Ensemble contre la précarité à l'école

Message par Valiere » 30 Août 2006, 18:18

ENSEMBLE, CONTRE LA PRECARITE ET LA CASSE DE L’ECOLE
Le gouvernement prétend oeuvrer à l’égalité des chances… Qu’en est-il dans la réalité ? Le ministère, relayé par les rectorats, continue de rentabiliser le service public, avec des budgets et des dotations horaires exsangues, le « socle » minimum et l’apprentissage à 14 ans pour les élèves en difficulté…

Cette politique de casse de l’école publique a un prix social et humain, pour les jeunes d’abord (pour ceux des cités elle aggrave les motifs de désespérance), mais aussi pour les personnels de l’EN.
Les premières victimes sont les milliers de non titulaires, enseignants ou non, vie scolaire, MGI, sur contrats « aidés » (… ), qui sont au chômage total ou partiel, et qui doivent attendre des mois le paiement des salaires ou des indemnités chômage...
Ces conditions indignes prouvent que l’Etat cherche à tout prix à décourager les précaires, qu’il a pourtant reconnu compétents et réemployés pendant 2, 5 ou 15 ans…Et à présent, il teste sur les titulaires cette précarité des non titulaires, et veut aussi les décourager, avec la décentralisation des TOS, les remplacements à l’interne, la bivalence, les services sur plusieurs établissements, et plus généralement la dégradation massive des conditions de travail…
Des sénateurs (UMP, UDF) théorisent même sur le licenciement économique des titulaires.
Refuser la précarité, en imposant le réemploi et la titularisation de tous,
c’est aussi défendre les revendications de tous les personnels et l’avenir des jeunes,
contre la politique de la droite, comme en cas d’une éventuelle alternance de gauche.
Le Collectif des non titulaires IdF, avec la coordination nationale des précaires de l’EN, organise sur ces positions des actions (manifs, campements…) et s’adresse aux syndicats, aux élus, aux médias.
Venez à l’Assemblée générale du collectif, le mercredi 6 / 09 à 17 h 30 (Bourse du Travail de Paris, 3 rue du Château d’Eau, 75012 ; m° République), participez aux rassemblements devant les rectorats, avec l’intersyndicale, le 6 / 09 à 14 h, envoyez vos témoignages et propositions
Isabelle 06 19 81 12 00, iungemach@free.fr, Jean Michel 06 81 60 48 43, Catherine 06 62 89 02 00




ENSEMBLE, CONTRE LA PRECARITE ET LA CASSE DE L’ECOLE
Le gouvernement prétend oeuvrer à l’égalité des chances… Qu’en est-il dans la réalité ? Le ministère, relayé par les rectorats, continue de rentabiliser le service public, avec des budgets et des dotations horaires exsangues, le « socle » minimum et l’apprentissage à 14 ans pour les élèves en difficulté…

Cette politique de casse de l’école publique a un prix social et humain, pour les jeunes d’abord (pour ceux des cités elle aggrave les motifs de désespérance), mais aussi pour les personnels de l’EN.
Les premières victimes sont les milliers de non titulaires, enseignants ou non, vie scolaire, MGI, sur contrats « aidés » (… ), qui sont au chômage total ou partiel, et qui doivent attendre des mois le paiement des salaires ou des indemnités chômage...
Ces conditions indignes prouvent que l’Etat cherche à tout prix à décourager les précaires, qu’il a pourtant reconnu compétents et réemployés pendant 2, 5 ou 15 ans…Et à présent, il teste sur les titulaires cette précarité des non titulaires, et veut aussi les décourager, avec la décentralisation des TOS, les remplacements à l’interne, la bivalence, les services sur plusieurs établissements, et plus généralement la dégradation massive des conditions de travail…
Des sénateurs (UMP, UDF) théorisent même sur le licenciement économique des titulaires.
Refuser la précarité, en imposant le réemploi et la titularisation de tous,
c’est aussi défendre les revendications de tous les personnels et l’avenir des jeunes,
contre la politique de la droite, ou en cas d’une éventuelle alternance de gauche.
Le Collectif des non titulaires IdF, avec la coordination nationale des précaires de l’EN organise sur ces positions des actions (manifs, campements…) et s’adresse aux syndicats, aux élus, aux médias.
Venez à l’Assemblée générale du collectif, le mercredi 6 / 09 à 17 h 30 (Bourse du Travail de Paris, 3 rue du Château d’Eau, 75012 ; m° République), participez aux rassemblements devant les rectorats, avec l’intersyndicale, le 6 / 09 à 14 h, envoyez vos témoignages et propositions
Isabelle 06 19 81 12 00, iungemach@free.fr, Jean Michel 06 81 60 48 43, Catherine 06 62 89 02 00

