je sais pas si je vais gagner ta reconnaissance eternelle, avec ca:

C est dans un livre de Broue. C est pas moi qui ai trouve, hein, c est google. parce que normalement c'est des question pour Artza, ca, surtout que l'epreuve du bac d histoire est finie maintenant.
Mais ca ne repond pas vraiment à ta question. Ici il parle de quelqu'un qui croit sur parole, pas aux etiquettes.
Parce qu'aujourd'hui, à un moment où on n'a plus de grands mouvements de la classe ouvrière, ils ne nous reste bien que les etiquettes qu'elle nous a laissees, et dont on se revendique. Le communisme et la revolution.
Mais enfin, je suis preneur de plus d'infos, là-dessus. La personne qui repondra aura toute la reconnaissance de Thersite.
a écrit :« Ecoutez, frérot », disait, devant John Reed, un paysan-soldat à un étudiant qui traitait Lénine d’« agent allemand », « il y a deux classes, voyez-vous, la bourgeoisie et le prolétariat » (2). Ce fut la grande lumière d’octobre : un parti qui disait la vérité, « expliquait patiemment », ne demandait pas à être cru sur parole, car celui qui, en politique, croit sur parole, est un « imbécile sans espoir », un parti qui luttait pour développer la conscience et gagner la confiance, un parti dont les militants avaient plus de devoirs et des salaires inférieurs. Un parti qui, n’en déplaise aux prophètes des faits accomplis, était fort démocratique, appliquant ses décisions de congrès pris-es après de larges discussions, ne reconnaissant l’autorité que de qui savait le convaincre, un parti qui ne craignait même pas l’indiscipline puisque la critique et la sincérité y étaient tenues pour les premiers des devoirs d’un révolutionnaire