Informations Ouvrières

Message par Valiere » 12 Août 2009, 09:17

C'est un changement positif d'orientation : hier ce courant refusait tout cadre unitaire pour le non au référendum et depuis la naissance du POI adopte une démarche unitaire active! c'est à son crédit.
Valiere
 
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Message par Crockette » 12 Août 2009, 11:45

jchuis d'acord avec redsamaourai, j'ai discuté avec un ancien délégué CGT qui s'est fait virer de sa boite, sans aide de la CGT, il est allé au POI, et il s'y sent bien.
avec ce fer de lance "interdire les licenciements"

encore un petit effort et je crois que cette orga pourra mener avec LO pas mal de luttes ensemble plus qu'avant déjà.

quant à citer maryse Dumas, Maurad Rahbi, il manque plus que Thibaut et Duigou et nous aurons le carré des moralistes de la classe des travailleurs du bas de l'échelle. =D>
reconnaitre la valeur de ses adversaires politiques c'est une démarche philosophique très importante. :sleep:
Crockette
 

Message par Lao She » 12 Août 2009, 11:57

(redsamourai @ mardi 11 août 2009 à 11:30 a écrit :dans l'ensemble, c'est quand même un bon édito!

le nouvel axe du POI sur l'interdiction des licenciements rend les éditos de ce journal vachement plus sympathiques que lors de la période "Anti-UE"!

L'axe de l'édito d'IO n'est pas sur l'interdiction des licenciements.
Il est sur "Y serez-vous ?" et s'adresse aux partis de gauche en utilisant la signature de gars engagez dans des luttes défensives [qui sont disponibles pour signer tout ce qui va dans le sens de leur bagarre] pour "interpeller" ces partis sur l'idée d'une marche contre les licenciements à l'initiative du POI.
C'est ainsi que Gluckstein aurait pu faire état de la signature de deux ouviers de New Fabris a un appel à la manif du POI 86, après les 10 de Caterpillar, etc.
C'est toujours cette vieille tactique répètez cent fois de mettre au pied du mur les partis et syndicats et qui sert d'activité politique au POI. Ils se la jouent au parti.
Elle n'est opératoire comme dirait nos camarades ex-LCR qui en essayent... une autre.
Lao She
 
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Message par Front Unique » 15 Août 2009, 09:41

Informations ouvrières n° 59 semaine du 13 Août au 19 Août 2009

L'ÉDITO PAR DANIEL GLUCKSTEIN

Une question à "l'Humanité"

Quel travailleur n'est pas saisi d'indignation quand il apprend que les grandes banques vont verser des milliards d'euros à leurs « traders », dont les talents spéculatifs leur rapporteront en 2009 de gigantesques profits ?
Quel travailleur n'est pas saisi d'indignation quand il entend le ministre Lagarde déclarer solennellement qu'elle exigera une « discipline absolue » des banques françaises et une « tolérance zéro pour les excès » ? « Discipline absolue », « tolérance zéro » ?

Alors même que, grâce au feu vert de la Commission européenne, les banques européennes ont bénéficié dans les huit derniers mois de 313 milliards d'euros de fonds publics, auxquels s'ajoutent près de 3 000 milliards d'euros de garanties ! Cela alors que les producteurs de fruits et légumes français sont menacés par la même Commission européenne de devoir restituer 500 millions d'euros d'aides « indûment perçues » il y a plusieurs années !

Cela alors que les fermetures d'usines, les restructurations et les licenciements par milliers frappent la classe ouvrière !
Le prix Nobel de l'économie, pourtant favorable au système capitaliste, Paul Krugman, a déclaré le 10 août : « Comment s'en sort-on ? La réponse technique est : Dieu seul le sait (...). Je crains que tout ne recommence, et dans un avenir pas très lointain. »

Tout recommence déjà : d'un côté, la spéculation qui part en flèche, de l'autre, la
destruction de l'emploi des ouvriers, du revenu des paysans, des services publics et des conquêtes de la démocratie.
« Dieu seul le sait » ?

Non. Les travailleurs savent où sont les solutions : qu'on commence par arrêter les plans de licenciements et récupérer les milliers de milliards offerts aux spéculateurs ; que, par ce biais, soit relancée la consommation par le pouvoir d'achat. Bref, que l'on gouverne pour sauver la classe ouvrière, la petite paysannerie, les secteurs les plus opprimés de la population, et non les spéculateurs !

On lit dans L'Humanité (10 août) un article annonçant la formation, en Corse-du-Sud, d'un « comité départemental pour l'interdiction des licenciements » constitué par « des militants politiques du PCF, du POI, des syndicalistes, des salariés ».
Cet article rend compte de la conférence de presse de ce comité et de sa décision
« d'envoyer des délégués à la conférence nationale du 5 septembre pour l'interdiction des licenciements ».

