Bien ou bien ?
Dans l'éphéméride d'aujourd'hui :
24 avril 1916 : ouverture de la conférence de Kienthal
("Léon Trotsky @ Janvier 1916" a écrit :
(le Projet de manifeste pour la Conférence de Kienthal )
Si la guerre enfantée par l'impérialisme dévaste l'Europe, une paix conclue par les nationalistes actuellement au pouvoir ne pourra que renforcer et accroître l'hostilité entre les nations et être la cause de nouvelles catastrophes de plus en plus dévastatrices. Si nous n'avons pas su empêcher la guerre, nous sommes tenus de faire tous nos efforts pour imposer aux belligérants notre paix. A la puissance des dirigeants qui se nourrit de notre passivité et de notre soumission, nous devons opposer notre force à nous : la conscience révolutionnaire et la volonté de lutter sans merci. Nous vous appelons à cette tâche. Assez de patience ! Assez de silence ! Que la parole de colère et de révolte retentisse partout ! Que l'acte suive la parole !
Entendez‑vous ! Ouvrières et ouvriers d'Europe ! Si une faible partie seulement de ces sacrifices, de ces vies, de ce sang que la guerre exige avait été sciemment consentie à la cause du socialisme, l'Europe eut été tôt libérée du honteux régime d'oppression et d'exploitation, et nous aurions la certitude de voir nos fils entrer dans le royaume du travail et de la justice. Sachez donc trouver en vous la résolution de donner toutes vos forces et, s'il le faut, votre liberté et votre vie même pour le salut de l'humanité !
Voilà comment les marxistes se posaient le problème durant la 1ère guerre mondiale. Les ouvrières et les ouvriers sont le fondement du marxisme, du Léninisme, du trotskisme. La classe ouvrière est toujours "aux premières loges" dans la ligne politique de Marx, Engels, Lénine, Trotsky. Mao est diamétralement opposé à ça.
Ce que je lis de Mao(en Anglais), ça rend accessoires les ouvrières et les ouvriers. A la limite verbalement il met sur un pied d'égalité la classe ouvrière(quand il en parle) avec les autres classes, mais c'est pas ça le socialisme, le socialisme, c'est la classe ouvrière en tant que classe indépendante, dominante, en tant que classe dirigeante de la société. C'est ça le marxisme, léninisme, c'est ça la révolution russe en 1905, Février 1917, Octobre 1917. Et d'ailleurs, c'est ça qui est trahis en 1927, dans la 2ème révolution Chinoise, où la classe ouvrière perd son indépendance vis à vis de la bourgeoisie, du Kuomintang et Tchang Kaï Chek.
Cette politique est dictée par la bureaucratie stalinienne.
Par la suite le PC Chinois dont Mao fait parti va suivre la ligne politique de l'IC bureaucratisé.
Je reposte 2 textes qui ont déjà été posté l'an dernier à la première page de ce fil :
Manifeste aux communistes chinois et du monde entier !
("août 1930 Léon Trotsky" a écrit :
[...]
La large crue du soulèvement paysan peut incontestablement donner une impulsion à l'animation de la lutte politique dans les centres industriels. Nous comptons fermement là-dessus. Mais cela ne signifie aucunement que le réveil révolutionnaire du prolétariat amène directement une conquête, du pouvoir, où même simplement à une lutte pour le pouvoir. Le réveil du prolétariat peut dans ces derniers temps, revêtir le caractère de luttes partielles économiques et politiques, défensives et offensives. Combien de temps sera nécessaire au prolétariat, et tout d'abord à son avant-garde, pour devenir apte à prendre la direction de la nation révolutionnaire ? En tout cas pas des semaines, ni des mois. Le commandement des dirigeants bureaucratiques ne peut pas remplacer la croissance propre de la classe et de son parti.
