Guadeloupe-Martinique

Message par louis panier » 12 Fév 2009, 18:59

A l'initiative de la Compagnie Jolie Môme
Avec la participation du PCF Saint-Denis, du N.P.A. Saint-Denis, de Lutte Ouvrière Saint-Denis...

Après un mois de grève générale en Guadeloupe,
Avec l'extension à La Martinique, à la Guyane,
Que se passe-t-il aux Antilles ?
Et ici ? Si on suivait leurs voix ?

Débat public,
Avec l'intervention de Patrice Gano, militant Guadeloupéen à Cercasol, ancien président d'Attac Guadeloupe et militant syndical.

Dimanche 15 février à 18h30 à La Belle Etoile, 14 rue Saint-Just à La Plaine Saint-Denis
(à l'issue de la dernière du spectacle de la Compagnie Jolie Môme)
Petite restauration. Entrée libre.
http://www.cie-joliemome.org/spip.php?article273
Renseignements au 01 49 98 39 20

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louis panier
 
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Message par nicoestla » 12 Fév 2009, 21:01

a écrit :La Réunion : appel du collectif syndical à une grève générale le 5 mars

Le Collectif des organisations syndicales, politiques et associatives de la Réunion a appelé jeudi, à l'issue d'une réunion, à une journée de grève générale et de manifestation le 5 mars.

Le Collectif a arrêté une liste de quatre "mesures immédiates" pour lesquelles il compte "mobiliser la population", notamment une hausse de 200 euros nets des salaires, a indiqué à l'AFP un de ses porte-parole.

Composé de 25 organisations (contre 13 lors de sa constitution mardi), le Collectif rassemble les principaux syndicats de l'île (CGTR, CFDT,CFTC, FO, FSU, UNSA), les partis politiques de gauche (PCR, PS, NPA, LO, Parti de gauche) ainsi que des associations (dont ATTAC, Agir contre le chômage, etc).

Sa première revendication porte sur "une augmentation de 200 euros nets sur les salaires, les minimas sociaux, les retraites et les bourses étudiantes". Il réclame également une "baisse de 20% des produits de consommation courante", un "gel des loyers sociaux" et, enfin, une "baisse de 5 euros sur la bouteille de gaz".

Avec 750.000 habitants, la Réunion est le plus peuplé des quatre départements d'outre-mer.
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Message par com_71 » 12 Fév 2009, 21:05

En rapport avec la grève en cours aux Antilles, comment "Combat Ouvrier" posait le problème des rapports avec les militants ouvriers nationalistes, à l'occasion de l'élection d'Élie Domota comme nouveau secrétaire général de l'UGTG :

Combat Ouvrier 19 04 2008

L’intérêt ne pense pas, il calcule. Les motifs sont ses chiffres. K. Marx, « Débats sur la loi relative au vol de bois » 1842.
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Message par com_71 » 12 Fév 2009, 23:58

(LEMONDE.FR a écrit :La protestation s'étend en outre-mer
avec AFP, Reuters

Après vingt-trois jours de grève, les discussions entre le Collectif contre l'exploitation (LKP), à l'origine de la grève générale affectant la Guadeloupe, et les deux médiateurs désignés par le gouvernement ont été interrompues, jeudi 12 février, selon un responsable du LKP.

Au cours de la journée, les deux médiateurs, Jean Bessière et Serge Lopez, étaient censés rencontrer séparément le LKP et le patronat local avant de tenter, dans un délai non précisé, de tenir une réunion rassemblant les deux camps. Mais le collectif était arrivé à la table des négociations mécontent, contestant l'existence d'un document diffusé par le gouvernement comportant "131 points d'accord".

"NOUS NE SOMMES PAS RESTÉS, ILS NE CONNAISSENT PAS LE DOSSIER"

Il semblerait en outre que l' incompétence des médiateurs ait provoqué la colère des syndicats. "La rencontre avec les deux médiateurs a duré à peine cinq minutes, raconte Jean-Marie Nomertin, secrétaire général de la CGTG, une des composantes du LKP. Nous sommes arrivés pour discuter, nous ne sommes pas restés, ils ne connaissent pas le dossier."