Il faut saluer la publication de ce compte rendu dans L'Humanité (lire aussi l'article de Corse-Matin, page 5).

Mais à cette lecture, tout travailleur s'interrogera : « Si, comme le dit l'article de
L'Humanité, la solution passe par l'action politique commune pour imposer l'interdiction des licenciements, alors cette question n'est pas posée dans un département, mais dans tous les départements. L'unité est une exigence non dans une seule conférence de presse, mais partout, à tous les niveaux, de tous les partis qui se réclament de la classe ouvrière et de la démocratie. Elle est donc posée à la direction nationale du PCF, qui doit dire maintenant, tout de suite : “Trop, c'est trop, marche unie pour l'interdiction des licenciements, il y a urgence”. »

La question est posée [1]

[1]. Question que pose d'ailleurs un élu communiste de Béziers (lire page 5).








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Message par interluttant » 16 Août 2009, 12:28

En vérité, cette conférence nationale du 5 septembre, c'est le Parti Ouvrier Indépendant qui l'organise, ou je me trompe ?
Je pose la question, car en vérité, "tout travailleur" (le "tout travailleur" cité par Daniel Gluckstein dans l'édito qui précède) ne se rend pas forcément compte que c'est cela.
interluttant
 
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Message par Crockette » 16 Août 2009, 13:21

peu importe interlutant, ça doit être surement le POI appuyé par le PCF.

de nbses manifs par le passé sur Paris, ont vu défilé des militant du PCF et du POI, est ce un hasard ? j'en sais rien.
toujours que de mémoire la dernière grosse manf organisée par le PCF à Paris, Nicolas Sarkozy faisait tranquillement son jogging...c'est dire l'influence du PCF.

toujours est il que créer partout des comités pour interdire les licenciements c'est louable, mais c'est insuffisant largement.

il faut exiger la création de comité de travailleurs partout ds les boites avec égal pouvoir aux patrons en matière de licenciement, planning, investissement, d'embauche, sanction disciplinaire avec de nvelles sanctions pour les patrons ou les investisseurs qui coulent sciemment les boites pour délocaliser; des choix de congés ou d etravail partiel, stratégie de développement, etc. . c'est la seule étape intermédiaire à l'arret du capitalisme.

aucun patron ne pourrait licencier s'il devait avoir l'accord d'un comité de travailleurs, car si ce comité serait élu démocratiquement, il ne trahirait par les salariés, comme le font actuellement les syndicats ou plutot les dirigeants des syndicats.
Crockette
 

Message par Front Unique » 21 Août 2009, 22:40

Informations ouvrières n° 60 semaine du 20 Août au 26 Août 2009

L'ÉDITO PAR DANIEL GLUCKSTEIN

Pandémie : de deux choses l'une...

De toute évidence, tout est fait pour faire souffler sur la rentrée un vent de panique. La pandémie de grippe est là. Enfin, pas encore. Mais quasiment. Les informations les plus alarmantes circulent. Donc, il faudrait s'attendre : à des classes fermées, et même des écoles entières, pour des périodes pouvant s'étendre jusqu'à 12 semaines ; à des services et des entreprises pareillement « lockoutés » dans les faits ; à des parents dont on exigera qu'ils restent chez eux pour garder les enfants ; à un « ralentissement économique » (la Grande-Bretagne l'évalue à 5 % du PIB) s'ajoutant aux conséquences déjà dramatiques de la crise et provoquant une aggravation des licenciements et du chômage partiel.

A quoi s'ajoutent les circulaires qui prévoient de saisir cette occasion pour expérimenter à grande échelle le « prêt de personnel » d'une entreprise à l'autre. A quoi s'ajoute le spectre d'un système de santé submergé, etc.
On remarquera que toutes ces mesures font l'objet de notes, de circulaires et d'instructions officielles. Au prétexte de la lutte contre une pandémie généralisée, elles constituent un ensemble de mesures qui frappent les travailleurs, la jeunesse, et plus généralement des foyers populaires ! Et bien sûr — pandémie oblige —, tout le pays est appelé à faire corps dans une « Union sacrée » d'un nouveau genre, devant laquelle les intérêts de classe devraient s'effacer.

Nous ne disposons pas, pour notre part, des moyens de juger scientifiquement de l'ampleur que prendrait une possible pandémie.

Mais de deux choses l'une.

Soit les risques sont exagérés. Et alors, que signifieraient les mesures en préparation ?
S'agirait-il de profiter de l'occasion pour accroître et accélérer la dislocation de l'école publique, le non remplacement des enseignants, une désorganisation générale des services publics, des lock-out dans l'industrie et la déréglementation des accords collectifs arrachés par la classe ouvrière ? Inacceptable !

