Seralini pour les médecines "alternatives"

Et lutte contre les pseudo-sciences et les obscurantismes

Message par canardos » 27 Mars 2007, 00:39

le professeur Seralini ne se contente plus de dénoncer la toxicité de certains ogm....

voila qu'il défendrait une médecine "écologique" constituée de pratiques "écologiques" en alternative à la médecine actuelle, en gros de ce qu'il appellerai les médecine "douces" c'est à dire l'ensemble des charlataneries dont l'efficacité n'a jamais pu etre prouvée...

et il défendrait la liberté thérapeutique c'est à dire le droit pour les charlatans d'exercer sans controle...

enfin si du moins cet appel ne se réclame pas indument de son soutien:

a écrit :

[center]PETITION : ACTION POUR UNE MEDECINE ECOLOGIQUE[/center]

En mai 2004, l'appel de Paris a fait le constat des dangers de la pollution chimique émanant tant de l’industrie que de l’agriculture, sans que soit abordé pour autant l’aspect médico-pharmaceutique.

Or, si on admet désormais l’agriculture biologique comme une alternative à l’agriculture chimique, pourquoi ne pas considérer des alternatives écologiques aux pratiques médicales actuelles ?

C’est de cette volonté de promouvoir une médecine écologique qu’est né ACECOMED, avec le soutien de scientifiques et parlementaires de renom tels que M. Gilles-Eric Seralini, M. David Servan-Schreiber et M. Paul Lannoye.

Les médecines non-conventionnelles s’inscrivent dans cette pensée écologique au service de la santé. Le respect de la liberté thérapeutique doit être garanti en conformité avec l’article 16 du code Civil. C’est pourquoi ACECOMED en appelle à tous pour soutenir son action en signant le « Manifeste pour une médecine écologique ».

Notre site www.acecomed.eu doit servir à relier tous les citoyens et associations qui soutiennent notre action. Il diffuse des explications sur nos actions et des informations en relation avec l’écologie de la santé.

Le « Manifeste pour une médecine écologique » constitue la charte de notre mouvement. La pétition est disponible sur le site internet : www.acecomed.org/manifeste/index.php?petition=2

Pour plus d’informations :
Christian PORTAL
Porte Parole du collectif ACECOMED



si c'est vrai c'est sur que ça ne va crédibiliser sur le plan scientifique son combat contre les ogm....

et devinez qui d'autre on trouve parmi les signataires de ce manifeste...Christian Velot, notre autre biologiste anti-ogm qui déclare partout dans un article qu'il aurait également posté sur ce forum que les anti-ogm ne seraient pas des obscurantistes...

et le voila à coté de séralini et d'un paquet d'homéopathes, de psychanalystes et d'autres charlatans à défendre les médecines "traditionnelles" contre la médecine officielle..

voila la liste des premiers signataires:

a écrit :



    * Michel BOGÉ (Directeur de consomm'acteurs associés, f-75014 paris),
    * Olivier CLERC (Auteur, f-71250, cluny),
    * Bogumila CYRULIK (Docteur es sciences, f-78140, vélizy villacoublay),
    * Catherine DESPEUX (Sinologue, f-92410, ville d'avray),
    * Michel FABRE (Medecin, vice president du mouvement ecologique indépendant, (f15140) besse),
    * Catherine GAUCHER (Fondatrice d'homéopathe sans frontières, dermatologue-f-86270- la roche posay),
    * Jean marc GOVERNATORI (La france en action, f-06300, nice),
    * Bernard HERZOG (Psychanaliste, psychothérapeute, f-44230, st sébastien sur loire),
    * Thierry JANSSEN (Chirurgien, psychothérapeute, b-1180, bruxelles),
    * Paul LANNOYE (Député européen honoraire, initiateur le la résolution sur les médecines non conventionnelles, belgique),
    * Jean MERIC (F-33700, merignac),
    * Yves MICHEL (éditeur, le souffle d'or, f-05000),
    * Michel MUSTIN (Ingénieur agronome consultatnt, f-31540, roumens),
    * Jean-marie PELT (Institut européen d'écologie,f-57040, metz),
    * Albert-claude QUÉMOUN (Homéopathe, fondateur des laboratoires rocal, f-75000, paris),
    * Alain SCOHY (Médecin),
    * Pr gilles-eric SÉRALINI (Président du conseil scientifique du crii-gen depuis 1999, professeur de biologie moléculaire à l'université de caen, f-24000, caen),
    * David SERVAN-SCHREIBER (Médecin, neuilly-sur-seine f-92200),
    * Sylvie SIMON (Journaliste, écrivain, f-75015, paris),
    * Michel VAN WASSENHOVEN (Médecin, président de ech (european committee for homeopathy), b-1190, bruxelles),
    * Christian VELOT (Maître de conférences en génétique moléculaire, f-91405, orsay)

