Dans ma boite

Message par DocStarrduck » 29 Déc 2004, 22:09

Avant avec notre ancien patron.
On travaillait et on était payé 35H.

Du lUNDI au MERCREDI: 8H-12H 13-16H
Le JEUDI: 8H-12H 13H-15H
Le VENDREDI: 8H-12H
Journée continu ( dans leur rève ) :D

Notre salaire+prime de repas + prime de déplacement.
Moi j'étais apprentis et j'étais payé 2 Euros de l'heure (50% du smic).
Mon salaire tournait à 600 Euros Net à Bordeaux et 830 Euros Net à Saint-andrée.
:wacko:

:cry3:
Puis un jour notre patron a vendu notre boite de peinture.

Un jour j'ai refusé de travailler avec de la peinture à plomb
(il y avait une tête de mort sur le pot ).
Comme ils m'ont harceller parceque je demandai un masque alors j'ai réclamer du savon pour qu'on alve les mains avec du vrai savon et pas avec un solvant cancérigène plus connu sous le nom de White&Spirit.

PS: J'attends toujours du savons a bille pour le laver les mains.
La patrons nous l'a promis mais il fait comme si il avait oublié.
Par contre j'ai obtenu le masque ( un faux le jour même) , un vrai 6 mois plus tard.
Et j'ai un colègue qui 6 mois plus tard obtient un vrai masque pour ne plus respirer
la peinture qui s'évapore dans l'air (le pistolet, le pétard)

Ils nous imposé des heures supplémentaire
Elles étaient payé au black pour les CDI (ils travaillaient jusqu'a 20H)
Ils ont du gueuler plusieur mois pour être payé quand même.
Pour les interimaire eux ils travailaient le samedi matin (payé)
Pour moi, ils voulaient m'imposé des heures supplémentaire gratuite jusqu'a 16H30 voir 17H mais en m'asseyant pas terre a partir de 16H et en disant au chef
que je ne travaillerai jamais gratos, aprés 1h de harcellement il ma laisser tranquil.
Aprés je me cassait tous les jours à 16H :sygus:
Un jour ils m'ont imposé de travailler 1 H supplémentaire le jeudi (jusqu'a 16H),
jai foutu le bordel en disant que j'allais raté mon RDV malheusement on devait me ramener en voiture et du coups j'ai cédé une fois.Cet heure j'ai gardé les mains dans les poches quand même car elle était gratuite.

On s'est retrouvé avec 4 nouveaux patrons nous a-ton dit.
Ils ont interdit la journée continu et changer l'emploi du temps.
8H-16H tous les jours.
On étaient que 3 CDI , 1 CDD et 2 interimmaire.
Les ouvriers de ma boite étant anti-syndicat se sont donc contenté de geulé
et de pleuré pendant une semaine assis par terre sans bosser. :cry3:

En Septembre 2004, il m'a signé un CDD de 3 mois en me faisant croire
qu'un CDI était prévu a la fin de mes 2 CDD.
Les ouvriers étaient désespéré.Et leur seule fierté était d'avoir refuser
les réunions au bureau du jeudi aprés-midi.

En Septembre puis Octobre 2004.
2 patrons se tranformère en actionnaire, le fils de l'ancien patron démissionna.
Et le sois-disant patron numéro 1 devint le numéro 2.
Ils arrivèrent a nous imposer à travailler sur un chantier contaminer, ils nous imposèrent les heures supplémentaire gratuite et les réunions au bureau a la fin du mois.La réunion commence à 19H et fini à 21H Ils nous l'on une nouvelle fois imposé gratuitement.Pas de syndicat, pas de CDI , pas de droit. :headonwall:

Jusqu'au jour où un ouvrier craqua réclama une ogmentation de salaire.
Il parti 15 jour, le patron le rappela et lui prométta de lui donner.
Mais il ne l'obtient qu'en parole en faite il attends toujours son ogmentation... :rtfm:

Novembre 2004
Ils nous dit qu'il vous voulaient tous nous licencié et puis qu'il avait changé d'avis. :nono2:
Le patron réussit par la suite a redonner le moral aux ouvriers.
Bossez et vous obtiendrez tous une prime a la fin de l'année.
Bossez et vous aurez tous une ogmentation de salaire à la fin du mois
Il réussit a les convaincre et ce fut la dictature, on nous interdisait d'être malade,
et même même on avait pas le droit de prendre le pont.
La dictature, le patron nous imposé sa vison du monde et et sa dictature.