Les communistes chinois ont besoin actuellement d'une politique à longue portée. Leur tâche ne consiste pas à jeter leurs forces dans les foyers dispersés du soulèvement paysan, puisque leur parti, peu nombreux et faible, ne pourra pas de toute façon l'embrasser. Le devoir des communistes consiste à concentrer leurs forces dans les usines et ateliers, dans les quartiers ouvriers, à expliquer aux ouvrier le sens de ce qui se passe à la campagne, à ranimer ceux qui sont découragés et abattus, à les grouper pour la lutte pour les revendications économiques, pour les mots d'ordre de démocratie et de révolution agraire. C'est seulement dans cette voie, c'est-à-dire à travers le réveil et le rassemblement des ouvriers, que le parti pourra devenir le guide du soulèvement paysan, c'est-à-dire de la révolution nationale dans son ensemble. Pour maintenir les illusions dé l'aventurisme et masquer la faiblesse de l'avant-garde prolétarienne, les staliniens disent : il ne s'agit donc actuellement que de la dictature prolétarienne. Sur ce point fondamental l'aventurisme s'appuie complètement sur les arguments de l'opportunisme. Trouvant insuffisante l'expérience avec le Kuomintang, les staliniens préparent, pour la future révolution, un nouveau moyen d'endormir et d'illusionner le prolétariat sous le mot de " dictature démocratique ".
Le mot d'ordre des Soviets
Lorsque les ouvriers chinois avancés mettent en avant le mot d'ordre des soviets, ils disent par cela même : nous voulons faire de même que les ouvriers de la Russie. Hier encore, les staliniens leur répondaient à cela : "Impossible, vous avez le Kuomintang, et il fera tout ce qu'il faut ". Aujourd'hui les mêmes chefs répondent d'une façon plus évasive : "Il faudra créer des soviets, non pas pour réaliser la dictature prolétarienne, mais pour réaliser la dictature démocratique". Par cela on dit au prolétariat que la dictature ne sera pas entre ses mains. Cela veut dire qu'il y a quelque autre force inconnue aujourd'hui, capable de réaliser en Chine une dictature révolutionnaire. Ainsi la formule de la dictature démocratique ouvre toutes grandes les portes à de nouvelles duperies des ouvriers et des paysans par la démocratie bourgeoise.
[...]
LA GUERRE DES PAYSANS EN CHINE ET LE PROLÉTARIAT
La réponse de Mao et de Trotsky à cette question sont diamétralement opposé en Théorie comme en pratique déjà dans les années 30. Après l'exécution de Trotsky par Staline en 1940, Mao ne va pas changer, il va pas devenir plus communiste dans les années 40, et encore moins au pouvoir.
("septembre 1932 Léon Trotsky" a écrit :
[...]
Les conflits armés entre les paysans et les ouvriers, quelle qu'en soit l'origine dans les cas particuliers, que ce soit la provocation consciente des gardes blancs, le manque de tact des communistes, ou le concours malheureux dés circonstances, avaient à leur base la même cause sociale : la situation de classe et l'éducation différenciée des ouvriers et des paysans. L'ouvrier aborde les problèmes sous l'angle socialiste ; le paysan sous l'angle petit-bourgeois. L'ouvrier tente de socialiser la propriété qu'il a reprise à ses exploiteurs ; le paysan, tente, lui, de la partager. L'ouvrier veut faire servir les châteaux et les parcs dans l'intérêt général ; le paysan, pour peu qu'il ne puisse les partager, est enclin à brûler les châteaux et à déboiser les parcs. L'ouvrier fait effort pour résoudre les problèmes à l'échelle étatique, et selon un plan ; mais le paysan aborde tous les problèmes à l'échelle locale, et se conduit d'une façon hostile envers le plan du centre, etc...
Il est évident que le paysan peut lui aussi s'élever jusqu'à un point de vue socialiste. Sous le régime prolétarien, une masse de plus en plus grande de paysans se rééduque dans l'esprit socialiste. Mais cela exige du temps, – des années, et même des décades. Si l'on n'envisage que la première étape de la révolution, alors les contradictions entre le socialisme prolétarien et l'individualisme paysan prennent souvent un caractère aigu.