canardos
 
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Message par canardos » 27 Mars 2007, 01:12

voila le détail des mesures demandées dans ce manifeste qui mélange allegrement la lutte contre la pollution chimique ou les ogm avec la dénse des médecines "alternatives" ou "traditionnelles" sans oublier la lutte contre l'experimentation animale...

a écrit :

[center]Manifeste pour une médecine écologique[/center]

Préambule

Le 7 mai 2004, l’Appel de Paris soulignait et attestait des dangers relatifs à la pollution chimique. Cet appel faisait pourtant l’impasse sur la nature et les conséquences des pratiques médicales actuelles. Il ne peut pourtant y avoir de subsidiarité en matière de toxicité et s’il est entendu que les produits chimiques réputés toxiques doivent être bannis de l’environnement des populations, en principe saines, ils devraient être encore moins utilisés en matière de traitement, surtout quand les personnes concernées sont affaiblies par la maladie.

Ce manifeste reprend donc certains articles de l’Appel de Paris que nous jugeons pertinents dans l’aspect particulier qui nous occupe. Il prétend cependant l’étendre à la pratique médicale, en cherchant à promouvoir, aussi dans ce domaine, l’application de principes écologiques.

Rappelant que, selon la Constitution de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) du 7 avril 1948, la santé est un « état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité »,

Rappelant l’attachement aux principes universels des Droits de l’Homme affirmés par la Déclaration universelle des Droits de l’Homme du 10 décembre 1948 et les deux pactes internationaux des Nations Unies relatifs aux droits économiques, sociaux et culturels et en particulier, son article 12.1, qui reconnaît le droit pour toute personne de jouir du meilleur état de santé physique et mentale qu’elle soit capable d’atteindre,

Rappelant que la Conférence des Nations Unies sur l’environnement a affirmé dans la Déclaration de Stockholm du 16 juin 1972, que l’homme a un droit fondamental à la liberté, à l’égalité et à des conditions de vie satisfaisantes dans un environnement dont la qualité lui permette de vivre dans la dignité et le bien-être et que le droit à la vie même fait partie des droits fondamentaux,

Rappelant que depuis 1997, avec la résolution A4-0075/97, le parlement européen s’est prononcé en faveur de la reconnaissance des médecines non conventionnelles dans les pays membres de l’Union Européenne,

Rappelant les lois nationales de certains pays de la communauté européenne qui se sont prononcés pour un aménagement de la liberté thérapeutique ou pour la responsabilisation du patient fondée sur son consentement éclairé,

Rappelant que certains pays de la communauté européenne disposent déjà d’une organisation partielle de l’exercice des médecines non conventionnelles,

Rappelant le texte de l’OMS, « Stratégies pour les médecines traditionnelles pour 2002-2005 » qui préconise aux Etats,

    * d’une part, pour les pays en voie de développement : le recours massif aux « médecines traditionnelles », à travers des dispositions permettant une qualité et un suivi de l’enseignement, ainsi que la protection des écosystèmes qui permettent d’assurer les récoltes des plantes médicinales,
    * et d’autre part, pour les pays développés : le recours au pluralisme thérapeutique par les « médecines complémentaires ».