"Ils ne sont même pas au courant du nombre de points d'accord ni de leur contenu", a-t-il ajouté, avant de lancer : "Ici, il y a des gens davantage compétents, des spécialistes de la Guadeloupe. Ce n'est pas la peine de faire venir des Parisiens pour régler le conflit." Mercredi, le LKP avait encore durci le mouvement avec l'entrée en grève des personnels chargés de l'avitaillement pétrolier à l'aéroport international de Pointe-à-Pitre.

INCOMPRÉHENSION EN MARTINIQUE, GRÈVE PRÉVUE À LA RÉUNION

Cette rupture des négociations intervient alors que le secrétaire d'Etat à l'outre-mer, Yves Jégo, a quitté la Guadeloupe pour la Martinique, jeudi, où un mouvement similaire a débuté depuis une semaine. Il a atterri en répétant que son programme sera "de l'écoute, de l'écoute, de l'écoute". Il a rencontré le collectif rassemblant les 13 syndicats à l'origine de ce mouvement social "contre la vie chère et pour l'emploi" et doit leur faire parvenir ses propositions par écrit prochainement.

M. Jégo est attendu à Paris dans la soirée de jeudi, afin de participer au conseil des ministres demain. "Je reviendrai dès qu'il le faudra pour apporter des réponses", a-t-il assuré sur Europe 1, estimant par ailleurs que "le collectif des revendications de la Martinique est moins bien organisé que celui de Guadeloupe". Des propos qui ont provoqué la stupéfaction chez les leaders syndicaux martiniquais.

"Nous n'acceptons pas ces propos-là. De la même manière qu'il a quitté la Guadeloupe de façon cavalière, il arrivait en Martinique de façon tout aussi cavalière", a estimé le président du collectif, Michel Monrose. L'organisation, qui a obtenu une baisse de 20 % sur cent produits de base, demande également une baisse des prix de certains services, comme l'eau ou l'électricité. "Nous ne nous faisons guère d'illusions", tient tout de même à préciser M. Monrose.

A la Réunion, enfin, un collectif rassemblant les principaux syndicats, les partis de gauche et des associations a appelé à une journée de grève générale le 5 mars. Parmi ces revendications, "une augmentation de 200 euros nets sur les salaires, les minima sociaux, les retraites et les bourses étudiantes", une baisse de 20 % sur "les produits de consommation courante", un "gel des loyers sociaux" et une "baisse de 5 euros sur la bouteille de gaz". "Ce qui nous fédère, c'est notre opposition à la politique actuelle du gouvernement. Nous allons créer un rapport de forces",  a assuré Eric Sorret, un porte-parole du collectif.
L’intérêt ne pense pas, il calcule. Les motifs sont ses chiffres. K. Marx, « Débats sur la loi relative au vol de bois » 1842.
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Message par com_71 » 13 Fév 2009, 09:21

(lkp a écrit :Le collectif Liyannaj Kont Pwofitasyon apporte un démenti formel aux allégations selon lesquelles un accord serait intervenu pour 132 points de la plate-forme de revendications du LKP.

Le collectif Liyannaj Kont Pwofitasyon exige que l'Etat respecte sa parole, notamment, en vertu du pré - accord co - signé par toutes les parties concernées, le 8 février 2009, concernant l'augmentation des bas salaires.

Liyannaj Kont Pwofitasyon
12/02/09


(lkp a écrit :à venir !
Vendredi 13/02 : Le matin, la Caravane LKP va dans les communes. Départ, en bus, au Palais de la Mutualité. RDV à 8 h 30.

Le soir : Diffusion sur grand écran du film documentaire "Les derniers maîtres de la Martinique", devant le Palais de la Mutualité (20 h). Ensuite, soutien d'artistes comiques.

