Bien, donc, OK, admettons que «l'effet placebo existe EN DEHORS DE TOUTE CONSIDERATION DE RELATION PATIENT-MEDECIN » comme tu l'écris Logan…
Admettons même que les deux textes cités au dessus de l'assertion ça « nous avance » à conclure ça.
Moi, avec mes lunettes varifocales, je lis que « la conviction du médecin » dans la prescription du traitement (qui s'ajoutera à la croyance du client) « augmente significativement la probabilité d'une réponse placebo ».
Mais alors, il faut croire que le médecin dit au client : "excusez moi, je vais pisser", et dans l'intimité des toilettes il exprime sa conviction, mais pas dans la relation patient-médecin ?
Je lis aussi que « une attitude bienveillante, explicative et rassurante du médecin génère une réponse placebo plus importante que s'il est froid, distant et peu sûr de lui ». Là encore, on est porté à supposer que le médecin s'éclipse, se montre bienveillant et chaleureux avec son chien, mais pas dans la relation patient-médecin ?
Là, j'avoue, je vacille un peu…
Je lis d'une part que ce qui se passe dans ce qui peut n'être que dans la relation patient-médecin «augmente significativement la probabilité d'une réponse placebo » ou bien « génère une réponse placebo plus importante ». Et je lis immédiatement après que ça démontre que l'effet placebo existe « en dehors de toute considération patient-médecin ». Bin, voui, je vacille…
Ce n'est peut être pas ce que tu as voulu dire?