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Message Publié : 20 Mars 2009, 15:10
par Tom
Communiqué de la FSE :

Un militant de la FSE grièvement blessé par la police à Toulouse !
Tous unis contre la répression !

Hier, la manifestation interprofessionnelle a réuni près de 110.000 manifestants à Toulouse contre les attaques du gouvernement et les effets de la crise sur les travailleurs : licenciements, précarité, casse de l'éducation et de la santé etc.
Le cortège étudiant s'est terminée par une action « d'autoréduction », votée en Assemblée Générale, réunissant plusieurs centaines d'étudiants, de lycéens et de travailleurs. Le principe de cette action symbolique était de bloquer les caisses du magasin en échange de la gratuité de plusieurs produits. Alors que tout se déroulait dans le calme, la Brigade Anti-Criminalité accompagnée des gardes mobiles ont chargé violemment les manifestants qui bloquaient le magasin.
Après une première charge sans sommation pour évacuer les entrées du magasin, où au moins deux manifestantes se sont faites ouvrir le crane par des coups de matraques, les forces de l'ordre ont tenté de disperser la foule avec des tirs de flash ball et des bombes déflagrantes. Un militant de l'AGET-FSE a été grièvement blessé près de l'œil par un tir tendu de flash ball. A l'heure où nous écrivons, notre camarade est toujours hospitalisé.
La Fédération Syndicale Étudiante condamne fermement les violences policières et dénoncent la répression qui s'abat sur ces militants.
Malgré les intimidations du ministère et de la police, la FSE continue et continuera son combat avec la plus grande fermeté pour une fac ouverte aux enfants d'ouvriers !

Solidarité avec notre camarade !
Face à la répression, la solidarité est notre arme !

Message Publié : 23 Mars 2009, 20:00
par Tom
Et voici un article paru aujourd'hui dans la presse régionale. Le témoignage du camarade de l'AGET-FSE blessé est aussi effrayant qu'édifiant sur la violence de la répression policière actuelle :

Publié le 23/03/2009 08:48 - Modifié le 23/03/2009 à 14:52 | Valérie Sitnikow

«J'ai reçu un tir de flash ball dans l'œil» lors de la manif
Lors des incidents de jeudi.


- « J'ai un œil en moins. J'y vois tout noir. La rétine est décollée, avec un hématome interne, le plancher orbital fracturé. Le pronostic des médecins est réservé… » Joan, 25 ans, est hospitalisé depuis jeudi soir au service d'ophtalmologie du CHU Purpan. Il va subir dans les prochains jours deux interventions délicates, pour tenter de lui sauver son œil. C'est la triste conséquence pour cet étudiant en L3 au Mirail qui s'est trouvé au mauvais endroit au mauvais moment, jeudi soir, en marge de la manif interprofessionnelle de Toulouse. Joan a été atteint au visage, vraisemblablement par un tir de flash ball, lors des incidents qui ont éclaté devant le magasin Monoprix au centre ville en début de soirée entre les forces de l'ordre et les manifestants du mouvement étudiant. Les policiers de la Bac et de la compagnie d'intervention ont fait usage de ces armes, tirant des balles en caoutchouc, pour repousser les manifestants qui venaient d'effectuer un « blocage économique » aux entrées du magasin.

Quelques uns d'entre eux étaient entrés à l'intérieur, pour une action « d'auto distribution » symbolique aux plus démunis, méthode apparentée aux Robins des bois.

« J'étais à la manif et je suis resté dans la cortège étudiant. On s'est retrouvé devant Monoprix. Je suis resté aux abords. je n'étais pas dans la chaîne humaine qui bloquait le magasin. Et puis, ça a basculé. Les flics ont chargé. J'ai entendu des bruits de détonation. Un attroupement s'est formé, je me suis replié à l'intérieur pour ne pas rester isolé. On s'est mis à reculer doucement.