Samedi 14/02 :"Déboulé" au Moule, dans le cadre de la commémoration du 14 février 1952. Départ en bus à 14 h devant le Palais de la Mutualité.

Le soir : Liyannaj entre Kamodjaka et L'Akadémiduka, puis "Swaré léwòz" avec Akiyo Ka.

Dimanche 15/02 : Mas an Konsyans à P-à-P, à partir de 17 h. RDV devant la Mutualité.
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Message par com_71 » 13 Fév 2009, 09:32

(LKP a écrit : Plus que jamais la lutte continue !
Jou nou ké mété a jounou péké vwè jou


Après 24 jours de grève générale, la mobilisation du Peuple Guadeloupéen contre les pwofitasyon ne faiblit pas. Le Ministre JEGO a pris la fuite dimanche 8 février et a provoqué la rupture des négociations alors que nous étions sur le point de signer un accord sur les 200 € d’augmentation de salaire réclamés par LIYANNAJ KONT PWOFITASYON.

Pour la deuxième fois dans ce conflit, l’Etat français a manifesté sa désinvolture et son mépris vis à vis du Peuple Guadeloupéen et de ses représentants.
A l’appel du L.K.P, plus de 100 000 guadeloupéens ont défilé le lundi 9 février à Pointe à Pitre, à Basse Terre et à Marie Galante dans la dignité et la détermination pour crier leur indignation et dénoncer l’irresponsabilité du représentant du Gouvernement français.

Les déclarations de M. FILLON, premier ministre, renvoyant dos à dos le Collectif LKP et le Patronat sur la question des salaires et reniant les mesures proposées le 28 janvier par Yves JEGO, constituent une reculade et un retour à la case départ des négociations sur la plate-forme de LKP. Nou pa dakò !

Alors même que le L.K.P a fait des concessions , concernant les modalités de l’augmentation de salaire, permettant d’aboutir à un accord dès le dimanche 8 février, nous constatons que le patronat n’en fait aucune. Ce qui a provoqué un nouveau blocage des négociations qui avaient repris au retour de M. JEGO, le 11 février.

Contrairement aux déclarations de M. JEGO, l’Etat français n’est pas neutre. Il a toujours soutenu et attribué des moyens importants au patronat (exonération de charges, exonération de taxes, subventions diverses…) pour leur permettre de perpétrer leur pwofitasyon sur les travailleurs et le Peuple Guadeloupéen. Aujourd’hui encore, il ne fait aucune pression sur ce patronat pour l’obliger à faire des propositions pour satisfaire les justes revendications du Peuple Guadeloupéen.

Depuis le début des négociations, les vrais maîtres de la Guadeloupe (HAYOT, DESPOINTES, AUBERY, LORET, BARBOTTEAU, VIVIES, LE METAYER, le groupe REYNOIR, les Ciments LAFARGES, la SARA, les Banques …) se cachent derrière les petits patrons en utilisant quelques supplétifs de service qui ne sont patrons de rien du tout. Nous avons affaire à un patronat rétrograde, accroché à l’Etat et qui ne veut pas mettre la main à la poche pour payer les salariés. Dans ce conflit, l’Etat et le patronat sont co-responsables de la situation et misent sur le pourrissement de la grève et le découragement du Peuple.

Les patrons guadeloupéens, conscients du rôle qu’ils ont à jouer dans l’économie de leur pays, ont décidé de se rebeller contre les organisations censées les représenter (MEDEF,CGPME…) et de s’organiser afin de trouver des solutions pour répondre aux revendications de leurs salariés.

