c'est une si monstreuse stupidité que les bras en tombent....
enfin quand on lit en détail on voit que les pétitionnaires sont non seulement des associations mais des producteurs et industriels et que comme le dit l'article
a écrit :La garantie d'une alimentation non OGM pourrait donc être un argument marketing fort.
bref le lobby bio n'essaye plus seulement de vendre sa salade mais sa viande encore plus cher, quitte à balancer des énormités monstrueuses pour faire peur au consommateur!
a écrit :
[center]Appel à l'étiquetage des animaux nourris aux OGM[/center]
(AFP - 14/05/07)
Des associations, producteurs et industriels réclament que les viandes mais aussi le lait, les oeufs et le poisson issus d'animaux nourris avec des aliments contenant des OGM, soient étiquetés.
« Les animaux ou même les poissons d'élevage peuvent avoir été nourris d'aliments OGM sans que le consommateur le sache », déplore Jean-Yves Griot, secrétaire du réseau Cohérence, qui rassemble plus d'une centaine d'associations du grand Ouest (consommateurs, producteurs, défenseurs de l'environnement, etc.)
Ces dernières demandent que les produits issus d'animaux soient soumis aux mêmes contraintes que les produits végétaux pour lesquels, l'Europe impose depuis avril 2004 un étiquetage dès lors qu'ils contiennent plus de 0,9% d'un ingrédient issu d'une plante génétiquement modifiée. Entre 60 et 90% des consommateurs européens seraient demandeurs. La garantie d'une alimentation non OGM pourrait donc être un argument marketing fort.
Garantir une alimentation non OGM
70% de la production de la Cooperl, le premier producteur de viande de porc en France, est dépourvu d'OGM. « Mais, en l'absence d'étiquetage, nous ne pouvons pas valoriser cette production», regrette Denis Olivry, responsable des achats à la coopérative.
L'essentiel du soja, utilisé dans l'alimentation du bétail et des poissons d'élevage, est importé. La Bretagne s'emploie depuis plus de deux ans à mettre en place une filière d'importation non transgénique, essentiellement en provenance du Brésil, premier exportateur mondial. Une quarantaine de régions européennes ont également adhéré à cette démarche.