a écrit :Prend mon message précédent un peu plus à la rigolade, c'était un peu facile, c'est vrai, mais le message d'Iko est la goutte d'eau qui a fait déborder le chapeau...
De quel message parles-tu cher ami ?
Peux-tu m'expliquer comment je peux avoir tous mes merveilleux ecrits sur ce forum. A defaut qu'ils vous parlent, moi je serais content de relire mes best-of.
j'ai honnêtement essayé d'ouvrir le débat préliminaire sur l'analyse. Raté !
Mais cela me rappelle une postition très ancienne de LO. C'est bien de discuter avec les autres organisations qui se disent trotskistes dans le monde, mais assez vite il faut en passer par des échanges de militants pour que chacun comprenne sur quelle pratique les idées se développent. Sinon, on tombe vite dans la discussion de salon.
Dois-je vous organiser une viste de la clinique de Laborde ou de quelques secteurs psychiatriques ? Dois-je vous envoyer dans des intersecteurs infantojuvénils qui s'occupent prioritairement d'autistes, avec l'outil analytique et ceci sans jamais essayer, même de loin, de culpabiliser les parents ? Ils souffrent déjà assez pour que des pédants viennent leur donner des leçons !
Essayez de vous procurer le film de Nicolas Philibert, "la moindre des choses" ; ça donne un aperçu...
Et le livre de Joel Dor que je vous ai conseillé fait moins de 100 pages. Ce serait moins long à lire que tous ces fils qui semblent n'avoir servi à rien...
Et à Part Shadoko, vous êtes tous d'accord pour dire que je n'ai jamais parlé de psychanalyse sur les fils ? que je ne vous ai rien apporté dans cette discussion ? Car j'ai vraiment l'impression de n'avoir fait que ça, même si volontairement je ne vous explique pas un par un les concepts freudiens, lacaniens, kleiniens... car je l'ai déjà dit, Cyrano et Caupo l'ont très bien fait et moi j'ai essayé de parler avec un langage plus commun pour faire ressortir ce qui pour moi est important dans la démarche analytique pour les soins aux personnes en souffrance et pour aider des équipes à travailler. Et je le répète, je manque de temps...
Mea culpa, mea culpa...
j'ai besoin de vacances ; ça tombe bien je pars dans 8 jours...