le confit de canard, je suis confus, mais on peut pas....c'est des mauvaises graisses...ou alors un canard bio, nourri sans ogm, et loin d'une centrale nucléaire!
assassin!
sinon, un autre article sur cette études, pour éloigner les forumeurs de ces mauvaises idées....
dans le Monde:
a écrit :
[center]Une étude échoue à établir un lien entre alimentation grasse et cancer[/center]
LEMONDE.FR | 09.02.06 |
C'est l'une des plus importantes études sur l'alimentation jamais réalisées. Pendant huit ans, le gouvernement américain a investi 415 millions de dollars (347,3 millions d'euros) pour suivre 48 835 femmes ménopausées. Pendant huit ans, des chercheurs de l'American Medical Association ont suivi attentivement leur alimentation, et notamment la quantité de graisses qu'elles consommaient, pour tenter de prouver que la consommation excessive de matières grasses augmente les risques de cancer et d'accident cardiaque.
Problème : de l'aveu même de l'un des responsables, le docteur Joann Manson, les résultats de l'étude sont "quelque peu décevants". Le lien entre alimentation et cancer du sein, notamment, n'a pas pu être établi de manière probante par les scientifiques. Les chercheurs pensaient qu'il existait un lien car les pays occidentaux, où l'alimentation est la plus grasse, sont les plus touchés par le cancer du sein. Les scientifiques ont toutefois souligné que les femmes suivies qui ont consommé le moins de matières grasses étaient légèrement moins touchées.
PAS UNE "CARTE BLANCHE" POUR MANGER GRAS
"Cela ne veut pas dire que l'on a carte blanche pour manger gras sans risquer de problèmes de santé", souligne le docteur Manson. L'obésité, notamment, reste un facteur aggravant dans l'apparition des cancers et augmente énormément le risque d'accident cardiovasculaire.
Les spécialistes du cancer et des maladies cardiovasculaires expliquent que la réflexion sur le rôle des matières grasse dans l'apparition ou la prévention des maladies a beaucoup évolué depuis huit ans, quand l'étude a été lancée. Le protocole scientifique mis en place n'aurait notamment pas tenu assez compte des différences entre "bonnes" et "mauvaises" graisses. Les chercheurs qui ont participé à l'étude ont avancé plusieurs autres explications. Les participantes n'auraient peut-être pas suffisamment réduit leur consommation de matières grasses, ou auraient peut-être commencé leur régime trop tard.
Avec AP