Mardi 8 février, manif' lycéenne

Message par gipsy » 09 Fév 2005, 23:42

Ca vaut vraiment la peine de mettre des forces devant les lycées pour faire de l'agitation, ce qui pour le coup a un vrai contenu politique. Beaucoup de discussions, beaucoup d'enthousiasme de la part des lycéens, surtout des plus jeunes d'ailleurs en seconde. Même si le mouvement est pour le moment tout relatif, il faut noter que ce ne sont pas seulement les noyaux militants ( JCR, Fraction Lo, CAL...) qui organisent mais aussi tout un tas de lycéens prêts a faire vraiment pleins de choses: prendre des tracts, les diffuser, les écrire eux mêmes, faire des pancartes, discuter des slogans politiques organisé des ag....

Personne( la fidel pas du tout, l'unl le jour même seulement) n'avait appelé au 8 si ce n'est la coord lycéenne. y avait pourtant entre 4000 à 5000 lycéens.Du coup la FIDEL s'est pointé à grand coup de autocollants, de pancarte et de camionnete, bref une grosse opération de récup.
Pour beaucoup de lycéens la journée de demain sera d'une plus grande ampleur.
Bref pour le moment le mouvement s'amplifie et les appareils ne freinent pas. D'ailleurs peut être que les appareils n'éprouvent pas le besoin de freiner puisqu'il y a bientôt les vacances.
A noter la présence de pas mal de bahut poluaire de banlieue.
Il faudra que cela devienne une nouvelle génération militante.
gipsy
 
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Message par logan » 10 Fév 2005, 13:27

a écrit :Les lycéens dans la rue contre la loi Fillon
LEMONDE.FR | 10.02.05 | 09h00


La principale revendication des lycéens est le retrait de la réforme du baccalauréat prévue par François Fillon. Selon eux, introduire une dose de contrôle continu dans cet examen lui retirerait son caractère national et créerait des différences entre les lycées et entre les régions.
Des milliers de lycéens en grève doivent manifester, jeudi 10 février, dans de nombreuses villes françaises pour réclamer le retrait du projet de loi Fillon sur l'école et réclamer des moyens supplémentaires pour l'éducation.

A Paris, ils ont prévu de se retrouver place de la République à 14 heures et défiler jusqu'à Sèvres-Babylone.  Des manifestations sont également organisées notamment à Grenoble, Nantes, Rennes, Lyon, Montpellier ou Bordeaux, zones qui ne sont pas en vacances scolaires.

Après un galop d'essai réussi mardi, où plus de 10 000 lycéens ont manifesté à Paris et dans plusieurs grandes villes, les syndicats lycéens espèrent une forte mobilisation. "A partir du moment où le nombre de lycéens augmente, c'est une victoire pour ceux qui s'opposent à la réforme Fillon", a déclaré un responsable de la FIDL, syndicat lycéen à l'origine de la mobilisation, lancée voilà deux semaines. Selon lui, "l'effervescence contre la loi augmente".

"AU MINIMUM MAL INFORMÉS"

La principale revendication des lycéens est le retrait de la réforme du baccalauréat prévue par François Fillon. Selon eux, introduire une dose de contrôle continu dans cet examen lui retirerait son caractère national et créerait des différences entre les lycées et entre les régions.

La publication de la carte scolaire et l'annonce concrète des disparitions de classes ou d'options ont également attisé la colère, de même que la suppression des travaux personnels encadrés (TPE) en terminale et en option au bac.

Le ministre de l'éducation nationale, François Fillon, a déclaré, mercredi, que "quand des lycéens manifestent contre la 'marchandisation' de l'école ou la régionalisation du bac, ils ont été au minimum mal informés". Il a aussi récemment fait savoir que les TPE, maintenus en classe de première, pourraient compter pour le bac.