Attendus

Considérant, après des succès médicaux indéniables, les échecs et impasses thérapeutiques actuels : cancers, virus, résistances aux antibiotiques,

Considérant les pollutions diverses relatives à l’exercice médical à travers les rejets dans les eaux, en particulier les traitements hormonaux, antibiotiques, antimitotiques ou radio-thérapeutiques,

Considérant les modes de fabrication potentiellement polluants des médicaments,

Considérant les dérives qui conduisent à une surconsommation médicamenteuse, sans amélioration notable de la santé,

Considérant les scandales en relation avec l’aspect commercial des pratiques médicales : sang contaminé, hormones de croissance, opérations abusives,

Considérant le nombre sans cesse croissant de victimes de maladies iatrogènes (causées par les effets secondaires, les prescriptions indues ou erronées et la mauvaise utilisation des médicaments),

Considérant l’existence d’une agriculture conventionnelle responsable de graves pollutions, mais considérant aussi celle d’une médecine conventionnelle prenant ses principes sur la même philosophie et s’appuyant sur la même industrie chimique, et considérant enfin que, de même qu’il existe une agriculture biologique comme alternative à l’agriculture chimique, il est légitime de laisser émerger des alternatives écologiques pour les pratiques médicales,

Considérant la biodiversité, sous tous ses aspects, semences, plantes médicinales, préparations phytosanitaires ou médicinales naturelles,

Considérant la diversité culturelle et scientifique que représentent les médecines traditionnelles, et les méthodes thérapeutiques locales,

Constatant l’émergence de nouvelles maladies infectieuses ou le retour en force d’anciennes, pour lesquelles il n’existe plus de traitement efficace,

Constatant l’échec économique du système biomédical actuel reposant sur une surenchère d’offres toujours croissantes et coûteuses de médicaments et de technologies, sans incidence positive suffisante sur la santé,

Constatant la forte demande du public, pour les médecines alternatives, ressenties comme des pratiques médicales plus respectueuses de l’individu et de l’environnement,

Constatant les attaques des grands groupes chimiques contre cette biodiversité, à travers les procès contre les organisations qui veulent préserver les semences anciennes, les mesures prises contre la fabrication de complexes phytosanitaires naturels : purins de plantes et d’ortie en particulier,

Constatant les attaques à l’encontre des « médecines non conventionnelles », grâce aux alliances objectives entre les médias, le monde politique et de puissants lobbies,

Déclaration

Nous, citoyens, patients, humanistes, juristes, scientifiques, thérapeutes et médecins, devant la gravité des atteintes à la liberté de nos choix thérapeutiques, déclarons que :

Article 1 : Le développement de nombreuses maladies est consécutif à la dégradation de l’environnement et à l’affaiblissement des organismes fragilisés par des modes de vie antinaturels, y compris sur le plan médical.

Article 2 : Ces graves atteintes font peser une lourde hypothèque sur la qualité du patrimoine génétique de l’humanité.

Article 3 : Les pratiques médicales traditionnelles constituent une ressource humaine inestimable qui doit être considérée comme un patrimoine de l’humanité ; la recherche dans ces domaines doit être soutenue.

Nous appelons les décideurs politiques nationaux, les instances européennes, les organismes internationaux, en particulier l’Organisation des Nations Unies (ONU), à prendre toutes les mesures nécessaires et en particulier :

Mesure 1 : Reconnaître au patient le droit de choisir la méthode thérapeutique qui lui convient, de façon complémentaire ou alternative. Considérant que ce point ne doit pas conduire les patients à être soignés hors d’un cadre institutionnel rigoureux.

Mesure 2 : Etablir le droit à la continuité des soins : un patient suivi en « médecines non conventionnelles » doit pouvoir poursuivre son traitement même s’il est pris en charge par un service d’urgence, s’il est hospitalisé ou emprisonné.

