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Message Publié : 28 Juin 2006, 19:36
par Combat
L'argument devrait tenir s'il n'y a pas d'interro au mercredi soir mais combien de jours ont ils classe par semaine?

Message Publié : 29 Juin 2006, 12:20
par Apfelstrudel
Je crois que le paradoxe de Zelda vient d'une ambiguïté sur ce que signifie "surprise".

Si ça signifie que le prof s'engage à ce qu'il ne soit possible à aucun moment de savoir quand va avoir lieu l'intéro, c'est vrai qu'elle ne peut pas avoir lieu. En effet, si le prof fait l'intéro un jour quelconque, les élèves pourront légitimement être certains la veille au soir qu'elle va avoir lieu ce jour-là (en suivant le raisonnement donné par Zelda). Bien sûr, ils auront eu la même "certitude" pour tous les jours précédents de la semaine, mais la faute en revient au prof qui n'a pas tenu son engagement, à partir duquel les élèves se sont basés pour raisonner.

Message Publié : 29 Juin 2006, 13:25
par Sterd
(txi @ mercredi 28 juin 2006 à 13:43 a écrit :Mais, existe-t-il de « vrais paradoxes », des impasses logiques sur lesquels l’entendement humain buterait sans trouver de solution.

Je crois que le paradoxe du menteur entre dans cette catégorie.

a écrit :
Le menteur dis "je mens"



N'a aucune solution

Message Publié : 29 Juin 2006, 13:43
par Wapi
Eh oui, c'est une très vieille histoire, et assez intéressante d'un point de vue logique et mathématique.


Ce paradoxe est aussi connu sous le nom de paradoxe d'Epiménide ou paradoxe du crétois. :nourin:

Plus sur ce lien : Le paradoxe d'Epiménide



[HORS-SUJET] Une énigme dérivée de ce paradoxe...

Un condamné à mort doit être exécuté. Le bourreau lui laisse le choix du supplice et lui dit "pose moi une question dont la réponse soit nécessairement oui ou non. Si la réponse est oui, je te coupe la tête, si c'est non, je te pends."

Le condamné pose la question ... et le bourreau est obligé de le libérer.

Quelle était la question ?[/HORS-SUJET]