Histoire du MIR (Chili)

Marxisme et mouvement ouvrier.

Message par stef » 23 Jan 2004, 09:43

a écrit :La grande majorité du MIR étaient des étudiants et des professionnels. C'est un fait. D'ailleurs ils venaient quelques uns, non pas de la petite bourgeoisie mais de la grande.

Ecoute, si tu lis le truc de Vitale, tu es bien forcé de noter le poids qu'avaient les syndicalistes là-dedans aussi.

a écrit :si je suis aussi hargneux contre tous les jean foutres qui critiquent le coté "trop sérieux" et autres conneries sur LO, c'est parce que j'ai connu les mires et leurs moeurs...

Il est certain que ce qu'on apprend sur le MIR est assez horrible. Viendrait-il à l'idée de la direction de LO de séquestrer Koch ? C'est ce qu'a fait le MIR avec son équivalent local...

a écrit :L'opportunisme va lié étroitement aux "moeurs".

Non. Exemple : Lambert et sa clique. Leur opportunisme est sans bornes, meurs moeurs n'a rien à voir avec celles-là.

a écrit :Stef, tu te connais en politique, et je suis sur que si tu aurais vu ce qui était leur pratique, tu serais de mon avis.

Je n'en doutes pas une seconde. Comprenons-nous bien : je dis simplement qu'on ne peut ordonner sa pensée à partir de ces questions car on aboutit à oublier l'essentiel, quel programme, quelle orientation ? Je n'ai pas dit que je m'en foutais. Ce n'est pas du tout le genre de la maison....

a écrit :Je me rends compte maintenant qu'il n'y avait tout simplement pas de trostkisme au Chili. Vitale, un vieux militant d'origine argentin en fait, a été toujours perdu, et continue de l'être.

L'essentiel est là. Le rôle qu'il a joué est dramatique.
stef
 
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