a écrit :et ou as tu vu que la programmation neurolinguistique était un concept idealiste...l'evolution a developpé chez sapiens des aptitudes innées au langage qui se traduisent par une syntaxe commune à toutes les langues...et l'apprentissage des langues est bien le produit d'une programmation neurolinguistique.
C'est juste que j'ai pris le temps de regarder ce qui s'appelle
officiellement pour tes "scientifiques" la "programmation neuro-linguistique", ou PNL. Rassure-moi, tu savais que ça existait cette "science" ? Certainement je suppose, puisque c'est ce à quoi s'est reconverti l'ex-psychanalyste du Figaro Madame, et que tu as vu ce qu'elle écrivait de génial.
C'est là :
http://www.centrepnl.com/Il y a plein d'autres sites sur la PNL, dans la rubrique "médecines douces ou alternatives" (ça devrait te plaire).
Quand à réclamer l'intervention des modérateurs parce que j'aurai fait non un amalgame mais un parallèle avec le marxisme ... je faisais juste remarquer que, quand on affirme :
a écrit :
C'est un hold-up tranquille : les neurosciences ont mis définitivement le grappin sur un domaine de la réflexion humaine traditionnellement réservé à la philosophie, à l'histoire et à la sociologie
On en tire
toutes les conséquences.
Enfin, puisque le constat a été fait et refait :
a écrit : a écrit :on va pouvoir comprendre non pas le contenu mais les modes de fonctionnement et d'échange des mecanismes conscient et inconscients....
Je vois encore plus clairement grâce à cette formulation que nous ne parlons absolument pas des mêmes choses et que donc... il faudra bien en tirer une conclusion un jour ou l'autre dans ce débat.
C'est comme si nous discutions de Madame Bovary et que tu nous renvoyais un manuel de gynécologie en pleine poire, et ce depuis des dizaines de pages.
Et j'en ai vraiment ma claque de toutes ces salades.
Pourtant, je trouvais que l'article de Tosquelles expliquait vraiment bien les choses, et que tu avais fait, malgré ton ironie, un tout petit pas... eh bien non, tant pis pour moi, et surtout pour toi !
"Chacun dans son pré, et les vaches seront bien gardées" dit-on à la campagne.