service social- intervention

[Aumance]

cela  surtout que bizarrement, les personnes dépressives finissent par "aimer" leur dépression.
mais bon faut essayer quand même

Othar,

comment pouvez-vous dire celà ?

un dépressif 'n'aime' pas sa dépression comme on aime son mari, son enfant, son chien ou le chocolat !!!!

simplement, quand il (ou elle) rencontre un psychiatre, il (ou elle) a l'impression d'exister (enfin !!!!!) ;

en fait, un dépressif doit "mettre la main au porte-monnaie" pour être écouté, compris, et même pardonné d'être malade ! en gros, il doit professionnaliser sa souffrance et payer, pour EXISTER, pour VIVRE , tout simplement !

[Aumance]

Merci à tous pour vos nombreuses interventions. Je tenais simplement à vous expliquer un peu plus de quoi il s,agit parce-que je me suis sentie quelque peu agressée par certains commentaires...

Nous n'avons pas dit que nous allions forcer Sophie, ni quoi que ce soit d'autre.

si je fais partie des camarades dont la réponse vous a heurtée, j'en suis sincèrement confuse !

dès la publication de votre article, j'ai pensé qu'il s'agissait d'un portrait caricatural, supposant que les différents commentaires vous permettraient de préparer un exposé sur ce thème !

je n'ai pas la prétention de détenir la vérité, mais, ayant été confrontée aux 2 cas (hospitalisation d'office pour une personne , et soins discutés mais librement consentis pour une seconde), j'ai tenu à vous faire part de ma modeste expérience sur le sujet ;

j'ai, il est vrai, des idées très tranchées concernant la psychologie , la psychothérapie et la psychiatrie ; je vous accorde que je vous ai livré mes arguments et opinions sans papier cadeau ! mes réponses catégoriques concernaient la situation décrite (et quelque peu maquillée) par vos soins !, mais en aucun cas un jugement sur quelque personne que ce soit : la jeune Haïtienne, les travailleurs sociaux ou vous même !