les ravages de l'amiante

[Crockette]

Vlà au canada ils continuent à exploiter ds les mines l'amiante, ils ont les mêmes connaissances que nous (voir parfois plus) mais les ouvriers continuent à exploiter l'amiante et sans protection particulière. ça veut dire que ds le monde, la demande du batiment pour l'amiante continue d'exister !!!

Lors de l'écroulement des tours en 2001, l'effondrement a provoqué des nuages lourdement chargé en poussière d'amiante,(flocage des batiments pour insonoriser, isoler) les bénévoles et les pompiers, les secouristes qui sont intervenus, ont respiré de fortes doses.
Des parents se sont mêmes indignés que des écoles ds un périmètre proche ne soient pas fermées, ce qui a mis aussi en exposition des enfants.
Des associations ont dénoncé l'hypocrisie de l'agence américaine de l'environnement qui était chargé de contrôler l'atmosphère.

Evidemment plus le décor restait mad max, plus les américains prenaient le risque d'affoler la bourse.Il valait mieux raconter dès lors des bobards aux gens. (sans parler que la poussière se déposait sur les casse-croute des bénévoles à midi)

Source : reportage sur planète ou arte.

[Crockette]

pourquoi tu crois que c'est bidon l'histoire de l'amiante lors du "collapsing"(du verbe to collapse) des dble towers ?

Il y a que pour l'histoire du casse croute que j'ai un peu extrapolé, sinon le reste..il faudrait démontrer le contraire. :wavey:

[Aumance]

"Un employeur, les aciéries Aubert et Duval aux Ancizes (Puy de Dôme) a assigné en justice la caisse primaire d'assurance maladie du Puy de Dôme pour contester la pathologie que celle-ci a reconnue à un ancien métallo ; c'est une première en France ;"

"Aubert et Duval est confrontée à la croissance régulière du nombre de salariés et d'anciens salariés , touchés par les maladies de l'amiante, depuis qu'en 2004, la CGT a incité ceux-ci à passer des examens ;"

"Quelque 160 personnes ont déjà été reconnues comme "infectées" , à des degrés divers, par cette fibre minérale ; "

"la direction d'Aubert et Duval insiste sur le fait qu'"il ne s'agit pas de s'opposer aux décisions de la CPAM ou du corps médical" mais de "comprendre ce qui s'est passé, comment fonctionne le processus " et de "soumettre celà à l'appréciation de la justice ".

Source : article paru dans le Journal La Montagne Centre France du jeudi 12 mai 2005