Décembre 2004.
A force de se croire tous permis, il a fini par se trahire.
En effet l'ogmentation c'était seulement pour les CDI.
CDD et interimère allez vous faire foutre :victory:
A moi il me dit qu'il voulait me virer et il me signa un CDD de 1 mois
(la dernière chance).
"T'as le meilleur patron du monde, et pourtant tu ne sais pas saisir la chance qui te tant, on veut t'embaucher si tu met du tiens","Mais pourtant tu comprend rien,on te paye a rien faire et on perd de l'argent avec toi, ce CDD et ta dernière chance bosse et on te gardera sinon c'est la porte."

Et puis il promit un CDI à 1 interimaire dans les 15 jours.
Et il dit sous la préssion à un CDI qu'il me signerait un CDD de trois mois.
Ce fut la dictature , il fit trvailler comme un chien et gratuitement un stagière de 21 ans.Pour nous, il nous dit "Faite au temps d'heures supplémentaires que vous vouler mais je veux que le chantier soit fini vendredi".
Les ouvriers travaillère vite, ils coururent toute la semaine ne faisant aucune heures supplémentaire mais ils bossaient comme des machines, comme des animaux, comme des esclaves.Et aucun de nous ne finit son travail pour le vendredi.
Ce fut la 1er victoire :boxing: ( pas d'heures supplémentaire , la travail n'est pas fini et pourant le patron reste muet )
Ils nous dit qu'on aurait pas de vacance mais les ouvriers prient quand même dans vacnaces 2em victoire :boxing:
Un ouvrier est tombé d'une échelle du premier étage et il est tombé se fracassé la tête contre la carelage, je crois que ça la calmé quand le patron lui a dit que c'était pas grave tant qu'il était debout.Et qu'il allait licencier un jeune de 20 ans parcequ'il avait eu un accident du travail et qu'il s'était arrété une semaine.

Le patron ne signa pas le CDI à l'interimaire comme il l'avait promis.
En fait c'était juste pour qu'il trvai plus vite.
:boxing: 3em victoirre les ouvriers ont réclamer 2 vendredi aprés-midi pour les fêtes ( nous l'avons obtenu)

Nous avons obtenu également 2 lundi aprés les fêtes ( même les interimaires )

Et maintenant le patron ne veut pas de me garder.
Quand on lui demande si il me signe un CDI , il répond "Je sais pas on en dicutera vendredi"

Donc vendredi pour moi c'est soit un CDI soit la porte.
Les ouvriers ont donc pris l'initiative d'envoyé un délégué du personel
(créer par l'initiative des ouvriers pour l'occasion)
Et le délégué a demander mon embauche.
Mais le patron se contente de répondre "Ca m'enmerde de la garder et ça m'enmerde de le virer, en fait je préfère embaucher quuelqu'un d'autre"
En vérité le patron sait que je suis contre le MEDEF et pro syndicaliste.
Il a peur de moi !
Les ouvriers ont donc décider de la harseller pour qu'il m'embauche.
C'est a dire qu'a chaque qu'il le voit il dise que je bosse trés bien et qu'il veule me garder.

La patron est dans le merde, car les ouvriers commencent a revendiquait et devienne solidaire.
Il sait que si il ne me garde pas , ce sera avec l'écoeurement de tous les ouvriers,
et il sait qu'a partir de ce moment la ils ne lui feront plus de cadeau.