Valiere
 
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Message par Valiere » 31 Août 2006, 22:15

Autre appel à mobilisation dans l'EN
De cette rentrée-là on n'en veut pas !"

En ligne sur le site de la CNT-FTE le Classes en lutte... n°73 de
septembre 2006. Merci de le diffuser aussi largement qu'il le mérite.
http://www.cnt-f.org/fte/rubrique.php3?id_rubrique=71


Pour pouvoir lire la version imprimable en Pdf sur votre ordinateur
téléchargez PDF Reader c'est un logiciel libre équivalent d'Adobe reader
mais moins commercial et surtout plus léger !
http://www.foxitsoftware.com/download.htm

Pour tout abonnement ou résiliation d'abonnement, il suffit de nous
répondre à cette adresse...

Edito du n°73

Pas de vacances... À peine remballé son Contrat Première Embauche,
le gouvernement faisait passer sa réforme sur l'immigration choisie,
menaçant d'expulser, fin juin, des milliers de familles
sans-papiers. À peine rentré, De Robien annonçe fièrement l'embauche
de 30 000 employés de vie scolaire en lieu et place des assistants
d'éducation, mais plus précaires et encore moins bien payés. À
peine (...)

De cette rentrée-là on n'en veut pas !


X a 4 ans et demi. Cette année, il doit rentrer en grande section de
maternelle et retrouver ses copains de l'année dernière. Seulement,
il ne sera pas présent la semaine prochaine lors de la rentrée, car
ses parents sont sous un arrêt de reconduite à la frontière. Ils
vivent en France depuis 5 ans maintenant. Ses copains risquent de ne
pas le revoir de sitôt. Y a 19 ans. Il n' a pas la (...)

Ni délateurs, ni flics !


À nos collègues des écoles, collèges et lycées À de nombreuses
reprises et en diverses villes et régions, la police et la
gendarmerie ont pris l'habitude d'utiliser les directions d'école ou
les administrations de collège et de lycée pour obtenir
téléphoniquement des renseignements sur des familles sans papiers.
Avec parfois l'aval des inspections académiques. Nous rappelons à
tous nos (...)

Seine-Saint-Denis : l'éducation en danger


Appel intersyndical unitaire Depuis des mois, dans notre département
nous tentons d'alerter sur la gravité de la situation, y compris en
ayant eu recours à la grève sans être véritablement entendus.
L'administration de l'Éducation nationale tente de faire croire que
la rentrée de septembre se fera dans des conditions satisfaisantes,
il n'en sera rien ! L'application de la loi (...)

Marseille contre la répression


Création d'un Collectif de vigilance contre la répression /
Collectif des personnels de l'Éducation nationale, syndiqués et
non-syndiqués, luttant contre toutes les formes de répression.
L'augmentation constante du recours à la répression envers les
personnels de l'Éducation nationale nous pousse aujourd'hui à
réagir. Un arsenal croissant de moyens coercitifs est employé pour
nous (...)

