
extrait du tract CGT-FAPT (fédération des activités postales et de télécommunication)
Dans l'ensemble du Groupe La Poste :
- pour s'opposer à la libéralisation des activités postales et aux restructurations,
- pour gagner sur les revendications : salaire - emploi - service public,
- pour le droit à la communication.
Plus que jamais l'engagement des salariés du groupe La Poste dans la grève et les manifestations unitaires à l'appel des organisations syndicales (CGT - CFDT – CFTC - FO - SUD) le 14 novembre est nécessaire pour se faire entendre.
Que l'on soit de La Poste maison mère, de la Banque postale, des entreprises des holdings Géopost ou Sofipost, nous sommes tous confrontés aux réorganisations, aux restructurations, à la casse des services, aux plans sociaux et de licenciements.
Les objectifs de cette politique de démantèlement et de marchandisation visent à réduire de manière drastique la masse salariale et à accompagner voire précéder la libéralisation des activités postales traduite dans le projet de loi de la commission européenne, visant la privatisation.
C'est donc sous couvert de libéralisation et de concurrence que gouvernement et direction travaillent à mettre La Poste aux "normes du marché" en faisant de l'emploi la variable d'ajustement pour réduire la masse salariale globale.
C'est le sens des dossiers et projets actuels "énergie 2007" pour le colis et l'express, "cap qualité courrier", "facteurs d'avenir", "PIC", "établissement courrier" pour les métiers du courrier, "terrain" pour le réseau grand public, "développement de la compétitivité des centres" pour les services financiers, "PFT" pour les directions transverses, "évolution des UGRH", etc.
Toutes ces réorganisations d'ampleur dans chaque métier et catégorie, sont cohérentes et convergent dans la même optique de rentabilité financière et de réduction des coûts, principalement de personnel avec l'ambition de supprimer des milliers d'emplois (plus de 60.000 emplois).
Ces suppressions d'emplois conduisent à une nouvelle dégradation des conditions de vie, à la remise en cause des horaires et de la durée du travail, des congés, à la flexibilisation des organisations et à l'intensification des cadences de travail, à la polyvalence et à la mobilité accrues, etc.
Face à cette offensive destructrice, on a donc tout intérêt à agir tous ensemble et sans attendre pour s'opposer à cette casse généralisée de l'emploi et du service public et imposer partout des négociations sur les revendications.
Dans l'ensemble du Groupe La Poste :
Le 14 novembre 2006
Toutes et tous en grève et aux manifestations unitaires (CGT-SUD-FO-CFDT)
- pour s'opposer à la libéralisation des activités postales et aux restructurations,
- pour gagner sur les revendications : salaire - emploi - service public,
- pour le droit à la communication.
Plus que jamais l'engagement des salariés du groupe La Poste dans la grève et les manifestations unitaires à l'appel des organisations syndicales (CGT - CFDT – CFTC - FO - SUD) le 14 novembre est nécessaire pour se faire entendre.
Que l'on soit de La Poste maison mère, de la Banque postale, des entreprises des holdings Géopost ou Sofipost, nous sommes tous confrontés aux réorganisations, aux restructurations, à la casse des services, aux plans sociaux et de licenciements.
Les objectifs de cette politique de démantèlement et de marchandisation visent à réduire de manière drastique la masse salariale et à accompagner voire précéder la libéralisation des activités postales traduite dans le projet de loi de la commission européenne, visant la privatisation.
C'est donc sous couvert de libéralisation et de concurrence que gouvernement et direction travaillent à mettre La Poste aux "normes du marché" en faisant de l'emploi la variable d'ajustement pour réduire la masse salariale globale.
C'est le sens des dossiers et projets actuels "énergie 2007" pour le colis et l'express, "cap qualité courrier", "facteurs d'avenir", "PIC", "établissement courrier" pour les métiers du courrier, "terrain" pour le réseau grand public, "développement de la compétitivité des centres" pour les services financiers, "PFT" pour les directions transverses, "évolution des UGRH", etc.
Toutes ces réorganisations d'ampleur dans chaque métier et catégorie, sont cohérentes et convergent dans la même optique de rentabilité financière et de réduction des coûts, principalement de personnel avec l'ambition de supprimer des milliers d'emplois (plus de 60.000 emplois).
Ces suppressions d'emplois conduisent à une nouvelle dégradation des conditions de vie, à la remise en cause des horaires et de la durée du travail, des congés, à la flexibilisation des organisations et à l'intensification des cadences de travail, à la polyvalence et à la mobilité accrues, etc.
Face à cette offensive destructrice, on a donc tout intérêt à agir tous ensemble et sans attendre pour s'opposer à cette casse généralisée de l'emploi et du service public et imposer partout des négociations sur les revendications.