Déja je peux entendre "le patron est un pourri, car il ne donne sa réponse qu'au dernier moment", "ne lui faisont plus de cadeau".

Je crois donc avoir réussit mon but créer une solidarité ouvrière.
Car ils ont décidé de me soutenir dans la recherche d'un emploiyeur interimaire.
Au cas où le patron ne me garderai pas.Ils déprime et ont la même préssion que moi sur mon avenir.Je trouve ça trés beau et je suis trés ému.

Vendredi si le patron en me signe pas de CDI je partirai la tête haute.
Les ouvriers trouveront que la partron est inhumain et finirony par se venger d'une façons ou de l'autre.

Hier ils 'mont invité au restaurant, demain ils me pistonne dans une boite d'interim.
Ils mettent la préssion sur le patron pour qu'il me garde et vendredi mon collègue ma dit que vendredi on allait se promener en voiture car c'est surement mon dernier jour.

Mon patron a 60 ouvriers dans 6 entreprises différentes de telle sorte qu'il n'y est pas de syndicat.C'est a dire que pour un grand chantier, tous les ouvriers ont le même patron.Donc un prolétaria naissant qui finira pas se faire craindre et entendre quand il prendra conscience de sa force. :marx:









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Message par lenzo » 29 Déc 2004, 22:43

Dans ta boîte la pression est toute l'année :( Et si en plus le patron est encouragé à revenir sans cesse sur les conditions de vie, le temps de travail, par exemple avec la loi qui vient d'être votée :


a écrit :Lutte Ouvrière n°1899 du 24 décembre 2004
Les trajets exclus du temps de travail : le gouvernement aux petits soins pour les patrons

Le vote de la loi dite de «cohésion sociale» de Borloo a été l’occasion pour quelques députés de droite de rajouter au passage certains amendements du meilleur goût patronal.

Entre autres, un certain Jean-Michel Fourgous, député UMP, a fait adopter une disposition qui permet dorénavant, et dans certaines conditions, de ne plus compter comme temps de travail le temps passé par le salarié à se rendre de son entreprise vers le «lieu d’exécution» du contrat de travail.

En clair, lorsqu’un salarié du bâtiment, par exemple, ira de l’entreprise de son employeur où il a récupéré ses outils, jusqu’à son chantier, il ne sera pas considéré en travail «effectif». C’est une belle ignominie, que l’auteur de l’amendement justifie la main sur le portefeuille, en faisant remarquer que «le législateur (c’est-à-dire la gauche avec sa loi sur les 35 heures) a déjà exclu les temps de pause et d’habillage du temps de travail effectif. La disposition proposée est donc tout à fait cohérente.» Cohérente, certes, mais dans la logique qui voit les gouvernements de gauche et de droite se succéder pour aggraver, chacun leur tour, la situation des salariés.

Même si l’application concrète de cet amendement risque fort de donner lieu à des arguties juridiques sans fin (car le texte précise que pour être exclu du temps de travail, ce temps de trajet doit être supérieur à celui que met le salarié à venir à l’entreprise, temps qui varie d’un salarié à l’autre), il met entre les mains des patrons une arme de plus, pour faire pression sur leurs employés.

La disposition, qui vise paraît-il les cadres grands voyageurs, touche en réalité bien des secteurs et explicitement le secteur du bâtiment, où les conditions de travail et les salaires sont déjà déplorables, et les syndicats très faibles. Grands princes, Fourgous et le gouvernement ont prévu une contrepartie qui devrait être proposée par le patron. Mais si cette dernière ne peut être «déterminée par convention ou accord collectif», elle le sera «à défaut, par décision unilatérale de l’employeur». Autrement dit, l’employeur aura d’autant plus loisir d’en décider seul que ses propositions initiales seront inacceptables!

Dans le bâtiment, mais aussi dans tous les autres secteurs, la porte est donc ouverte pour que les trajets des salariés vers les chantiers, mais aussi vers les clients, ou les lieux d’intervention pour les dépanneurs, soient exclus du temps de travail.