A MOINS DE DIX METRES
On était contre la ligne des CRS. Ils m'ont tiré dessus alors que j'étais à moins de 10 mètres d'eux. J'étais effectivement au premier rang, confiant, entrain de dire on recule, on s'en va. Je n'ai absolument pas jeté de canettes ni de projectiles. Je suis sûr que c'est une balle de flash ball qui m'a touché, vu la force et l'impact… On m'a clairement visé ».

Mael, 19 ans, étudiant et pompier volontaire a prodigué les premiers soins à Joan, transporté par ses camardes à l'intérieur du Virgin Mégastore. « On a attendu près de trois quarts d'heure avant que les secours, bloqués derrière la ligne de police, puissent accéder jusqu'à nous ».

« Il est certain que je ne récupérerai pas la totalité de ma vision, un petit peu dans le meilleur des cas », confie Joan, « je trouve que c'est complètement disproportionné et injuste. Sincèrement, je ne comprends pas pourquoi ils ont tiré… »

http://www.ladepeche.fr/article/2009/03/23...e-la-manif.html

Message Publié : 09 Avr 2009, 11:09
par Tom
Solidarité avec nos camarades réprimés !
Pour lutter contre la répression : la solidarité est notre arme !


Les violences policières, les arrestations arbitraires, les comparutions immédiates ne cessent de se multiplier. Désormais, chaque mouvement social est l'occasion de violences de plus en plus graves de la part des « forces de l'ordre ».
Cette année, un militant de l'AGET-FSE, Joan, a été grièvement blessé à l'œil par un tir de flash ball le 19 mars lors d'une action « d'auto réduction » réunissant plusieurs centaines d'étudiants, de lycéens et de travailleurs. L'action se déroulait dans le calme jusqu'à ce que la brigade « anti criminalité » et les gardes mobiles interviennent, ouvrent le crâne de deux militantes à coups de matraques et blessent grièvement Joan à l'œil.
A l'heure où nous écrivons, il s'apprête à subir deux opérations sous anesthésie générale, qui ne lui permettront pas de récupérer la totalité de sa vue.

Nous dénonçons ces violences policières inacceptables qui ne cessent de se multiplier et se généraliser. Nous affirmons toute notre solidarité avec le camarade Joan dans toutes les poursuites judiciaires qu'il entamera.

Avec la crise économique, sociale et politique, la classe dominante va vouloir avoir le champ plus libre que jamais pour faire passer ses attaques. Il est de notre responsabilité de nous préparer à résister à cette violente répression en mettant en place un collectif de lutte contre la répression.

Mais la généralisation des violences policières est telle que nous ne pouvons nous contenter de quelques actions de solidarité isolées. Plus que jamais, nous devons être tous unis contre la répression !


Premiers signataires : Fédération Syndicale Étudiante, Sud Éducation, Sud Étudiant, Sud Lycéen, Union Syndicale Solidaire, AGEN, ARENE, Union Pour le Communisme, ROC-ML (Communistes En Luttes, Militant Communiste, JCML Albi, JCML Pau, Les Amis de Karl Marx), Voie Prolétarienne – Partisan, JCML du Rhône, NPA 31, RUSF Toulouse, CGT Altran Sud Ouest, Marxistes Unitaires, Émancipation tendance intersyndicale, CNT-FTE, Scalp 87, CGT Éducation 31, UL CGT Mirail (Toulouse), UL CGT Sud (Toulouse), Jeunes CGT, Syndicat Local Construction CGT 31 , CGT Territoriaux 31, Alternative Libertaire, PCOF 31, Résistances Multiculturelles, CGT-E Dalkia, Le Torchon brûle attisons le! etc.