Les syndicats lycéens, qui n'ont pas tous la même plate-forme de revendications, ont cependant maintenu leur appel à la grève et la manifestation. "Nous continuerons à nous battre pied à pied" jusqu'à être entendus, a déclaré l'Union nationale lycéenne (UNL), tandis que la FIDL s'est contentée d'indiquer qu'elle "accepte d'être reçue et de discuter avec" M. Fillon.

Avec AFP
logan
 
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Message par DocStarrduck » 10 Fév 2005, 18:15

=D> Même ma copine est venu.

J'avais jamais vue une mafestation comme celle la ! :roll:

C'était trop beau pour être vrai... :wacko:
Quand je suis arrivé, j'avais 15 minutes d'avances
et j'entendais une masse de jeunes criant RESISTANCE ! :rtfm:
Une vrai masse populaire, a faire peur les RG et la police

Les slogans :

Fillons démission !
Fillons démission !

1 Le plus populaire : Fillon , Fillon , dans ton cul !
2 Le plus populaire : Un pas en avant 3 pas en arrière, c'est la politique du gouvernement !

Des débordements ?
Au oui, il y en a eu plein. :w00t:

1.Ils ont escaladé une trés grande statue pour montrer leur banderole
2.Devant le rectorat les jeunes sont monter dans arbres en montrant les slogans
3.Devant les CRS ils ont crié : Playmobile, Playmobile la les RG en ont attrapé un et leur a fait comprendre qu'ils devait se calmé.
4.Arrivé à Gambetta , Ils ont rempli un camion entier et ont crié Fillon , fillon dans ton cul.
5.Au début le SO et les Rg controlait la manifestation mais ils ont été completement dépassé, a la fin ils controlait plus rien.Ils disaient au jeunes
la manifestation est fini, asseyez vous, et les jeunes continer a avancer par centaine pret a faire face à la police et aux RG.J'en suis sur car j'étais devant en train de forcer le passage face au service d'ordre ! :victory:

On est allé jusqu'a tourny, puis a remonter Rue saint catherine.
On était telement nombreux que sans faire exprait la manif s'est diviser en 3.
On voulait tous continuer et donc ça partait dans tous les sens.
Avec mon groupe, on devait être 50 , on croyait le bout.
Mais avec les portable, on appris que les autres bloquer à 300 la gare de bordeaux

Sans trop y croire on y allait à 50 et la qu'est qu'on voit 50 lycen assis à la victoire
avec des banderoles.On leur a dit de nous suivre à la gare.
Arrivé à la garre la police et les RG bloqué la ligne 8 , c'est a dire qu'ils avait du bloquer un train.
Alors en groupe on est reparti est on remonter a plusieur centaine le cour de la marne.La police et les Rg n'était pas du tous content, ils voulait nous bloquer mais comme on était vener on leur forcer le passage.On bloquer telement la route.
Que les voiture ne relait plus que dans 1 sens et en plus sur la ligne de BUS.
Passant devant un lycée on est rentrer à 50 dedans , les autre voulait nous suivre mais les profs nous on forcer à partir.Alors on a pris du monde avec nous
et on est allé jusqu'a La victoire puis on a remonter rue saint catherine.
On a continuer jusqu'a qu'on était plus que 20 la on a arréter.
Mais franchement tous le monde disait qu'on avait tromatiser les RG car ils étaient completement débordé !!

La manif à commencer à 14H est s'est terminé par notre détermination à 16H
Et je peux vous dire qu'on courait presque, c'est a dire qu'on a fait presque tous
les plus grans axe de Bordeaux.





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Message par DocStarrduck » 10 Fév 2005, 18:21

Il y avait plus de monde que le 1er Mai.
Et pourant il n'y avait que des lycéens =D>

Apparement les lycéens mobilise plus que Thibault leur rang.