Solidarité internationale


Solidarité internationale Nouvelle répression sanglante au Mexique :
la police tire sur des instituteurs(trices) en grève ! Nous avons
appris avec indignation que les autorités mexicaines ont, encore une
fois, commandité une répression sanglante visant des travailleurs et
travailleuses mexicain(e)s. Selon nos informations, le mercredi 14
juin 2006, des éléments de la police du gouvernement de (...)

Abonnez-vous ! N'AUTRE école n°12 - édito


Ruptures : c'est un fait que l'écart ne cesse de se creuser entre
les salariés de l'éducation et leurs organisations syndicales. Si
jusque-là notre profession se prévalait d'un taux de syndicalisation
respectable au regard d'autres secteurs, l'envolée de l'abstention
aux dernières élections paritaires est venue attester cette nouvelle
donne. Aucun syndicat ne (...)


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https://listes.globenet.org/listinfo/classesenlutte

Valiere
 
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Message par Valiere » 07 Sep 2006, 08:22

texte diffusé sur l'Ile de France par L'EMANCIPATION

Résister à la cohérence de la politique du Pouvoir

En cette rentrée, rien n’arrête le gouvernement, le parlement, les partis et les lobbies médiatiques qui les soutiennent. Jamais l’écart n’aura été si grand entre les annonces lénifiantes et/ou républicaines, et la réalité d’une politique de combat d’un pouvoir cynique, relais des exigences du capitalisme mondial industriel et financier.

Devant la lenteur et l’éparpillement de la riposte à cette offensive, il semble utile d’insister sur la gravité et la cohérence de la politique gouvernementale en matière d’éducation, d’immigration, de précarisation et de « prévention » de la délinquance, et de rappeler les réponses en terme de revendications et de luttes concrètes que peut apporter le mouvement syndical, avec les jeunes et les parents d’élèves et les militants qui luttent contre les différentes formes d’exclusion,

Les responsables gouvernementaux discourent sur « la justice sociale » et « l’égalité des chances », sur le droit au travail, à la différence, à la culture, à un « développement » durable, sur l’« exception française » (services publics, laïcité,…), sur « la protection contre les excès de la mondialisation » et sur l’indépendance au niveau international… Mais leurs choix politiques aggravent le tri social et l’exclusion, la répression le contrôle social, dans la droite ligne du libéralisme incarné par le MEDEF et par la commission européenne et l’administration. Cette orientation libérale se traduit par une allégeance accrue au « modèle » US et à la politique internationale de Bush. Les lois débattues à l’Assemblée nationale en cette rentrée, sur la « prévention » de la délinquance dés la maternelle et la délation, sur la privatisation de l’énergie et sur la banalisation de OGM (même si cette dernière semble devoir être reportée) témoignent de cette orientation,
Mais avant même le vote de ces lois auxquelles nous nous opposons, les textes en vigueur, les budgets exsangues et les pratiques des administrations font peser sur les services publics, sur les jeunes et sur les immigrés la politique de rentabilisation de l’Etat, alors même que la révolte des banlieues imposerait plutôt l’inverse.
Ainsi, dans l’Education, les milliers de suppressions de postes et de crédits, les lois Fillon Robien et « d’égalité des chances » ont pour résultat des effectifs chargés, des suppressions de dédoublements, d’options, d’aides aux élèves, l’asphyxie des vies scolaires que vise certainement à contrebalancer la note de vie scolaire (mise par le chef d’établissement, sur proposition du prof principal, avec un simple avis du CPE). Tout cela va accroître les difficultés pour tous les jeunes et on ne voit pas ce que pourraient apporter les « conseils pédagogiques », à part aider l’administration à passer au dessus des structures syndicales et de démocratie interne des établissements. Et pour les élèves les plus en difficulté, dont le nombre va automatiquement s’accroître, le socle commun minimum et l’apprentissage dés 14 ans, qui offre au patronat une main d’œuvre sous payée et désarmée.? A la marge, quelques lycéenNEs méritantEs se verront attribuer une bourse au mérité alors que les établissement ne peuvent plus, faute de budget, verser les bourses « ordinaires » (attribuées sur critères sociaux) et quelques autres seront triéEs dans des lycées d’élite et/ou serviront de caution au malthusianisme du recrutement par concours de certaines grandes écoles. Voilà qui éloigne encore plus du droit à l’éducation pour tous et toutes.

