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Message Publié : 02 Août 2004, 23:36
par mael.monnier
Source(s) ?

Message Publié : 03 Août 2004, 15:44
par Nadia
Celui-là ?

Les 200 familles au pouvoir
Auteur : COSTON Henry

Lieu d'édition : Paris
Editeur : Coston
Année d'édition : 1977
Nombre de pages : 264 p
Cote CHT : COS 6 (cda), PEN 3


ou c'lui-là ?

AUTEUR : Gabriel Milési
TITRE : Les Nouvelles 200 familles : les dynasties de l'argent, du pouvoir financier et économique
EDITEUR: Belfond
PARU LE: 01/01/1990
FORMAT : 366 p. ; 23 x 14 cm
PRIX : Br. 140,00 FRF - 21,34 EUR
RESUME :
Dans les années 30, la gauche dénonçait les 200 familles qui contrôlaient l'industrie, la banque et
l'assurance. Aujourd'hui, le capitalisme familial connaît un nouvel essor, restaurant ainsi cette mythologie.
SUJETS : Bourgeoisie (grande) : France : 1990


ou encore c'lui-là ?

LES 200 FAMILLES.
LE CRAPOUILLOT.
Paris, Le Crapouillot N special - Mars 1936

Message Publié : 03 Août 2004, 16:09
par logan
[QUOTE]
Il existerait donc 8 millions de personnes à travers la planète à détenir plus de 1 million de dollars (830 000 euros) d’actifs financiers. Huit millions, ce n’est pas beaucoup : c’est la population de l’Autriche ou, plus proches de nous, celles des régions du Nord - Pas-de-Calais et de la Normandie réunies.
Mais, pour Merrill Lynch, il y a mieux. Les… super-riches. Ceux dont la fortune finan­cière dépasse les 25 millions d’euros. Ils ne sont que 70 000 dans le monde. Et moins de 5 % d’entre eux sont des Français[...]
Pour des raisons légales, il n’est en effet pas question d’évaluer d’autres types d’actifs, comme les immeubles de famille, les œuvres d’art ou les yachts. La base de données de l’Observa­toire des riches ne déborde donc en aucun cas sur le territoire de la vie privée, que souhaitent, à juste titre, protéger les familles concernées. Ce fichier strictement confidentiel de personnalités du monde de l’industrie, du commerce et de la finance est « nourri » en permanence par les articles de presse, les extraits du tribunal de commerce, les avis boursiers et les annonces de cessions. La base est complétée par notre méthode d’évaluation – qui ins­pire d’autres publications en Suisse, en Belgique, en Allemagne et… en France. (Source : Challenges -les riches en France- juillet 2004

Les fortunes sont donc largement sous estimées.

Message Publié : 16 Nov 2004, 11:54
par logan
;)

Message Publié : 16 Nov 2004, 13:01
par pelon
L'impôt sur la fortune, en France se paie à partir de 720 000 euros. Une bonne partie d'entre eux devrait faire partie des 8 millions.

Message Publié : 12 Jan 2005, 00:11
par esboy
(Fan_Bizet @ mercredi 14 janvier 2004 à 10:56 a écrit :Dans une société communiste, le problème pour une entreprise de survivre n'esiste pas.
Soit l'entreprise fabrique quelque chose d'utile et de la bonne façon: on l'a conserve
Soit elle roduit des choses inutiles ou de manière incorrecte (pollution, condition de travail etc...): on modifie les procédés ou on la ferme.

mais alors
que signifie utile?
que signifie bonne façon?
que signifie LA bonne façon? (dès qu'un problème est un tant soit peu complexe, la solution n'est plus unique)
qui est "on"?

Message Publié : 12 Jan 2005, 14:26
par lenzo
esboy
a écrit :QUOTE (Fan_Bizet @ mercredi 14 janvier 2004 à 10:56)
"Dans une société communiste, le problème pour une entreprise de survivre n'esiste pas.
Soit l'entreprise fabrique quelque chose d'utile et de la bonne façon: on l'a conserve
Soit elle roduit des choses inutiles ou de manière incorrecte (pollution, condition de travail etc...): on modifie les procédés ou on la ferme".

mais alors
que signifie utile?
que signifie bonne façon?
que signifie LA bonne façon? (dès qu'un problème est un tant soit peu complexe, la solution n'est plus unique)
qui est "on"? 