Mesure 3 : Reconnaître aux thérapeutes le droit d’utiliser toute méthode thérapeutique, pour laquelle ils ont reçu une formation satisfaisante, dès lors qu’il y a consentement éclairé du patient. Le choix thérapeutique non conventionnel ne peut donc pas en tant que tel représenter une raison de poursuite judiciaire ou ordinale.

Mesure 4 : Mettre en œuvre toutes les dispositions permettant la mise en place immédiate du pluralisme thérapeutique.

Mesure 5 : Favoriser la transparence de toutes les pratiques médicales, de façon à donner au patient tous les éléments lui permettant de réellement être en mesure d’affirmer ses choix thérapeutiques et d’en assumer la responsabilité pleine et entière.

Mesure 6 : Les chercheurs capables de produire et d’inventer de nouvelles méthodes de traitements écologiquement acceptables doivent être encouragés et leurs découvertes systématiquement étudiées même si la science moderne n’est pas encore en mesure d’expliquer les résultats obtenus.

Mesure 7 : Ne plus autoriser les organismes génétiquement modifiés, dont la dissémination génétique pourrait constituer une catastrophe pour la biodiversité, et dont la consommation pourrait avoir des conséquences sérieuses sur la santé humaine.

Mesure 8 : Donner un cadre spécifique pour la culture, la récolte, le contrôle et la délivrance des plantes médicinales, en instituant les métiers de l’herboristerie dans les pays où ils n’existent pas et en autorisant les préparations à base de plantes et de minéraux pour traiter les cultures et les sols.

Mesure 9 : Limiter au strict nécessaire l’expérimentation animale et recourir à des modèles scientifiques écologiquement compatibles.

De l’ensemble de ces mesures, nous souhaitons voir émerger des pratiques médicales compatibles avec les mesures écologiques au cœur des grands débats actuels, mesures dont la nécessité apparaît de plus en plus absolue pour que la terre ne subisse pas rapidement une 6ème extinction biologique.



de toutes manières, plus besoin de prouver qu'une medecine est efficace pour l'appliquer:

a écrit :Mesure 6 : Les chercheurs capables de produire et d’inventer de nouvelles méthodes de traitements écologiquement acceptables doivent être encouragés et leurs découvertes systématiquement étudiées même si la science moderne n’est pas encore en mesure d’expliquer les résultats obtenus.



j'avoue que si Seralini approuve de telles conneries, je ne vois vraiment pas pourquoi il est si exgigeant en matière des tests OGM
canardos
 
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Message par Sterd » 27 Mars 2007, 07:42

Une recherche google avec "Seralini" et "ACECOMED" renvoie toujours vers les mêmes infos. Si effectivement Seralini soutient les Homéopathes et les sorciers, cela invalide tous ses tests sur les OGM. En effet, pour quelqu'un qui croit qu'une goutte de produit actif diluée dans un cube d'eau pure dont l'arrête fait le diamètre du système solaire reste active, un seul grain de riz OGM doit être capable de "contaminer" toute la production mondiale pendant plusieurs millénaires.

La société s'enfonce dans les ténèbres.
Sterd
 
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Message par canardos » 27 Mars 2007, 10:01

il y a de nombreux fils pour démontrer l'impossibilité physique pour l'homeopathie et les autres pseudosciences d'avoir une action quelconque sur l'organisme et aussi pour rappeler que toutes les études sérieuse ont démontré leur inefficacité...

mais là, les deux maitres à penser "scientifiques" des anti-OGM, Séralini et Vélot abaissent leurs cartes et montrent leur vrai visage, celui de l'obscurantisme de la superstition et de la réaction...

pour eux, il n'est plus nécessaire de comprendre pourquoi une thérapie agit et si il est efficace...à partir du moment ou il s'agit de thérapies "traditionnelles" (traduisez sorciers et rebouteux) ou "alternatives"...

mieux ces "médecines" seraient "écologiques" contrairement à la medecine moderne...

evidemment ils se gardent bien de préciser ce qu'ils entendent par écologique....