Mais ce sont des communistes qui se trouvent à la tête des armées rouges chinoises. Cela n'exclut-il pas les conflits entre les corps paysans et les organisations ouvrières ? Non cela ne les exclut pas. Le fait que des communistes se trouve individuellement à la tête des armées paysannes ne change en rien le caractère social de ces dernières, même si la direction communiste a une bonne trempe prolétarienne. Mais comment la situation se présente-t-elle en Chine ? Parmi les dirigeants communistes des corps de partisans rouges, il y a, sans aucun doute, pas mal d'intellectuels ou de semi-intellectuels déclassés qui ne sont pas passés par la sérieuse école de la lutte prolétarienne. Durant deux ou trois ans, ils vivent la vie des commandants et des commissaires de partisans. Ils commandent, ils conquièrent des territoires, etc... Ils s'imprègnent de l'esprit du milieu environnant. La plus grande partie des communistes du rang dans les corps de partisans rouges se compose de toute évidence de paysans qui, très honnêtement et sincèrement, se prennent pour des communistes, mais qui sont des révolutionnaires "paupérisés" ou des petits propriétaires révolutionnaires. Celui qui, en politique, juge selon les étiquettes et les dénominations, et non selon les faits sociaux, est perdu. Surtout lorsqu'il s'agit d'une politique qui se fait l'arme à la main. Le véritable parti communiste est l'organisation de l'avant-garde prolétarienne. En outre, la classe ouvrière de Chine se trouve depuis quatre ans dans une situation dispersée et asservie, et c'est seulement maintenant qu'apparaissent les symptômes d'une renaissance. Lorsque le Parti communiste, fermement appuyé sur le prolétariat des villes, essaye de commander l'armée paysanne par une direction ouvrière, c'est une chose. C'est tout autre chose lorsque quelques milliers, ou même quelques dizaines de milliers de révolutionnaires qui dirigent la guerre paysanne, sont ou se déclarent communistes, sans avoir aucun appui sérieux dans le prolétariat. Or, telle est avant tout la situation en Chine. Cela accroît dans une grande mesure le danger des conflits possibles entre les ouvriers et les paysans armés. Dans tous les cas, les provocateurs bourgeois ne manqueront pas.
[...]
("septembre 1932 Léon Trotsky" a écrit :
[...]
Quelles conclusions peut-on tirer de là ? La première conclusion est qu'il faut fermement et ouvertement regarder les faits en face. Le mouvement paysan est un grand facteur révolutionnaire dans la mesure où il est dirigé contre les gros propriétaires fonciers, les militaristes, les geôliers et les usuriers. Mais dans le mouvement paysan lui-même, il y a une très forte tendance réactionnaire et de propriétaires. Et à un certain stade la paysannerie peut se retourner contre les ouvriers, en ayant en outre les armes à la main. Celui qui oublie la double origine de la paysannerie n'est pas un marxiste. Il faut apprendre aux ouvriers du rang à différencier par des connaissances et des recherches " communistes " les processus sociaux réels.
Il faut suivre avec soin les opérations de l' armée rouge ", éclairer systématiquement aux yeux des ouvriers la marche, la signification et les perspectives de la guerre paysanne, et lier les revendications actuelles et les problèmes du prolétariat avec le mot d'ordre de la libération de la paysannerie.
Sur la base de vos propres investigations, de rapports et autres documents, il faut étudier avec ténacité la vie intérieure des armées paysannes et des corps d'armées dans les régions occupées par elle, dévoiler sur des faits concrets les tendances de classe contradictoires, et montrer clairement aux ouvriers quelles sont les tendances que nous soutenons, et quelles sont celles que nous combattons.