Soit les risques sont réels. Alors, des mesures d'urgence véritables s'imposent, dictées par la préservation de la population. Premièrement — tous les spécialistes s'accordant sur l'importance de la prévention —, un plan d'urgence de vaccination de toute la population, ce qui implique notamment l'annulation des fermetures de lits dans les hôpitaux, le rétablissement des 50 000 postes supprimés, la réouverture des centres municipaux de santé et un plan de mobilisation générale pour assurer la vaccination de tous.

Deuxièmement : l'embauche en masse d'enseignants pour remplacer ceux qui seraient malades, pour organiser méthodiquement le rattrapage des cours pour les élèves qui seraient amenés à manquer l'école.

Troisièmement : garantir aux travailleurs que, durant tout le temps de la pandémie, il y aura maintien intégral des salaires, gel des plans de licenciements, interdiction des lock-out, et plus généralement de tous les plans de déréglementation du gouvernement.

Qu'est-ce qui pourrait s'opposer à de telles mesures d'urgence et de sauvegarde du peuple travailleur ?

Osera-t-on dire qu'il n'y a pas d'argent ? Des milliers de milliards d'euros ont été distribués aux banquiers et aux spéculateurs dans les différents pays de l'Union européenne dans les derniers mois. Qu'on les confisque pour les affecter au plan d'urgence de sauvegarde de la population !

N'est-ce pas là la voie ouvrière pour faire face au risque de pandémie annoncée ?










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Message par Front Unique » 27 Août 2009, 02:29

Informations ouvrières n° 61 semaine du 27 Août au 2 septembre 2009

L'ÉDITO PAR DANIEL GLUCKSTEIN

Six crises à contenir...

“Rentrée politique: les six crises à contenir » : sous ce titre, Le Monde passe en
revue la rentrée du gouvernement Sarkozy. Il y est question de la taxe carbone, préconisée par le rapport du « socialiste » Michel Rocard ; de l'inévitable « hausse des licenciements » face à laquelle on ne pourra « compter que sur les mesures de compensation », notamment « les contrats de transition professionnelle étendus prochainement dans 40 bassins d'emplois » grâce au vote des députés du PS et du PCF ; de « la réforme des collectivités territoriales », un dossier jugé « explosif » par Le Monde, puisqu'il s'agit d'aller jusqu'au bout de la remise en cause des départements et des communes (dans ce cadre, le journal signale que « doit être examiné en octobre, au Parlement, le projet de loi transformant La Poste en société anonyme » ; heureusement, se rassure Le Monde, « qu'un comité national » a été mis en place, qui se contente prudemment d'en appeler à une consultation de la population).

Parmi les « crises à contenir », Le Monde évoque également la grippe A, la sécurité et l'éducation, où il faudra « gérer 16 000 nouvelles suppressions de postes » s'ajoutant en 2010 aux 13 500 qui disparaissent à cette rentrée.

Donc, si l'on résume : des « crises à contenir », des crises qui, selon l'honorable quotidien, devraient être contenues… grâce à l'implication des dirigeants des partis de gauche dans l'accompagnement ou la mise en œuvre de ces contre-réformes.

Cette situation — qui fait suite à la succession des journées d'action saute-mouton de l'an passé — ne facilite pas la riposte sur le terrain de la lutte de classe.

Pas plus que les déclarations d'un secrétaire confédéral de la CGT, Mourad Rhabi, en plein été, prenant l'engagement public : « Il n'y aura pas de grève générale. » Pas plus que celle, lui faisant écho, du secrétaire général de la CFDT, François Chérèque, se prononçant ce 25 août contre une telle perspective.

Et pourtant, placés en situation de légitime défense, les travailleurs disposent-ils d'un autre recours que leur lutte de classe dans l'unité ? Certes, on le voit, ils sont confrontés à des obstacles. Mais, oui ou non, sont-ils fondés à recourir à la grève contre la politique destructrice qui les frappe ? Oui ou non, par exemple, les postiers confrontés à la loi de privatisation et à ses conséquences sont-ils fondés à recourir à la grève dans l'unité pour le retrait du projet de loi et la défense de leur statut ?

Pour notre part, nous affirmons qu'aussi difficile que soit la situation à laquelle les
travailleurs sont confrontés du fait de la politique des appareils, est légitime, parce que relevant de la légitime défense, toute action qui emprunte la voie de la lutte de classe dans l'unité.

Ce qui nous ramène à la question politique de l'unité, celle des travailleurs et de l'ensemble des organisations se réclamant de leurs intérêts autour des mots d'ordre de défense et de préservation de la classe ouvrière. Et pour commencer : interdiction des licenciements.

Ce n'est que sur cette voie qu'il sera possible de desserrer l'étau dans lequel on voudrait contraindre les travailleurs et leurs organisations à accompagner tous les plans destructeurs.