à noter toutefois que pour les OGM, seralini et vélot redeviennent partisans d'une experimentation préalable la plus longue et la plus rigoureuse possible...si possible éternelle manifestement...

et que Séralini n'est plus du coup contre l'experimentation animale sur les rats alors qu'il la condamne dans ce manifeste...

comprenne qui pourra....


:sygus:
canardos
 
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Message par canardos » 28 Mars 2007, 13:58

a écrit :Et voilà les fameux résultats dont Pelt nous assure que "du point de vue strictement scientifique, ils ne sont pas discutables"


Pelt a tout à fait raison....du point de vue scientifique ces résultats ne sont meme pas discutables.... :sygus:
canardos
 
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Message par canardos » 31 Mars 2007, 13:32

ce qui fait de Séralini et de Vélot, deux biologistes qui n'ont meme pas l'excuse de l'ignorance, des véritables complices de tentatives d'assassinat, c'est leur soutien à ceux qui refusent les vaccinations obligatoires, et notamment le BCG alors que la tuberculose revient en force, au nom de la liberté thérapeutique, du fait que la composition des vaccins ne seraient pas écologiques, et de rarissimes accidents de vaccination!

quelques morts d'un coté, des millions de morts de l'autre si on arretait toutes les vaccinations obligatoires...

et les memes qui plaident l'arret de ces vaccinations obligatoires et sont pret au nom de la "liberté thérapeutique" à laisser décimer des populations entières, defendent l'interdiction des ogm au nom du principe de précaution absolu! au nom de ce meme principe de précaution, ils condamnent meme les vaccins.

quels guignols!

trouvé sur le site de la fameuse pétition signée par Séralini et Vélot:


a écrit :

OBLIGATION VACCINALE PAR LE BCG CHEZ LES ENFANTS
La vaccination généralisée des enfants par le BCG ne sert en aucun cas de stratégie de remplacement à la luttre contre la tuberculose.
La possibilité pour ne pas vacciner sur des critères de risques faibles vise à prendre en compte:
- le fait que pour certains enfants les effets indésirables de la vaccination peuvent être perçus comme supérieurs à la protection envisagée;
- la nécessité de respecter la loi du 4 mars 2002 sur les droits des malades et la qualité du système de santé et de laisser la possibilité aux familles informées de ne pas vacciner leur enfant.
Pour télécharger l'extrait du rapport sur la levée de l'obligation vaccinale : syntèse et recommandations de l'audition publique des 13 et 14 Nov 2006, cliquer ici EXTRAITS_audition_bcg.doc
Rapport complet, cliquer ici RapportBCGVF.pdf

ELEMENTS DE REFLEXION ...

LA COMPOSITION DES VACCINS ?

Depuis longtemps, vos enfants sont inoculés avec :

- de l'hydroxyde d'aluminium : 650 microgrammes par vaccin alors qu'il est admis que 60 microgrammes par litre de sang est dangereusement toxique pour la cellule nerveuse (Concours Médical, février 1997). Ce sel attaque le cerveau et peut entraîner autisme, chorée, Alzheimer, Creutzfeldt-Jakob).

- des sels de mercure (thiomersal) dont l'extrême dangerosité neurologique a été officialisée par la FDA américaine depuis 1997. Chaque nouveau vaccin cumule les doses d'une façon irréversible.

- des virus OGM (vaccins viraux) obtenus à partir de matériel génétique séquentiel du SV40, précurseur du sinistre HIV, et que l'on retrouve dans de nombreux cancers du cerveau et mésothéliomes.

- du sérum de veau fœtal (liquide nutritif) alors que tout extrait d'origine bovine est strictement interdit dans tout médicament depuis 1994.

- de l'enzyme Tdt, dangereux mutagène.


LIVRES SUR LES VACCINATIONS (Sylvie SIMON)

- Vaccinations l’overdose Editeur déjà 1999

- Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins DANGLES 2005 (3ème livre d’une collection « les 10 plus gros mensonges »)



canardos
 
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