Quant aux collectivités, elles ont toujours accompagné l’Etat dans son soutien au patronat. Elles savent très bien que l’argent public versé aux patrons ne profite pas à la Guadeloupe mais participe à l’enrichissement d’un patronat véreux.
Au delà des prises de position de principe contre les agissements de l’Etat dont nous prenons acte, le Peuple en mouvement attend des élus un engagement franc à travers :
La paralysie totale du fonctionnement de toutes les institutions (mairies, Conseil Général, Conseil Régional, Etablissements publics etc..)
Une vraie dénonciation des pwofitasyon du patronat à l’encontre des travailleurs guadeloupéens.

LIYANNAJ KONT PWOFITASYON appelle de façon solennelle le Peuple Guadeloupéen à poursuivre et amplifier la mobilisation pour :

OBLIGER l’Etat français à respecter les engagements pris le 28 JANVIER par M. JEGO

OBLIGER le patronat à mettre la main à la poche pour augmenter les salaires des travailleurs.

Nous rappelons que seul un accord sur les 200 € et les autres points de revendications de « premyé nivo » portant sur le pouvoir d’achat et l’arrêt des pwofitasyon sera de nature à créer les conditions d’une suspension du conflit.

PLUS QUE JAMAIS LA LUTTE DOIT CONTINUER ET S’AMPLIFIER.

LE PEUPLE DOIT S’ORGANISER POUR VIVRE ET RESISTER.

Tou lé swa : animasyon é soutyen a awtis Gwadloup an bik la – Lamityalité Lapwent

Sanmdi 14 févriyé : Jouné mémwa a févriyé 52 o Moul
16h00 : Randévou a Damencourt
18h00 : Dépôt de Gerbe
19h00 : Swaré kiltirèl - AKADEMIDUKA é KAMODJAKA LEWOZ èvè AKIYO

An menm balan la, a 7èdswa : Meeting a Kapestè

« LA GWADLOUP SÉ TAN NOU, LA GWADLOUP A PA TA YO »
Lapwent, le 12.02.09

L.K.P
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Message par com_71 » 13 Fév 2009, 10:01

Hier Willy Angèle (MEG Mvt des Entrepreneurs Guad.) propose des miettes.

Proposition d'un accord interprofessionnel (refusé fermement jusqu'à présent) sur augmentation de 150€ pour les bas salaires
+ 1,6% sur les salaires au-dessus de 1,4 smic.
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Message par Puig Antich » 13 Fév 2009, 10:12

J'ai reçu ça cette nuit. Des infos ?


a écrit :*URGENCE AVANT MASSACRE GUADELOUPE*
> > *dimanche 8 février 2009 (15h44) **

infos de Guadeloupe : 4000 militaires/gendarmes/CRS sont arrivés samedi  07
février 2009 - 22:29 par soutien


Chers compatriotes,

C'est un appel de soutien que je lance depuis la Guadeloupe.  Un collectif de
52 organisations /comprenant tous les syndicats, des groupements de mutuelle,
des fédérations d'associations, les plus grosses associations de la Guadeloupe,
le syndicat des transporteurs, les syndicats des stations de service, syndicat
de pêcheurs, etc/ a lancé un mouvement de grève depuis le 20 janvier 2009.  Des
négociations on été engagées au World Trade Center, avec autour de la table de
négociation, une représentation de l'ensemble des décideurs de la Guadeloupe :



Le collectif : *Lyanag kont profitasyon* - Rassemblement contre les
profiteurs - Les élus : Conseil Régional - Conseil Général - Les maires - les
Députés- Les Sénateurs - Les socio professionnels : MEDEF - CGPME - CTPME - CCI
- CES - etc
L'Etat : Préfet de Région - Les Directeurs d'administration centrale , Suite à
la lecture d'une note émise par le Secrétaire d'Etat à l'Outre-Mer, Yves JEGO,
le Préfet de Région a décidé d'abandonner la table de négociations pour
soi-disant se mettre à travailler.

