de l'OCI au sein de cette institution. L'erreur c'est que ce fut eux qui prirent la direction de l'organisation et non l'organisation qui pesa sur les permanents ( en 1984, il y avait entre 200 et 300 militants du PCI permanents de FO...)
L'apogée ce fut en avril ou mai 1984 quand au cours d'une réunion nationale des enseignants EE-FUO, la direction annonça le passage à FO et que le voyage ne fut rembourser que pour ceux qui prennaint immédiatement une carte CGT-FO... (sic)