Message Publié : 09 Avr 2009, 11:12
par Tom
COMMUNIQUE DU COLLECTIF GENERAL DES TRAVAILLEURS
DALKIA ENERGIE FRANCE


Non à la répression policière
Non a la criminalisation de l’activité syndicale
Soutien à Joan et solidarité avec nos camarades étudiants de l’AGET-FSE


Le CGT-E de SUD Energie, dénonce les méthodes policières faites de provocations et de violences à l’encontre des militants syndicaux et des étudiants qui luttent légitimement et pacifiquement contre les réformes de l’état bourgeois, et ses vassaux gouvernementaux.
Qu’elle soit de la part de l’état et ses forces répressives, du patronat souvent relayé et soutenu par une frange de syndicats corrompus, la criminalisation de l’activité syndicale de lutte de classe et de masse, doit être dénoncée et combattue avec force et ténacité.
L’agression dont a été victime notre Camarade Joan, n’est que le reflet de la volonté du gouvernement de museler les masses en faisant taire y compris physiquement les militants les plus convaincus que seule la lutte brisera les chaînes de l’oppression de la classe ouvrière et du prolétariat.
Nous apportons toute notre aide et notre solidarité de classe à Joan, comme à tous les militants de la FSE.
En tant que syndicat de lutte de classe et de masse, tout comme nous combattons la criminalisation du seul vrai syndicalisme, nous lutterons aux coté de nos camarades étudiants, contre les violences qu’elles soient policières ou autres.
Le CGT-E de SUD Energie, s’engage au coté de la FSE dans la création d’un collectif anti-répression et propose qu’il soit étendu à la lutte contre toute forme de criminalisation de l’activité syndicale et revendicative.
Il appelle l’ensemble des syndicats fidèles aux valeurs de lutte de classe et de masse, à s’associer et a participer à ce collectif anti-répression et criminalisation


Ils sont nos tous enfants, nous ne laisserons pas faire.
La Grève et la solidarité sont nos armes.
Contre la répression, contre la criminalisation de l’activité syndicale,
Etudiants, ouvriers, Ensembles unis pour lutter.

Message Publié : 09 Avr 2009, 17:15
par Tom
Le manifestant blessé porte plainte contre la police
Justice. Un étudiant avait été atteint à un œil vraisemblablement par une balle de flash ball devant Monoprix.

Grièvement blessé à un œil lors de la manifestation du 19 mars et des incidents survenus devant Monoprix, Joan, un étudiant de 25 ans, a porté plainte. Cette plainte, déposée mardi matin auprès du parquet, vise explicitement les forces de police qui sont intervenues ce jour-là. Les avocats du jeune homme, Mes Julien Brel et Pascal Nakache, ont retenu l'intitulé suivant : «Violence volontaire avec arme par personne dépositaire de l'autorité publique ayant entraîné une mutilation ».

Joan ne retrouvera peut-être jamais l'usage de son œil droit. Trois semaines après sa blessure, « il perçoit uniquement un filet de lumière sur le côté droit. Et les médecins sont très réservés sur l'évolution », indique un de ses avocats. L'étudiant, qui a subi de lourdes interventions chirurgicales, doit encore se faire opérer. Et sa blessure provoque toujours de vives douleurs.

balle de caoutchouc

Ce jeudi 19 mars, en fin d'après-midi, plusieurs étudiants pénètrent dans le Monoprix pour charger des chariots pendant que d'autres bloquent les accès. Leur objectif : « Un blocage économique avec redistribution de nourriture », selon leurs termes. Du vol, selon le gérant du supermarché qui appelle la police. Joan, selon ses dires (notre édition du 23 mars), ne participe pas à l'opération. Il a manifesté, puis est resté aux abords du Monoprix. Les policiers repoussent d'abord sans ménagement les bloqueurs. Un peu plus tard, ils tirent au flash ball. L'étudiant se trouve dans une chaîne, « bras dessus, bras dessous, en train de reculer », selon ses avocats, quand il est atteint par un projectile, vraisemblablement une balle de caoutchouc de flash ball. Son entourage en est en tout cas convaincu. « C'est évident, martèlent ses avocats. Il y a eu quelques projectiles tirés par des manifestants, mais depuis l'arrière. » Le certificat médical mentionne en outre « des lésions compatibles avec une balle de flash-ball ». Décrit comme un jeune homme posé, réfléchi, Joan, ne comprend pas pourquoi les policiers ont tiré. Il doit s'exprimer publiquement cet après-midi en compagnie de ses avocats.