C’est la même injustice sociale, le même élitisme que Sarkozy prétend imposer avec son « immigration choisie ». Quand Sarkozy a utilisé l’école pour traquer les sans papiers, la mobilisation des enseignants et des parents dans RESF l’a contraint à repousser les expulsions, puis à annoncer des régularisations. Mais en limitant sa circulaire aux parents d’enfants scolarisés et en limitant d’emblée à 6000 les possibilités de régularisation, qu’il y ait
10, 20 ou 30 000 dossiers, il campe sur l’idée que quelques rares élèves méritants peuvent justifier de la régularisation de leur famille, alors que tout, de la simple humanité, aux données démographiques montre que c’est la régularisation de tous les sans papiers qui s’impose, à l’image des régularisations massives des pays voisins.
La loi CESEDA fait disparaître ce qui restait d’asile, de regroupement familial de prise en compte de l’ancienneté en France, au profit d’un tri parmi les étudiants étrangers et de conditions encore plus drastiques pour les travailleurs. En effet, au passage ces minables pratiques électoralisme d’un Sarkozy permettent aux patrons de faire baisser le coût du travail et même de dénoncer les travailleurs sans papiers, dés lors qu’ils refusent de se soumettre à leur exigences. On voit bien là une exploitation conjointe de l’immigration et de la précarité.

La précarité est illustrée par les CDD, le CNE, les licenciements, les plans sociaux, les délocalisations… Mais elle commence à l’école en rendant les élèves et leurs familles responsable de l’échec scolaire, en excluant les jeunes de façon précoce, en ne payant pas les bourses comme en cette rentrée, ou en les soumettant aux résultats scolaires.
La précarité frappe les jeunes dans leurs conditions de vie (les jeunes travailleurs, comme les étudiants et ce n’est pas l’indemnité « ALICE » qui va changer fondamentalement les choses) et dans leur débouchés limités aux stages, CNE et contrats aidés.
L’Etat, peut-être parce qu’il est responsable de la réglementation en matière de travail, est celui qui y contrevient le plus, en employant des centaines de milliers de non titulaires, qu’il utilise au gré de ses politiques d’austérité budgétaire, de privatisation, de décentralisation. Dans l’éduction, le ministère exploite la précarité pour affaiblir les conditions de travail et les statuts de l’ensemble des personnels et pour cibler les secteurs dont il veut se débarrasser (vie scolaire, orientation, médecine scolaire, entretien et restauration…). Beaucoup de précaires sont des étrangers et il y a plus de précaires là où les publics scolaires sont les plus précarisés, la cohérence. A la précarité de l’emploi il faut ajouter la précarité de la santé avec la question de l’exclusion des soins et de la CMU, et la précarité du logement avec les expulsions comme à Cachan, où l’EN propriétaire des locaux n’a pas hésité à demander l’expulsion.

