a écrit :ce qui frappe c'est que quasiment nulle part dans le monde à part encore un tout petit peu en france on n'évoque pour le traitement des TOC des psychotherapies psychanalytiques......
c’est normal, le diagnostic de TOC est un diagnostic anti-analytique.
En effet, la psychiatrie, distingue trois grandes forme de pathologie : névrose, psychose et perversion. Le coup d’Etat du DSM essaye de le faire oublier, mais il n’a pas encore réussi au niveau mondial !
Dans les névroses, il y a la névrose hystérique, la névrose obsessionnelle, et la névrose phobique ou d'agoisse.
Il y a des personnalités pour la simple raison qu’il faut bien être quelque chose. Il y a donc des obsessionnels, des hystériques, des phobiques des paranoïaques et plein d'autre personnalités.
Mais parfois ces personnalités souffrent d'une manière ou d'une autre ou n'arrivent plus à se socialiser correctement. On dit alors que ce sont des personnlité pathologiques. c'est à ce moment qu'elles rentrent dans la nomenclature psychiatrique.
Certains décompensent et alors présentent, en plus de l’angoisse, l'insomnie ou de la dépression, des symptômes névrotiques à type de compulsions ou rituels.
C’est ce grand fourre-tout que sont devenus les TOC, retirés de la personnalité sous jacente.
Du coup, si le corps médical commence à s’intéresser aux TOC, devinez qui va en présenter ? les hystériques, comme toujours ;
plus les obsessionnel d’antan ;
plus quelques autres car le problème est encore la notion d’étiologie.
Tous les obsessionnels ne décompensent pas en faisant des TOC, ou plutôt certaines compulsions caricaturales. On sent bien qu’il peut y avoir de « l’endogène » là dessous.
Mais ce que ne savent plus différencier nos pseudo-scientifiques c’est que ce n’est pas parce que on a une prédisposition génétique qu’il ne faut pas d’autres facteurs, par exemple, ici, un certain type de personnalité, pour décompenser sur le mode en question.
Donc les TOC sont un fourre tout qui vient regrouper les compulsions, les rituels et de nombreuses phobies. On essaye de nous faire croire qu'on peut les attraper comme on attrappe la grippe.
Ce ne sont que foutaises, et le réel de la clinique le prouve, si on s'intéresse à ce réel en question.
Deuxième problème : qui fait ces études ? les services de psychiatrie. Mais elles sont toutes dans leur immense majorité commandées par les laboratoires et rarement par les gouvernements.
Et les labo ont fait un choix depuis longtemps sur le comportementalocognitivisme.
C'est donc normal que l'on ne trouve encore une fois que ce qu'on y met, et on n'y met plus la pscyhanalyse...
troisièmement : le rapport de l'INSERM n'est qu'une compilation française d'études anglo-américaines qui s'intéressent aux traitements cours. C'est stiupulé en toutes lettres dans le rapport pour ceux qui veulent bien le lire.