Sollicités, la direction de la police et le procureur de la République n'ont pas souhaité s'exprimer pour l'instant. Le représentant du syndicat de police Unsa, Didier Martinez, « déplore » cette blessure, « s'il s'agit bien d'une balle de flash ball », mais fait observer que les policiers agissaient « dans le cadre d'un maintien de l'ordre, face à un groupe de personnes. Ces moyens de défense ont été utilisés pour disperser les gens, pas pour cibler une personne », indique-t-il.

http://www.ladepeche.fr/article/2009/04/09...-la-police.html

Message Publié : 10 Avr 2009, 11:02
par Tom
Le manifestant blessé : "Pourquoi m'a-t-on tiré dessus ?"
Justice. Une information judiciaire ouverte hier pour enquêter sur les conditions d'utilisation du flash ball.

Entouré de ses avocats, Mes Pascal Nakache et Julien Brel, de Catherine Lemorton, député PS, de Jean-François Mignard, président local de la Ligue des droits de l'Homme, et de nombreux étudiants, Joan, grièvement blessé à un œil lors des incidents devant le Monoprix le 19 mars, s'est exprimé publiquement hier à la Bourse du travail. « Mon sentiment, c'est l'incompréhension. Je veux savoir pourquoi on m'a tiré dessus », a-t-il résumé.

Le jeune homme, qui porte un bandeau blanc sur l'œil, est revenu sur les circonstances dans lesquelles une balle de flashball l'a vraisemblablement atteint. En marge de la manifestation, il se trouvait devant le Monoprix, rue Alsace, lorsque les incidents ont éclaté. Il n'a pas participé à l'opération commando qui visait le magasin et qui a entraîné l'intervention de la police. « J'étais dans un groupe face à la police. Mais on partait. Pour moi, c'était fini. La situation n'était pas chaude. C'est d'ailleurs pour ça que je n'ai pas vu le tir car mon attention n'était pas focalisée sur les policiers. »
entendu ce matin par un juge

À la suite de la plainte déposée mardi (lire notre édition d'hier), le procureur de la République, Michel Valet, a ouvert, hier matin, une information judiciaire contre X pour « violence par personne dépositaire de l'autorité publique avec usage d'une arme ». « L'ouverture d'une information judiciaire n'est pas un acte d'accusation. Il s'agit de se donner le cadre juridique le mieux adapté à ce qui s'est passé », a simplement commenté le chef du parquet de Toulouse. Joan doit être entendu ce matin, au palais de justice, par le juge d'instruction Philippe Guichard.

L'instruction devra déterminer dans quelles conditions le flash ball a été utilisé. Le cadre du maintien de l'ordre est bien prévu par la loi mais son usage est réglementé. Concrètement, le juge devra répondre notamment aux questions suivantes : la distance de tir a-t-elle été respectée ? Ces tirs étaient-il proportionnés à la situation ? « Non », a insisté hier Me Brel en réponse à cette dernière question. Une « disproportion » également dénoncée par Catherine Lemorton et Jean-François Mignard.

http://www.ladepeche.fr/article/2009/04/10...ire-dessus.html

Message Publié : 10 Avr 2009, 17:53
par Tom
Blessé par la police, Joan porte plainte: le parquet ouvre une enquête

SOCIÉTÉ. Soutenu par la ligue des droits de l’homme, Joan, un étudiant de 25 ans griè- vement blessé par un tir de flashball lors de la manifes- tation du 19 mars dernier, porte plainte contre la police.

Un œil sérieu- sement amoché, onze jours d’hôpital, et deux opérations de chirurgie faciale : Voila ce qu’il en a coûté à Joan, pour s’être retrouvé, selon un syndicat de police, «au mauvais endroit au mauvais moment».

