ben, on a maintenant 10 ans d'histoire de pression des politiques sur les climatologues, duement attestées par les scientifiques eux meme.
sans parler des censures des travaux de chercheurs de la NASA par l'équipe Bush, il suffit dévoquer les deux GIEC ou les scinetifiques eux meme témoignent que sur la pression des politiques, notamment les gouvernement américains et chinois les rapports ont été édulcorés et les hypotheses les plus pessimistes passées à la trappe, au moins dans la synthese finale
c'est ainsi que l'hypothese d'une hausse des temperature de + de 6% correspondant à un scenario hautement plausible (croissance industrielle déséquilibrée poursuivant les tendances actuelles, notamment sur le plan energetique) a disparu des syntheses finales meme si on la retrouve encore dans le corps du rapport lui meme...
entres autres pressions et édulcorations...
donc oui, lavana, les rapports du giec sont orientés, mais pas dans le sens de l'alarmisme...dans l'autre sens...
mais les faits sont tetus, et les données recueillies ces dernieres années vont au dela de ce que prévoyaient les modeles les plus pessimistes, dégagement de CO2, fonte des glaces, dégradation des puis de carbone, désertification...etc...
C'est donc là que je me pose des questions. Si on croit deviner ou comprendre les sens des pressions américaines et chinoises qu'en est-il des autres gouvernements (en sachant qu'il n'y a pas de blocs homogènes mais des intérêts contradictoires qui leur font alterner des prises de positions différentes) ?
Les modéles climatiques et les modélisateurs sont aussi la cible préférée des "climat sceptiques" mais c'est une discussion très technique.
D'ailleurs moi ce qui me gêne le plus, mais c'est le simple "gros bon sens", ce sont les prophéties. En général, elles me gênent et quand elles sont de nature scientifique c'est encore pire. Donc l'horizon 2100 (je sais bien qu'avec ça on n'est guère avancé...) et ce simple "gros bon sens" doit être la base de beaucoup de croyances "sceptiques".
Comme la confiance dans le milieu scientifique et l'auto contrôle par les pairs (et autres méthodes de contrôles) doit être la base de la croyance de beaucoup de partisans du réchauffement climatique (toutes tendances confondues) et de sa version anthropique.
(personne n'est anti variation du climat.)
Bah tout cela est affaire personnelle. N'empêche que le débat est relativement pourri et pour le dire en anglais.
a écrit :Unfortunately, it appears that we have not learned our lesson from the past 30 years' experience with the ozone-CFC debate. Once again, we find a theory that has wide support in the scientific community being attacked by a handful of skeptics, publishing outside of the peer-reviewed scientific literature, their voices greatly amplified by the public relations machines of powerful corporations and politicians sympathetic to them. And once again, some environmentalists have responded by presenting a distorted or imbalanced version of the facts, often colored by excessive emphasis on the low-probability scenarios of doom, that the popular press is only too eager to repeat, since prophesies of disaster sell. A balanced and truthful treatment of the Global Warming debate that focuses on presenting an unbiased version of our current scientific understanding is difficult to find.
Conclusion du texte de :http://www.wunderground.com/education/ozone_skeptics.asp
Voilà, voilà...