Au début de la manifestation j'étais telement impressioner
que je disait a ma copine :

"Je n'ai jamais vu une manifestation comme celle la
Surement qu c'est un trés grand mouvement, c'est pas possible on dirait la révolution!"
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Message par DocStarrduck » 10 Fév 2005, 18:47

Le gouvernement est «extrêmement attentif» au mouvement lycéen

AP | 10.02.05 | 17:38


PARIS (AP) -- Le gouvernement a suivi jeudi avec une extrême attention les manifestations des lycéens, avec la crainte qu'elles ne cristallisent le mécontentement général dans l'Education contre le projet de loi Fillon.
En première ligne, le ministre de l'Education nationale a opéré un premier recul en prolongeant de deux mois la réflexion sur la réforme du baccalauréat.
Depuis une quinzaine d'années, les mouvements lycéens sont la hantise de tous les gouvernements. Les grandes manifestations de novembre 1990, quand le gouvernement Rocard avait été contraint de reculer sous la pression de 100.000 lycéens -et de François Mitterrand- sont encore dans toutes les mémoires. Plus récemment, le gouvernement Jospin a cédé à deux reprises à des mouvements lycéens, en octobre 1998 et octobre 1999.
Aujourd'hui, le gouvernement Raffarin ne cache pas son inquiétude face à un mouvement aussi désordonné et irrationnel que les précédents, donc difficile à gérer. Sa crainte est que les manifestations lycéennes ne servent de détonateur à une explosion du secteur de l'Education, où le mécontentement est général face au projet de loi d'orientation sur l'école, examiné à partir du 15 février par l'Assemblée nationale. Plus largement, le gouvernement s'inquiète de la montée de la contestation sociale avant le référendum prévu au printemps sur la Constitution européenne. D'où l'empressement de François Fillon à répondre dès jeudi aux manifestants. Devant le Sénat, le ministre de l'Education nationale s'est dit «extrêmement attentif et préoccupé» par les manifestations, et «ouvert au dialogue avec la jeunesse».
Dans cet esprit, il a annoncé que le groupe de travail qu'il a mis en place pour réfléchir à la réforme du baccalauréat, principal sujet d'inquiétude des lycéens, aurait jusqu'au 31 mai, soit deux mois supplémentaires, pour rendre ses conclusions.
Le ministre s'est efforcé de rassurer les lycéens. «Le bac restera un examen national, anonyme, un examen qui permet automatiquement l'entrée dans l'enseignement supérieur», a-t-il souligné. Globalement, il a assuré que son projet de loi ne remettait en cause «ni les options, ni l'enseignement de l'éducation physique et sportive, ni l'enseignement artistique, ni l'enseignement des sciences économiques et sociales».
François Fillon avait déjà tenu compte en début de semaine des avertissements de Jean-Louis Debré sur le risque de censure du Conseil constitutionnel en acceptant d'amender son projet de loi sur plusieurs points.
Au-delà de cette volonté de pédagogie en direction des lycéens, le ministre de l'Education est resté ferme sur le reste de sa réforme, qui va permettre selon lui de réduire l'échec scolaire. Devant le Sénat, il a accusé les socialistes de n'avoir «rien d'autre à proposer que des moyens supplémentaires».
François Fillon bénéficie du soutien de Jacques Chirac. Selon «Le Monde» et «Le Figaro», le chef de l'Etat est intervenu mercredi en Conseil des ministres pour exhorter les membres du gouvernement, dont certains ont critiqué le texte en privé, à soutenir le projet Fillon. «Par définition, un texte qui a été adopté en Conseil des ministres est un bon texte», a-t-il dit, selon «Le Figaro».
L'avertissement a porté. Ministre délégué à l'Industrie et seul sarkozyste du gouvernement, Patrick Devedjian s'est déclaré jeudi «parfaitement solidaire» de son collègue.
François Fillon a également reçu le soutien de son prédécesseur Luc Ferry. Le philosophe, qui avait lui-même fait la dure expérience des mouvements de rue entre mai 2002 et mars 2004, a jugé «absolument indispensable» la réforme du bac de son «collègue» Fillon. AP
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Message par DocStarrduck » 10 Fév 2005, 18:55