Cette politique de licenciements, de précarité, d’exclusion d’une partie importante et croissante de la population des droits fondamentaux, au service des classes sociales les plus aisées et du capitalisme planétaires est rendue possible par toute une stratégie de casse des capacités de riposter des victimes de ce système d’exploitation.
La répression et le harcèlement policier et judiciaire sont faits pour casser les mouvements sociaux, les syndicalistes, les associatifs, les défenseurs de l’environnement, les exclus qui résistent dans leur travail, dans les quartiers, dans leur squat, les jeunes qui se battent contre la loi Fillon, contre le CPE ou contre les conditions qui leurs sont faites dans les cités.
Tout est fait pour quadriller la société pour opposer l’individualisme aux solidarités et pour diviser les oppriméEs. Les différentes lois sécuritaires, mises en place par les gouvernements de droite comme de gauche, généralisent le contrôle social, la suspicion, les tensions anti-jeunes et racistes.
Sarkozy, compte bien satisfaire son arrivisme effréné en mêmes temps que les exigences du système d’exploitation dont il est le pantin en couronnant ce système sécuritaire d’une clé de voûte qui nous fait régresser aux niveau des pires époques de notre histoire. La loi dite « de prévention de la délinquance », c’est le règne de la délation, de la stigmatisation des jeunes dés la maternelle, de leur fichage (que permettent les nouveaux logiciels scolaires : « base élève » par exemple), de leur criminalisation et des leur enfermement dans un système carcéral dont l’inhumanité est elle hautement « criminogène »…

Cette société là on en veut pas.
Malheureusement, les stratégies des directions syndicales qui s’alignent sur les moins combatives d’entre-elles ne répondent ni à l’importance et à la globalité de cette régression sociale, ni à l’urgence d’y faire échec. Les directions des fédérations de la Fonction publique préfèrent se payer d’illusions quant aux discussions possibles sur les missions des services publics ou sur le dialogue social, plutôt que d’appeler à mobilisation immédiate contre ce pouvoir qui en rajoute toujours plus à l’intolérable. Celles de l’éducation n’appellent que le 28 septembre à une grève de 24 h, laissant le gouvernement maître de la rentrée et lui permettant d’escompter un « répit » préélectoral à l’automne. Et d’ailleurs, le retard à l’allumage des directions les condamne à s’en remettre à l’éventualité d’un succès électoral de la gauche gouvernementale, qui n’a pas convaincu quant à son indépendance par rapport au libéralisme. Il y a là de quoi s’interroger aussi sur l’indépendance des directions syndicales…

Il importe donc de tout faire pour susciter et cordonner des mobilisations, si possible intersyndicales et interprofessionnelles, pour refuser les agressions de cette rentrée : les mobilisations contre les licenciements et les délocalisations, les luttes contre la politique d’immigration et du logement, la défense des services publics, les campagnes de désobéissance civique, les mobilisations dans les établissements scolaires… s’opposent chacune à un des aspect de l’attaque gouvernementale, oeuvrer à leur convergence et à leur mise en réseau, c’est les renforcer chacune, tout en opposant un front commun à la hauteur de l’offensive du pouvoir.

Cela signifie d’abord la mise en cohérence revendicative :
Le respect de tous les droits fondamentaux, à l’éducation, au logement et à vivre en famille, à la santé, au travail.
L’abrogation de toutes les lois qui limitent ces droits (Fillon Robien, CESEDA...)
Le refus des licenciements dans le privé comme dans le public, et un emploi stable pour tous, le réemploi et la titularisation sans conditions de tous les précaires
Le refus dans l’éducation, du socle minimum et des PPRE, de l’apprentissage à 14 ans
Le refus de la délation et le soutien aux personnes qui résistent

Ensuite, les échéances de centralisation doivent être rapides, si ont veut que se développe un mouvement avant que la chape électorale ne se referme: les AG d’établissements, de villes doivent rapidement définir leur revendications et leurs moyens d’actions. Il faut ensuite que dans chaque département se tiennent des AG interprofessionnelles, comme par exemple à Bobigny, le 13 septembre, ou à Créteil, le 14 septembre après les manifestations du RESF. Une coordination régionale en lien avec la mobilisation du collectif unitaire contre la délation.pourrait avoir lieu à Paris, vers le 20/09 et au plus tard Le 28 au soir.
C’est dans cette dynamique que l’initiative éducation du 28, renforcée par un appel fonction publique constituera une étape d’une mobilisation durable, plutôt qu’un baroud d’honneur préélectoral.



Valiere
 
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