Aujourd'hui, vendredi 30 janvier 2009, près de 60.000 personnes ont défilé
dans les rues de Pointe à Pitre, afin de démontrer leur soutien au "kolectif",
or les médias métropolitains, confisqués par SARKOZY, ne  font guère écho de ce
mouvement dont la substance est unique dans  l'histoire de France ; car, c'est
la première fois qu'un telle  manifestation arrive a créer un consensus de
toutes les forces vives  d'une Région et sans exclusive.

La Guadeloupe réclame la venue du Premier Ministre pour gérer une fin de cette
crise. Or, le ministre de tutelle, en l'occurrence Monsieur JEGO,  refusant de
jouer son rôle légal, refuse de se rendre en Guadeloupe par  peur de...


L'Etat Français s'est défaussé devant le peuple guadeloupéen qui a assisté en
direct à la démission du gouvernement.  Les négociations étaient retransmises
par 3 chaines de télévision locale, les téléspectateurs ont assisté au départ
du Préfet qui a refusé  de continuer les négociations, promettant de sévir en
cas de dérapage.

*17 Airbus ont débarqué depuis début janvier, avec près de 4000
militaires/gendarmes/CRS, armés jusqu'aux dents. Des chars d'assauts, des
minutions, des cercueils en plastique, des vivres ont également été acheminés
en même temps que ces forces de répression*. Ce tel dispositif de guerre coûte
3 millions d'euros par jour au contribuable français. Les guadeloupéens
auraient préféré que cet argent serve à résoudre quelques uns des 146 points de
la plateforme de revendications.


L'Etat français a tiré sur la foule à plusieurs reprises en Guadeloupe :  1910
- 1925 - 1952 - 1967 

*En 1967, suite à un fort mouvement de grève, messieurs MESSMER,  MARCELIN et
DE GAULLE ont fait tirer sur la foule et tuer plus de 170  personnes -
officiellement seuls 31 morts ont été déclarés par l'Etat.*

Pendant que je rédige ce document, le gouvernement vient de décider de
transférer les rédactions de RFO à Paris, les émissions locales ne seront plus
produites localement. Sarkosy se fabrique sa dictature par  ses exactions,
voilà que l'Outre-Mer revient 30 ans en arrière avec les pratiques coloniales.



*Chers compatriotes, je vous demande de diffuser ce document par vos relais,
il faut que toute la France sache que l'on se bat pour l'ordre juste et contre
les profiteurs de toute nature.* *"La gwadloup cé tan nou - la gwadloup cé pa
ta yo - yo bisyon fé sa yo vlé - a dan péyi en nou"

* /*"La Guadeloupe est à nous - la Guadeloupe n'est pas à eux - ils veulent
faire ce qu'ils veulent - dans notre pays


A.P.N 
Puig Antich
 
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Message par com_71 » 13 Fév 2009, 10:31

(Puig Antich @ vendredi 13 février 2009 à 10:12 a écrit : Des infos ?

Dans ses interviews sur les perspectives (cf. + haut) J-M Nomertin du LKP évoque la possibilité d'une répression en cas de recul du mouvement. Je crois que tous les travailleurs en lutte le savent... et le mouvement ne recule pas.
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Message par com_71 » 13 Fév 2009, 10:36

(afp a écrit :Martine Aubry craint la propagation des événements des Antilles à la métropole

  La première secrétaire du PS Martine Aubry craint une propagation des événements qui secouent les Antilles à la métropole, dans une interview publiée vendredi par le Parisien.

"Je crains effectivement que le sentiment de ras le bol des Guadeloupéens et des Martiniquais se diffuse ici", souligne Mme Aubry après avoir relevé que "le sentiment d'injustice aux Antilles est d'autant plus fort que la vie y est plus chère qu'en métropole".

Cette crainte est alimentée "notamment parce que le président de la République reste sourd aux attentes des Français", ajoute-t-elle. "C'est ce décalage qui me fait craindre une propagation des événements qui agitent les Antilles", dit-elle, affirmant: "il faut tout faire pour que cela n'arrive pas".


C'est au moins clair !
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