Brève LO (le 13-10-2016)
Le baratin de Renault relayé par des médias complaisants
Les dirigeants de Renault claironnent qu’ils vont embaucher 1 000 personnes en CDI. Mais depuis 2013 et l’accord de compétitivité, Renault a supprimé 7 000 emplois. En prime, les salariés ont subi l’allongement non payé de leur temps de travail , la réduction des temps de pause, le blocage des salaires, et la montée en flèche de la précarité avec le recours massif à l’intérim.
Alors oui, les profits de Renault se portent bien grâce à l’exploitation accrue des travailleurs. Les actionnaires sont gagnants-gagnant et les salariés perdants-perdants.