Ne rien faire qui puisse "désespérer" signifie prendre en charge politiquement le 25 mai, taire ses critiques "au nom de l'objectif commun". C'est soutenir le 25 comme tel alors que ce n'est qu'un contre-feu de plus à la grève générale. (voir communiqué intersyndical)
Quant à votre politique, elle conjugue effectivement un soutien acritique aux journées d'actions - au nom de "la lutte" - avec le soutien à des opération divisionnistes du type coordination. Leur point commun ? Elle ne posent pas de front la question de la politique des directions syndicales, censée être valeur négligeable.
Et si ça te semble auusi négigeable que ça, parles en à des instits, eux savent parfaitement combien c'est concret ces jours-ci.