Forte mobilisation des lycéens contre la réforme de l'éducation
LEMONDE.FR | 10.02.05 | 17h59
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Plusieurs milliers de lycéens ont manifesté, jeudi 10 février, contre le projet de loi Fillon sur l'école, à l'appel de la Fédération indépendante et démocratique lycéenne (FIDL). Le ministre de l'éducation nationale s'est dit "extrêmement attentif et préoccupé", alors que la gauche critiquait la "fracture" entre les jeunes et le gouvernement.
Mobilisation importante, mais inégale selon les villes. Plusieurs milliers de lycéens - 9 000 selon la police, 20 000 selon les organisateurs - ont défilé jeudi à Paris pour exiger le retrait du projet de loi Fillon sur l'école, à l'appel de la Fédération indépendante et démocratique lycéenne (FIDL). A Bordeaux, plus de 5 000 lycéens ont défilé, alors qu'à Lyon, ils étaient plus de 12 000 lycéens, selon les organisateurs et la police, contre la réforme Fillon et la politique éducative du gouvernement. D'autres fortes mobilisations ont été enregistrées à Rennes (6 000), Grenoble (3 000), et dans plusieurs villes d'Aquitaine. La principale cible des manifestants était le ministre de l'éducation nationale, François Fillon ,dont ils réclamaient, à grands cris, la "démission".A Paris, le cortège a quitté la place de la République peu après 14 h 30 aux cris de "Fillon, si tu savais, ta réforme où on s'la met" et "Fillon, t'es foutu, la jeunesse est dans la rue". Les manifestants défilaient derrière des banderoles proclamant "Non à la réforme Fillon", "Oui à l'éducation", "Education en danger, lycéens mobilisés".
"Plusieurs lycées ont, en assemblée générale, voté une grève renouvelable jusqu'au retrait", a déclaré Coralie Caron, secrétaire générale de la FIDL. Les manifestants dénoncent notamment une "volonté de créer une élite avec un bac à deux vitesses".

Multiples revendications. La principale revendication concernait le plan de réforme de l'éducation. Mais les manifestants critiquaient aussi la politique "libérale" du gouvernement en matière d'éducation, comme en témoignaient de multiples banderoles : "école libérale = école inégale" ou "l'Etat ne se fera pas du 'pognon' sur le dos de l'éducation". "On dit non au capitalisme", insistait Charlotte, élève en 1re, se disant opposée aux bourses au mérite, l'une des dispositions de la réforme.
Autre sujet de mécontentement, les opérations policières aux abords des établissements scolaires, organisées par le ministère de l'intérieur : "Les flics au bahut, l'éducation est foutue !", scandaient les lycéens, dont l'un brandissait une banderole qualifiant François Fillon de "'Sarko' de l'éducation".

Réactions à gauche. Jack Lang, ancien ministre socialiste de l'éducation nationale, a déclaré jeudi à propos du mouvement lycéen que le gouvernement était "totalement à côté de ses pompes" dans ses relations avec "la jeunesse du pays".
Interrogé sur La Chaîne parlementaire et France Info, M. Lang a ironisé sur ce gouvernement "passé à côté de la plaque depuis trois ans". Il a dénoncé "une véritable fracture entre la jeunesse et le gouvernement, ignorant de ses aspirations".
M. Lang a demandé au gouvernement de "mettre en place un plan d'urgence" pour "restaurer la totalité des crédits et des postes supprimés depuis trois ans".
La Ligue communiste révolutionnaire (LCR) a affirmé pour sa part qu'avec "les lycéens dans la rue, une lame de fond se prépare", dans un communiqué publié jeudi. La LCR "soutient les mobilisations des lycéens et appelle à la convergence avec les enseignants et les personnels de l'éducation", notamment lors de la manifestation du 15 février.