Il faut veiller avec attention à la coordination entre l'armée rouge et les ouvriers des petites localités sans perdre de vue même les plus petites discordances entre eux. Dans le cadre des conflits de villes et de rayons isolés, même très aigus, ces discordances peuvent sembler des épisodes locaux, mais, dans un développement ultérieur des événements, les conflits de classe peuvent s'étendre à l'échelle nationale, et mener la révolution à la catastrophe, c'est-à-dire jusqu'à une nouvelle destruction des ouvriers par les paysans armés trompés par la bourgeoisie. L'histoire de la révolution est pleine d'exemples semblables.
Dans la mesure où les ouvriers comprendront plus clairement la dialectique vivante des relations de classe entre le prolétariat, la paysannerie et la bourgeoisie, plus ils rechercheront sans hésitations des liaisons avec les couches paysannes les plus proches, et plus ils se dresseront ardemment contre les provocateurs contre-révolutionnaires, tant dans le cadre des armées paysannes elles-mêmes, que dans les villes.
Il faut créer des unions syndicales, des cellules du parti, éduquer des ouvriers du rang, unifier l'avant-garde prolétarienne et l'entraîner dans la lutte.
Il faut s'adresser à tous les membres du parti officiel par des appels, et des demandes d'éclaircissements. Il est vraisemblable que les ouvriers communistes liés à la fraction stalinienne ne nous comprendront pas immédiatement. Les bureaucrates hurleront sur notre " sous-estimation " de la paysannerie, et même, s'il vous plaît, sur notre " hostilité " envers la paysannerie (Tchernov accusait toujours Lénine d'hostilité envers la paysannerie). Il est évident que de tels cris n'émouvront pas les bolcheviks-léninistes. Lorsqu'avant avril 1927 nous donnions les avertissements nécessaires contre le coup d'Etat inévitable de Tchang-Kaï-Chek, les staliniens nous accusaient d'hostilité envers la révolution nationale chinoise. Les événements ont démontré qui a eu raison. Les événements apporteront de nouveau leur vérification. L'opposition de gauche peut apparaître trop faible pour impulser dans l'étape présente une direction aux événements dans l'intérêt du prolétariat. Mais elle est suffisamment forte dès maintenant pour montrer aux ouvriers la voie juste et, s'appuyant sur le développement ultérieur de la lutte de classes, pour démontrer aux yeux des ouvriers sa justesse et sa perspicacité politique. Ce n'est qu'ainsi que le parti révolutionnaire peut conquérir la confiance, croître, se fortifier, et se mettre à la tête des masses populaires.
Prinkipo, 22 septembre 1932.
[...]
("septembre 1932 Léon Trotsky" a écrit :
P. S. Pour donner le plus de clarté possible à ma pensée,
je noterai la variante théorique suivante, qui est fort plausible.
Supposons que l'Opposition de Gauche développe dans le plus prochain avenir un travail énorme et plein de succès au sein du prolétariat industriel et acquière en son sein une influence capitale. Le parti communiste officiel continue, pendant ce temps, à limiter toutes ses forces à "l'armée rouge" et aux rayons paysans. Arrive le moment où les troupes paysannes entrent dans les centres industriels et se heurtent aux ouvriers. Il n'est pas difficile de prévoir qu'ils opposeront hostilement l'armée paysanne aux " contre-révolutionnaires trotskystes ". En d'autres termes, ils se mettront à surexciter les paysans armés contre les ouvriers du rang. C'est ainsi qu'ont agi les S. R. russes et les mencheviks en 1917 ; ayant perdu les ouvriers, ils luttèrent de toutes leurs forces pour conserver leur appui unitaire, et envoyèrent les casernes contre les usines, le paysan armé contre l'ouvrier bolchevik. Kerenski, Tseretelli, Dan, baptisaient les bolcheviks si ce n'est du nom de " contre-révolutionnaire ", tout au moins " d'agents involontaires " ou " d'aides inconscients " de la contre-révolution. Les staliniens s'embarrassent moins que quiconque de la terminologie politique. Mais les tendances sont identiques : une orientation hostile des paysans et en général des éléments petits-bourgeois contre les détachements du rang de la classe ouvrière.