Utile, ce qui correspond aux besoins : alimentaires, santé, culture, etc. Par opposition à inutile : armement, certains produits de luxe, etc

La bonne façon : sans détruire plus que fabriquer au travers de la pollution, d'individus qui crèvent de leur travail, etc

On : l'ensemble des individus de la société.

Message Publié : 12 Jan 2005, 15:23
par j1v3
(esboy @ mercredi 12 janvier 2005 à 00:11 a écrit :
(Fan_Bizet @ mercredi 14 janvier 2004 à 10:56 a écrit :Dans une société communiste, le problème pour une entreprise de survivre n'esiste pas.
Soit l'entreprise fabrique quelque chose d'utile et de la bonne façon: on l'a conserve
Soit elle roduit des choses inutiles ou de manière incorrecte (pollution, condition de travail etc...): on modifie les procédés ou on la ferme.

mais alors
que signifie utile?
que signifie bonne façon?
que signifie LA bonne façon? (dès qu'un problème est un tant soit peu complexe, la solution n'est plus unique)
qui est "on"?

Tes questions sont louables mais crois tu qu'on se les pose actuellement au niveau des entreprises ?

On, c'est nous tous, car contrairement à ce qui a été dit plus haut je ne trouve pas normal qu'il y'ai des sur-hommes irremplacables (les patrons et les actionnaires) et des sous-hommes interchangeables (les visseurs de boulon). Il n'y a rien qui justifie ce raisonnement, non seulement c'est profondemment injuste mais c'est complétement idiot. Cette société pèche par son individualisme, on nous bassine dès notre enfance sur le parcours personnel alors que c'est l'avenir de l'humanité qui devrait nous préocupper. Notre existence est un événement (dans le sens ou elle a un début et une fin), bien que pas trop calé en astro-physique si j'ai ben compris l'existence même de cette planête est un évement, améliorer et développer notre cadre de vie ca me parrait plus important que réussir personnellement.

Dans le système économique que Bizet décrit succintement les décisions seront prises par l'ensemble des personnes concernées par le problème : la société. Ca te semble moins liberticide que le destin de l'humanité repose dans les mains de quelques centaines de gus ?

Message Publié : 12 Jan 2005, 17:15
par esboy
pour lenzo:
je suis un matheux borné :roll:
pour me définir l'utile et l'inutile, il faut soit donner une liste exhaustive (hum hum, impossible, ce qu'on a pas encore créé n'y serait pas), soit donner une méthode qui permette de décider pour chaque chose.
par exemple le luxe: où commence-t-il? à quel niveau de qualité?
pour les loisirs (il en faut!), quels sont les loisirs trop inutiles?

puis tu donnes une définition de UNE bonne façon. entre toutes les bones façons de faire quelque chose, comment décider quelle est LA bonne?

enfin, si on est "l'ensemble des individus de la société", cela signifie-t-il une démocratie participative qui doit se mettre en marche pour toutes les décisions à prendre?
car prendre une décision est très complexe, chercher un consensus encore plus (sur un projet industriel ou autre, plusieurs chefs de projet signifie pas de chef de projet).


pour j1v3:
bien sûr qu'on se les pose en entreprise. Mais l'angle de vision est différent.
ce que je vais dire va être un peu brut de décoffrage, mais bon...
aujourd'hui le but d'une entreprise est de gagner de l'argent.
voilà ce que signifie utile pour une entreprise (parfois ce n'est pas une relation directe, par exemple avec la recherche fondamentale privée, mais c'est le but final)
la bonne façon est donc vue du côté économique.


concernant la fin de votre post:
une décision prise par 60 millions de personnes, cela équivaut à ne pas prendre de décision...
je préfère la démocratie représentative