M. Fillon, "extrêmement attentif et préoccupé". Le ministre de l'éducation nationale, François Fillon, a défendu jeudi au Sénat sa réforme du système éducatif français, qui "fait aujourd'hui la preuve de son incapacité à résoudre les problèmes de l'échec scolaire".
"Notre système fait aujourd'hui la preuve de son incapacité à résoudre les problèmes de l'échec scolaire", a déclaré le ministre pour défendre son projet de loi de réforme de l'éducation, qui doit être examiné à partir du 15 février par les parlementaires. "Je ne me satisferai jamais que 150 000 jeunes soient sacrifiés par notre système parce que nous refusons de le faire évoluer. Je n'accepte pas que plus de 80 000 jeunes (...) entrent en 6e sans savoir lire, écrire et compter, et donc, sont condamnés à l'échec", a poursuivi François Fillon.
"Je ne veux pas laisser s'installer une incompréhension entre la jeunesse et les pouvoirs publics", a ajouté le ministre alors que des manifestations lycéennes sont organisées partout en France, pour protester notamment contre le projet de réforme du baccalauréat. "Le baccalauréat restera un examen national anonyme qui permet automatiquement l'entrée dans l'enseignement supérieur. J'ai mis en place un groupe de travail pour que l'on regarde ensemble comment réduire le nombre d'épreuves et instiller soit une dose de contrôle continu, soit ce qu'on appelle des partiels comme dans les études supérieures", a-t-il précisé. "Non, rien dans le projet de loi ne remet en cause en quoi que ce soit ni les options, ni l'enseignement de l'éducation physique et sportive, ni l'enseignement artistique, ni l'enseignement des sciences économiques et sociales", a-t-il ajouté en réponse aux manifestants.


Avec AFP, Reuters

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Message par gipsy » 10 Fév 2005, 23:34

A la coordination parisienne, passage en force des soc dém à la tribune.
3 Fidl, 1 unl. Et puis partout dans la salle. Sos racisme également.
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Message par quijote » 11 Fév 2005, 01:32

je suis allé faire un tour du coté de la manif; A "répu "et à la Bastille ça débordait de tous les côtés : beaucoup d 'enhousiasme et d 'énergie .Cela faisait chaud au coeur . J 'ai vu des JC et des Jcr avec leur drapeaux ( rouges ) Et puis l 'inévitable FIDL avec forcev sono ; Ensuite je me suis retrouvé avec eux à la Bastille . rassurez -vous , ils ne m 'ont pas jeté bien que n 'étant pas exactement de leur âge .

Un seul vendeur de LO . J 'ai été déçu de ne pas voir davantage de copains .

Il y a pas mal de copains jeunes : étudiants , jeunes profs qui auraient pu venir discuter avec les lycéens .

A moins que je ne me sois pas rendu compte qu 'ils étaient là .

Il y avait malgré tout quelques profs en individuel ( FSU ) et des gens du PT et des gens de la Ligue . Mais très , trés peu .

C 'est pourtant le moment d' aller faire un tour ... et de discuter fraternellement avec les jeunes ( sans paternalisme ) et les assurer de notre soutien
quijote
 
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Message par Gaby » 11 Fév 2005, 01:44

(quijote @ vendredi 11 février 2005 à 01:32 a écrit : Un seul vendeur de LO . J 'ai été déçu de ne pas voir davantage de copains .

Il y a pas mal de copains jeunes : étudiants , jeunes profs qui auraient pu venir discuter avec les lycéens .

(...)

C 'est pourtant le moment d' aller faire un tour ... et de discuter fraternellement avec les jeunes ( sans paternalisme ) et les assurer de notre soutien

Je ne te le fais pas dire... Je transmets un peu le mot mais on aurait pu faire mieux sur Paris... Heureusement qu'il y a les copains de la Fraction pour le coup, j'suis bien content de pouvoir me greffer à leurs initiatives.
Gaby
 
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