Le rapport commandé en 2007 à l'Affset (Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail) vient d'être remis.
Pas de preuves de nocivité mais dans le doute, il faut des normes plus restrictives...
a écrit :effets incontestables sur les fonctions cellulaires sont mis en évidence pour des fréquences inférieures à celles des téléphones portables. Pourtant, aucun mécanisme d’interaction entre radiofréquences et cellules vivantes n’a été identifié. De manière globale, le niveau de preuves indiquant des effets biologiques ou épidémiologiques est estimé insuffisant. Les incertitudes relevées dans les études et les interrogations du public imposent toutefois de prendre certaines mesures.
Le groupe rédacteur était composé de médecins, biologistes, métrologues en OEM, épidémiologues et sociologues. Il y a avait un représentant de Priartem à titre d'observateur.
Deux bandes de fréquences étudiées de 9 kHz à 400 MHz (radio) puis au-delà des 400 MHz (GSM, WiFI, MO etc.).
a écrit :Jusqu’à 100 kHz, les champs électromagnétiques peuvent entraîner une stimulation des tissus excitables (muscles, système nerveux) ; :huh:
Au-delà de 10 MHz, les radiofréquences sont absorbées et provoquent des effets thermiques ;
Entre ces deux bornes, les deux effets existent.
Par contre au-dessus, les études
a écrit :ont infirmé les hypothèses d‘effets cancérigène, géno-toxique, mutagène, de stress cellulaire, oxydatif et physiologique.
Article Futura