En l’occurrence face aux CRS et aux fonctionnaires de la Brigade anti-criminalité (Bac) aux abords du Monoprix alors que ce dernier venait de faire l’objet d’une action d’“auto réduction”, un détournement de marchandises sans passer par les caisses, menée par un groupe d’étudiants. Le parquet de Toulouse a ouvert une enquête.

Joan: «je veux savoir pourquoi on m'a tiré dessus». Photo: DR

«Je veux savoir pourquoi on m’a tiré dessus» : accompagné de ses avocats, M° Julien Brel et Pascal Nakache, Joan fait face aux journalistes dans la grande salle de la Bourse du travail, place Saint Sernin. «Cet œil-là ne voit plus, dit-il en touchant le bandeau qui couvre son œil droit. Sauf miracle, les médecins m’ont dit que je ne récupérerais qu’une infime partie de la vison périphérique».

Calmement, le jeune licencié en sociologie à l’Université du Mirail raconte sa version des faits. Le 19 mars dernier, il était dans le cortège étudiant de la manifestation qui rassemble près de 70 000 personnes dans les rues de Toulouse.
En fin de parcours, aux abords de la place du Capitole, il assiste comme une foule de témoins au détournement de quelques caddies de chips et de boîtes de conserve dans le Monoprix de la rue d’Alsace-Lorraine «pour dénoncer, selon les auteurs, la précarité de la condition étudiante».

Alertés par la direction du Monoprix, les CRS et les fonctionnaires de la Bac interviennent pour dégager l’entrée du magasin. «Je ne savais pas ce qui se passait, raconte Joan. J’ai entendu des cris. Je me suis approché. Avec d’autres manifestants, nous nous sommes retrouvés au contact devant le cordon de police. Ils nous ont ordonnés de reculer, ce que nous avons fait. Derrière nous des canettes ont volé en direction des CRS. Ces derniers nous ont alors tiré dessus».

«Comme un coup de poing à la tête» : voila ce qu’a d’abord ressenti Joan. Le visage en sang, il est évacué par des témoins dans l’entrée du Virgin Mégastore. Allongé sur le sol, il «n’y voit plus rien. Les pompiers bloqués par les policiers mettront une demi heure à m’évacuer vers les urgences », précise-t-il.

«La réponse policière sans sommations a été d’une violence hors de proportions», commentent les avocats de Joan. Ces derniers qui affirment «disposer de nombreux témoignages, images à l’appui» viennent de porter plainte pour «violences volontaires avec arme par personne dépositaire de l’autorité publique ayant entraîné une mutilation».

«Ça s’appelle une bavure», tonne Jean-François Mignard, président de l’antenne locale de la Ligue des droits de l’homme, présent lui aussi aux cotés de Joan.

«C’est un incident regrettable, mais les policiers sont intervenus avec la palette de moyens à leurs dispositions pour protéger les personnes et les biens. Le flashball en fait partie, a rétorqué au micro de RMC, Didier Martinez, secrétaire national de l’UNSA police. Ce jeune homme s’est trouvé au mauvais endroit au mauvais moment ».

De son côté, le parquet de Toulouse vient d’ouvrir une enquête. «C’est une première victoire car c’est un avertissement et un signal fort donné aux policiers », estiment les avocats de Joan. Ce dernier doit être à nouveau opéré dans les prochaines semaines.

J-M.E
libé toulouse

Message Publié : 14 Avr 2009, 09:49
par Tom
Nouveaux signataires de l'appel unitaire :

CGT OPH Habitat Toulouse, SLB Bro Roazhon, Attac Campus, Collectif Libérons Georges Ibrahim Abdallah, L'Association des Amis du Manifeste, Coordination des intermittents et précaires (Ile de France), Coordination Nationale des Universités, blog Futur Rouge, site Unicaen, blog Où va la CGT?, PCmF, PCF Tolbiac etc.

Message Publié : 14 Avr 2009, 14:04
par Tom
Pour info, l'Appel unitaire est toujours ouvert à signature si cela intéresse LO, le POI, le CCI-T etc.