Tel est l'enjeu réel des « crises » en cette rentrée. Crises que les organisations ouvrières n'ont certainement pas pour mandat d'aider le gouvernement à contenir. N'en déplaise au Monde et aux partisans de tout poil de la gouvernance corporatiste.










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Message par Crockette » 31 Août 2009, 06:40

Mourad Rahbi fait fort en ce moment : il explique qu'interdire les licenciements c'est impossible, qu'une grève générale c'est pas possible...

il manque plus que de qualifier de noms d'oiseaux les partis politiques à gauche du PCF...

à quand une fusion CFDT CGT ? ce serait un bon moyen d'écraser tous les autres syndicats cela non ? et de juguler définitivement les méchants manipulateurs de l'extreme gauche lors des greves non ? :33:
Crockette
 

Message par Front Unique » 05 Sep 2009, 19:15

Informations Ouvrières N° 62 semaine du 3 septembre au 9 septembre 2009

L’EDITO PAR DANIEL GLUCKSTEIN

Ils “ont fait leur job”. Qui fera le nôtre ?

On lit dans Le Monde (1er septembre) : « Le 15 septembre 2008, la banque d’affaires Lehman Brothers faisait faillite. Comme terrassée par un infarctus, l’économie mondiale s’effondrait (…). Un an a passé (…). Les gouvernements “ont fait le job”, le système financier a été sauvé. » C’est un fait : les gouvernements ont « fait le job », celui de la classe capitaliste. Ils ont déversé des milliers de milliards d’euros et de dollars pour renflouer les banques et les spéculateurs. Et on nous annonce aujourd’hui une « reprise » ?

La seule reprise, c’est celle de la spéculation, de l’exploitation et des licenciements. Un ouvrier de l’automobile témoigne : « La direction a reçu plus de trois milliards du gouvernement. Elle les a utilisés pour financer les suppressions d’emplois, baptisées “départs volontaires”. Et maintenant, elle fait appel à plusieurs centaines d’intérimaires. »

Oui, les gouvernements ont « fait leur job ». En France, ils ont offert 420 milliards d’euros aux capitalistes et aux spéculateurs. Et pendant ce temps-là, en cette semaine de rentrée, on apprend que ce sont 100 000 postes qui ont été détruits dans l’Education nationale en six ans ! En masse salariale, cela représente, chaque année, moins de 1 % des 420 milliards d’euros offerts en un claquement de doigts aux capitalistes et aux spéculateurs...

C’est la rentrée : des milliers de postes d’enseignants RASED sont supprimés en primaire, et, de ce fait, des dizaines de milliers d’enfants en difficulté seront privés de toute possibilité de suivre une scolarité correcte.
Oui, le gouvernement « a fait son job ». Mais qui « fera le job » pour la classe ouvrière ?

A l’université du PS, Martine Aubry a formulé nombre de critiques tout à fait justes vis-à-vis du gouvernement Sarkozy. Mais qu’a-t-elle proposé ? Les milliards versés aux capitalistes ? « Il fallait bien sûr les aider. » Les confisquer ? Pas question. Elle condamne « la désindustrialisation, avec son cortège de licenciements, (qui) n’est ni nécessaire, ni utile, ni fatale ». Fort bien. Mais alors, s’agit-il d’interdire les licenciements ? Non, il faut « financer le reclassement des salariés, accroître le niveau et la durée de l’indemnisation du chômage ». Les jeunes ? Elle préconise « la création de 150 000 emplois jeunes dans l’économie verte », autrement dit la précarité.

On comprend, dans ces conditions, que le directeur de la rédaction du journal capitaliste Enjeux-Les Echos se félicite que le PS ne semble pas s’opposer à la politique du gouvernement. Et pendant ce temps, des dizaines de milliers d’enfants sont refusés dans les écoles, on licencie à tour de bras. Les travailleurs se poseront la question : comment se fait-il que les partis qui se réclament de la classe ouvrière, leurs dirigeants, refusent obstinément de « faire leur job » ? Et pour commencer : unir leurs forces dans l’exigence incontournable de l’interdiction des licenciements. La question sera débattue dans la rencontre du 5 septembre.

Le POI, pour sa part, se prononce pour la nationalisation sans indemnité ni rachat des entreprises qui licencient, la confiscation de leurs avoirs, l’interdiction de tous les licenciements, le droit à un vrai travail, un vrai salaire pour tous, et en particulier pour chaque jeune, garanti par les conventions collectives et les statuts, et pour la confiscation des 420 milliards offerts aux banquiers. Cela pour mettre en oeuvre un véritable plan d’urgence, de maintien des emplois et des garanties collectives.

Le POI : un parti qui n’a d’autre intérêt que l’unité de la classe ouvrière et de ses organisations pour la défense et la reconquête de tous les emplois et de la démocratie.


PAR DANIEL GLUCKSTEIN

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