
Issu du fil sur les capacités des enfants et des primates.
Encore une amabilité ... je voudrais bien savoir où j'ai écrit cela, mais laissons tomber.
J'ai profité du WE pour lire un texte très intéressant de Jacques Vauclair : "Les animaux pensent-ils ?", d'octobre 2002 dans la revue "sciences humaines", repris dans un ouvrage collectif "le cerveau et la pensée", éditions sciences humaines.
Je recopie la fin de l'article :
Comme quoi ... Ou alors c'est que trop de choses m'échappent, ou qu'on ne parle vraiment pas la même langue...
C'est vraiment "comment les neurosciences démontrent la psychanalyse....". Et c'est tant mieux !
a écrit :puisque wapi conteste la possibilité de tirer des enseignements valables sur le comportement et les capacités humaines à partir de l'étude des primates en raison de l'importance du langage je vais mettre sur ce fil une series d'articles sur les capacités mentales comparés des primates et des enfants.....
Encore une amabilité ... je voudrais bien savoir où j'ai écrit cela, mais laissons tomber.
J'ai profité du WE pour lire un texte très intéressant de Jacques Vauclair : "Les animaux pensent-ils ?", d'octobre 2002 dans la revue "sciences humaines", repris dans un ouvrage collectif "le cerveau et la pensée", éditions sciences humaines.
Je recopie la fin de l'article :
a écrit :Il serait assurément naïf d'opposer de façon trop stricte la spécificité de la pensée de l'homme à celle de l'ensemble des animaux. Il est certain que les espèces sociales et notamment celles qui sont proches de l'espèce humaine (en particulier les chimpanzés) montrent des comprétences sociles et cognitives bien différentes de celles des espèces solitaires et phylogénétiquement plus éloignées.
En conclusion, si les grandes focntions de représentation semblent montrer une continuité entre l'homme et l'animal, une rupture existe entre l'animal (singe compris) et l'homme. Elle et dûe à l'apparition chez Homo Sapiens du langage verbal et de ses sytèmes associés : croyances, conscience, capacités d'attribution d'intentions à autrui. En effet, le langage, conçu dans ce sens élargi, combine les composantes cognitives et communicatives en un système, cette association ayant un effet démultiplicateur sur les capacités représentatives ainsi que sur les capacités communicatives pour constituer un outil très complexe et performant à la fois
Comme quoi ... Ou alors c'est que trop de choses m'échappent, ou qu'on ne parle vraiment pas la même langue...
C'est vraiment "comment les neurosciences démontrent la psychanalyse....". Et c'est tant mieux !