Avec ces nostalgiques du Moyen Âge, où la main-d’œuvre était «taillable et corvéable à merci», il y a des révolutions qui se perdent.


Quand j'ai entendu à la radio et lu ça, j'ai trouvé incroyable ! :nono2:

Les gars du bâtiment à qui j'en ai parlé pensaient que les patrons essaieraient peut être de s'en servir :unsure:

Un a dit : "On dirait qu'ils font exprès de provoquer". (le gouvernement)
lenzo
 
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Message par Crockette » 30 Déc 2004, 17:33

Ton témoignage on devrait l'envoyer à la CFDT, dans leurs jolis bureaux, ça leur ferait drôle.
En France les patrons ont trouvé le système : taille de l'entreprise, et contrat à durée déterminée.
Bientôt le rma et le contrat de mission : ton boss pourra te faire un contrat de trois ans, comme ça si tu te la ramènes trop, il te "libère de tes obligations" (c'est comme ça qu'on dit dans les cours de management et de ressources humaines, ça fait plus démocrate et c'est moins violent que je te fous à la porte, l'ouvrier risquant de vous mettre sa main en pleine figure...").

Concernant les boîtes de peinture, j'en connais une avec plus de 50 salariés, et ils ont un syndicat...maison ! C'est tous des potes du patron, ils lui ramènent une dinde et des cadeaux à Noël. Le boss lui, en contre-partie, il peut les déranger à la maison 24/24 H, leur demander qu'il prenne leur voiture perso pour aller sur un chantier.


Il y a un militant CFDT : il a réclamé à l'employeur... d'avoir un calendrier de la boîte comme les clients, à la fin de l'année (!?).Ben oui, c'est pas juste ça ;
;)

Crockette
 

Message par lenzo » 30 Déc 2004, 17:56

Faut pas faire une fixation sur la CFDT, c'est l'ensemble des directions syndicales qui n'ont pas les préoccupations permanentes de renforcer le camp des travailleurs face au patronat.

Quand au militant lambda celui de Sud ressemble au cédétiste, au cégétiste ou au gars de FO.... Aucun n'a de qualités ou de défauts intrinséques liés à son appartenance syndicale.

En général les plus nombreux à être déterminés sont à la CGT bien que pris individuellement il y a des surprises
lenzo
 
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Message par Crockette » 31 Déc 2004, 14:23

Tu n'empêcheras jamais d'avoir localement des brebis galeuses ds tous les syndicats.
Concernant la CFDT, j'arrête sinon je vais déraper...
Crockette
 

Message par pelon » 31 Déc 2004, 15:59

(Crockette @ vendredi 31 décembre 2004 à 14:23 a écrit :Tu n'empêcheras jamais d'avoir localement des brebis galeuses ds tous les syndicats.
Concernant la CFDT, j'arrête sinon je vais déraper...

