(pangloss @ jeudi 16 juillet 2009 à 16:54 a écrit : [QUOTE]
16 Mai 2009 PARIS (Reuters) - Les organisations considérées en France comme des sectes investissent dans le secteur de la psychothérapie et plus largement la santé, estime une mission interministérielle dans son rapport annuel.
La Mission interministérielle de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), autorité administrative créée en 1996, présente ce phénomène comme une stratégie délibérée pour diffuser les idéologies et remplir les caisses de ces groupes.
"Cette préoccupation a pris en 2008 une place véritablement prépondérante, liée à la multiplication d'offres relatives au bien-être et à l'épanouissement personnel, dépourvues de toute évaluation sérieuse, et dont certaines présentent un risque réel pour la santé", peut-on lire dans le rapport.
concernant les problèmes de santé , c'est une "4 voies" qui s'offre aux sectes , qui ne vont pas rater l'opportunité ;
depuis plusieurs années , on ne forme plus de psychiatres dans notre pays ; trop cher !!!!
alors, que va-t-il se passer ; apparemment, aucune alternative ne pointe son nez ;
*** fera-t-on appel à des praticiens étrangers qui n'exerceront qu'en hôpital public ? je crains que dans ce cas les personnes dépressives qui se rendaient dans les cabinets de ville ne soient plus suivis ; ( ou épaulés par des gens mal intentionnés)
*** formera-t-on des super-techniciens du mal-être , non médecins , que seuls les riches pourront "s'offrir" ?
*** lorsque tous les psychiatres en poste aujourd'hui prendront leur retraite , que deviendront les patients actuels ? ils se retrouveront subitement seuls pour lutter contre le "manque de médication" ;
il est bien évident que les sectes seront là, à l'affût du pauvre bougre en détresse ;
jusque là, ils "écrémaient" les avis d'obsèques pour rendre visite aux gens dans la douleur, parfois dès le lendemain des funérailles ;
ils passeront à une clientèle plus bavarde ( trop bavarde ? )
pas réjouissant, tout çà ..............................
Aumance : la rivière dont la source est au pied de l'arbre