(Crockette @ vendredi 1 avril 2011 à 13:51 a écrit :allez c'est parti pour un tour comme à l'époque de Txi et Canardos...
je sis stupéfait comme vous faites des raccourcis...
pas une phrase, pas un terme qui signifie que je suis contre la science...et c'ets parti pour vous défouler et presque m'accuser d'être un passéiste qi prone un retour à la bougie...c'est grave....
:huh: Bon, on va dire que je t'ai mal compris alors... J'avais crû percevoir un certain ton au sujet de la "science"... mais bon, je me suis sans doute trompé. Je trouve que la conclusion "bonjour les apprentis sorciers" et la phrase qui m'a fait réagir dépassent quand même les bornes, et comme tu as vu j'y ai répondu dans
ce fil. Pour les deux paragraphes suivants de ton message, vu que ça sort aussi complétement du débat sur le nucléaire, j'y répondrais sur
le même fil...
Sur ça :
a écrit :je constate que personne ne m'a répondu sur les dégats collatéraux...du nucléaire...en sachant qu'aujourd'hui on apprend que la centrale au japon vient de contaminer la nappe phréatique...ce qui augmente encore la justesse de mes arguments... :wavey:
Je ne suis pas assez informé pour te répondre précisément là-dessus. Mais en tout cas les effets d'une catastrophe type Fukushima sont épouvantables. Sans même faire des projections hasardeuses sur le nombre de victimes, ne serait-ce que le doute aujourd'hui sur la question de savoir si la zone des 30 kilomètres autour de la centrale sera de nouveau habitable et quand, c'est atroce.
J'apprécie bien sûr les éléments de réponse apportés par tout le monde ici et notamment par Sterd, qui montrent bien que le nucléaire n'est pas forcément le pire. Mais ça ne le rend pas moins inquiétant. Quelques questions que je me pose, c'est : est-ce que ce risque d'une catastrophe nucléaire majeure est en fait évitable ? Si oui comment l'éviter : plus de contrôle on a dit, certes ce serait très bien, il y avait clairement des failles à ce niveau pour Fukushima Daiichi, et il faut militer dans ce sens... Mais même une centrale en bon état où tous les contrôles sont au vert, face à un tsunami par exemple elle devient quoi ? Si le risque de surchauffe d'un réacteur dans des conditions catastrophiques est en fait inévitable, est-ce qu'on est techniquement en mesure de faire quelque chose pour empêcher le pire ? Je veux dire : mieux que l'improvisation catastrophique à laquelle on assiste à Fukushima ?