Sur le fond, lenzo n'a pas tort. Je comprends qu'un jeune qui suit un peu l'actualité ait encore moins envie d'aller à la CFDT qu'ailleurs (parce que la grande majorité des salariés et en particulier des jeunes ne se syndique nulle part, faut-il le préciser). Pourtant, si la direction de ce syndicat est pourrie voire corrompe il n'en va pas de même à la base. Certes, le réformisme, qui caractérise depuis des décennies l'ensemble des syndicats, s'est montré ces dernières années de plus en plus collaborationniste voire liquidateur des intérêts des salariés. Mais cela ne condamne pas tous les militants et même tous les syndicats locaux. On trouve de tout dans les entreprises, le meilleur et le pire, des syndicats-maisons créés parfois en connivence avec le patron comme des militants "lutte de classe".
Donc l'image de la CFDT est repoussante, c'est vrai. Mais les autres confédérations méritent-elles notre confiance ? Combien d'accords signés en échange d'avantages pour les bureaucraties syndicales ? Combien de "bureaucrates-CE" qui ont troqué leur vie professionnelle et leur militantisme contre la défroque de gestionnaires, sortes de patrons de PME et se corrompus, quand ils ne l'étaient pas déjà, à vitesse V ?
Et la CGT n'est pas épargnée.
Pourtant, ceux qui refusent de militer dans les syndicats ont tort. On peut y défendre son orientation, contre le patron, pour l'extension des luttes, gagner des camarades au syndicalisme de combat et à la conscience politique. Il ne suffit de répéter grève générale comme des perroquets, certes, mais il faut tout faire pour qu'elle devienne possible, il faut préparer les luttes qui redonneront confiance à la classe ouvrière, faire le maximum pour les généraliser. Dire "les syndicats ne sont pas beaux" pour se retirer dans un splendide isolement n'est pas la solution.
Alors, reconstruire un syndicat digne de ce nom, c'est l'affaire de tous. Et les confédérations syndicales qui existent sont tellement loin de l'outil dont aurait besoin la classe ouvrière que les saloperies de Chérèque et de ses complices ne sont qu'un épiphénomène. Ils seront balayés en cas de reprise, à une autre échelle, de la lutte de classe, mais les dirigeants des autres centrales également.
pelon
 
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Message par DocStarrduck » 31 Déc 2004, 18:05

Mes derniière heures avec les ouvriers.

Doc Starrduck: si je m'envais sache qu'on restera toujours en contact.
Peut-être, que je te dirai que c'est meiu la ou je travail, ou peut-être que je dirai que c'est pir.Peut-être même que je te dirai qu'on est en grève :boxing: .

FREDO: Ouai on restera toujours en contact.

Doc Starruck: si je suis pris en CDI je geulerai pour que tu sois embauché toi aussi.
DocStarrduck
 
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Message par DocStarrduck » 31 Déc 2004, 18:10

Papi : Je sais que t'es quelqu'un de trés inteligent
Je te souhaite de faire carière dans l'informatique.
Et tu vas beaucoups nous manquer. ( dans yeux il était ému. )
Tu sais dans notre métier de peintre , il n'y a pas d'avenir alors bonne chance

Doc Starrduck : Merci

DocStarrduck
 
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Message par DocStarrduck » 31 Déc 2004, 18:13

NONO : je t'es défendu au mieu que j'ai pu.
Maintenant je ne plus rien faire pour toi.
Mainteant c'est a toi de convaincre le patron de te garder.
Bonne chance.

Doc Starrduck: Je sais que t'a fais tous ce que tu pouvais .Merci d'avoir essayé.
DocStarrduck
 
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Message par DocStarrduck » 31 Déc 2004, 18:30

FRANCISCO:"Le patron ne veut surement pas te garder, alors maintenant a toi de le convaincre que t'es motivé et qu'il te fais pas peur"

"Entre dans son bureau la tête haute,le épaules levé et sur de toi.
Montre lui que t'es motivé et que t'en veux.
Paris sur l'impossible , dis lui que t'es un bon manoeuvre,
Dis lui de telaisser ta chance,dis lui que tu peux travailler seul.
Ouvre ta gueule, parles fort, insiste, surtout ne le laisse pas te mettre a la porte comme ça"

"Si vraiment, il te garde pas, tape un scandale parcequ'il n'as pa voulu te donner
de réponse avant vendredi, demande lui de te garder le temps de te refaire"

"Mais surtout montre lui que t'es un homme"

"Il faudrai vraiment un miracle pour qu'il te garde, car il ne veut pas signer de CDI"

"Si tu pars, tu manquera beacoups, car t'es un brave gars"

"Mais n'oublis pas ce que je t'ai dis, montre lui que t'es déterminé"

Doc Starrduc: OUI chef.

(LO: Francisco est le chef, en ce moment, il est parti en vacance mais il est revenu nous voir sur le chantier pour me donner des conseil)
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