Le centrisme bureaucratique, en tant que centrisme ne peut avoir une base de classe indépendante. Mais dans sa lutte contre les bolcheviks-léninistes, il est contraint de rechercher un appui à droite, c'est-à-dire dans la paysannerie et la petite-bourgeoisie, les opposant au prolétariat. La lutte des deux fractions communistes, les staliniens et les bolcheviks-léninistes renferme ainsi en son sein, des tendances à se transformer en une lutte de classe. Le développement révolutionnaire en Chine peut développer ces tendances jusqu'au bout, c'est-à-dire jusqu'à la guerre civile entre les dirigeants de l'armée paysanne et l'avant-garde prolétarienne sous la direction des léninistes.
Si un tel conflit, par la faute des staliniens, survenait, cela signifierait que l'Opposition de Gauche et la fraction stalinienne cesseraient d'être des fractions communistes mais seraient devenues des partis politiques hostiles l'un à l'autre, ayant une base de classe différente.
Une telle perspective est-elle inévitable ? Non, je ne le pense aucunement. Dans la fraction stalinienne (P.C. chinois officiel), il y a non seulement des paysans, c'est-à-dire des petits-bourgeois mais aussi des tendances prolétariennes. Il est de toute première importance pour l'Opposition de Gauche de rechercher un rapprochement avec l'aile prolétarienne des staliniens, de lui développer les appréciations marxistes sur les " armées rouges " et en général sur la relation entre le prolétariat et la paysannerie.
Gardant son indépendance politique, l'avant-garde prolétarienne doit être inévitablement prête à réaliser l'unité d'action avec la démocratie révolutionnaire. Si nous ne sommes pas d'accord pour identifier les corps armés des paysans avec l'armée rouge, comme la force armée du prolétariat, si nous ne sommes pas enclins à fermer les yeux sur le fait que l'on couvre le drapeau communiste par le mouvement paysan d'un contenu petit-bourgeois, par contre, nous nous rendons parfaitement compte de la signification, de l'importance énorme du caractère démocratique-révolutionnaire des guerres de paysans, nous apprenons aux ouvriers à comprendre cette signification et nous sommes prêts à faire tout ce qui est en notre pouvoir, pour aboutir avec les organisations paysannes à un accord militaire nécessaire.
Notre tâche consiste, en conséquence, non seulement à empêcher tout commandement militaire et politique sur le prolétariat de la part de la démocratie petite-bourgeoise, s'appuyant sur les paysans armés, mais aussi à préparer et assurer la direction prolétarienne sur le mouvement paysan et, en particulier sur son "armée rouge".
Plus nette sera pour les bolcheviks-léninistes la compréhension de la situation politique et des tâches qui en découlent ; plus sera couvert de succès l'élargissement de leur base dans le prolétariat ; plus sera tenace la manière dont ils pratiqueront la politique du front unique envers le parti officiel et le mouvement paysan dirigé par lui, d'autant mieux ils réussiront à préserver la révolution du heurt plein de danger entre la paysannerie et le prolétariat ; non seulement ils assureront l'unité d'action nécessaire entre deux classes révolutionnaires, mais aussi ils transformeront leur front unique en un pas historique vers la dictature du prolétariat.
Prinkipo, 26 septembre 1932.
Mais je vais quand même lire quelques uns des textes FONDAMENTAUX du maoïsme ... je te dis déjà que la lecture des premiers paragraphes je les trouve diamétralement opposé à la méthode du socialisme scientifique de Marx, Engels, Lénine, Trotsky, j'ai l'impression que la lutte des classes traversent timidement les faits historiques qu'il évoque.
Bref, je t'en dirais plus ...
A+