Page 1 sur 1

Message Publié : 12 Mai 2007, 14:30
par canardos
dans le Figaro:

a écrit :

[center]Les bébés américains devant la télé dès 9 mois[/center]

ALICE BOMBOY. Publié le 12 mai 2007
 
         
Outre-Atlantique, une étude s'inquiète des répercussions d'une exposition précoce à la télévision sur le développement cognitif des jeunes enfants.


LA TÉLÉVISION permet-elle aux enfants de s'ouvrir sur le monde ou perturbe-t-elle leurs capacités d'apprentissage ? Un débat loin d'être tranché, car le rapport des enfants à la télévision dépend autant des émissions regardées, des usages qu'ils en font que de l'âge auquel ils commencent à flirter avec le petit écran.


Et c'est bien ce qui inquiète les spécialistes de la petite enfance : à 3 mois, 40 % des bébés américains passent déjà régulièrement du temps en compagnie de Dora ou de Bob l'éponge. À 24 mois, ils sont 90 %. Selon une étude publiée cette semaine dans les Archives of Pediatrics and Adolescent Medicine, de nombreux parents ignoreraient ainsi les mises en garde des pédiatres qui affirment que la télévision peut avoir des effets sérieux sur le développement cérébral des très jeunes enfants.


L'enquête, soutenue par la Fondation Tamaki et l'Institut national américain pour la santé mentale, a été menée auprès de plus de 1 000 parents d'enfants âgés de 2 à 24 mois. À la clé, un constat stupéfiant : l'âge moyen à partir duquel les enfants sont régulièrement exposés aux médias est de... 9 mois ! Les petits Américains de moins d'un an absorbent déjà 1 heure de télé par jour, une durée qui grimpe à 1 heure et demie à 2 ans. « La plupart des parents cherchent ce qui est le meilleur pour leurs enfants, et nous avons découvert que beaucoup d'entre eux croient offrir des valeurs éducatives et favoriser le développement cérébral de leurs bébés en les exposant à la télé 10 à 20 heures par semaine », explique Andrew Meltzoff, coauteur de l'étude et professeur de médecine à l'université de Washing­ton à Seattle.


« Les surstimuler ne sert à rien »


Une raison effectivement avancée par 29 % des parents interrogés, quand 23 % évoquent aussi l'effet relaxant sur leurs enfants et 21 % avouent utiliser la télévision comme baby-sitter virtuelle...


Mais, dans les faits, la bonne intention éducative des parents n'est pas vraiment vérifiée : seule la moitié des programmes regardés par les bébés étaient des émissions éducatives. Un constat qui alarme Frederick Zimmerman, chercheur à l'université de Washington et auteur principal de l'étude : « Si la télévision en quantité appropriée peut être utile à un certain âge pour les enfants et leurs parents, il a été démontré qu'un excès de télévision avant 3 ans est associé à des problèmes du contrôle de l'attention, un comportement agressif et un développement cognitif pauvre. »


Plus étonnant encore, alors même que les parents se disent convaincus des vertus cognitives de la télévision, ils sont 68 % à laisser les nourrissons seuls devant la télé, ne contrôlant pas la qualité des émissions. L'étude n'en déconcerte pas moins Arlette Streri, professeur à l'université Paris-Descartes : « Je ne comprends vraiment pas ce type de pratique. Où est l'intérêt pour le bébé ? À cet âge, il ne comprend rien. » La spécialiste de la psychologie du développement de l'enfant explique en effet que le système sensoriel visuel n'est pas très développé à trois mois. « À cet âge, précise Arlette Streri, ils ne peuvent pas voir la profondeur de champ ! La télé leur montre des images bidimensionnelles que leur cerveau ne peut pas analyser. Posez un canard sur un camion qui roule : le bébé ne distingue pas qu'il y a deux objets et ne verra qu'une forme qui bouge ! Le mouvement et le bruit peuvent attirer l'attention du bébé, mais ça ne va pas au-delà. Tout est trop rapide pour qu'il puisse traiter l'information ».


Mais ce qui inquiète encore plus la chercheuse, « c'est le phénomène d'addiction à la télévision qui commence de plus en plus tôt ». D'autant plus que regarder la télé se fait au détriment de la socialisation des nourrissons. « La vie réelle leur propose une quantité de stimulations qui suffit largement à leur éveil : voir des gens, s'amuser avec leurs jouets... Les surstimuler avec la télévision ne sert à rien. »


Les chaînes de télévision « premier âge » fleurissent pourtant, comme Baby TV ou Tiji, qui visent les moins de trois ans. « Le sujet reste tabou en France, regrette Monique Dagnaud, ancien membre du CSA et chercheuse spécialiste des médias. Les gens n'imaginent pas que les enfants puissent regarder la télé si tôt. Un exemple : Médiamètrie ne mesure l'audience qu'à partir de 4 ans ».


En attendant, les chaînes n'ont pas manqué de s'adjoindre les compétences d'experts du développement de l'enfant pour produire leurs émissions réservées aux bébés : de quoi donner bonne conscience aux parents qui dé­chargent le rôle d'éducation à la télé, à un âge où il y a mille autres façons d'explorer le monde.


Message Publié : 12 Mai 2007, 14:50
par bennie
Quelle horreur!

Message Publié : 12 Mai 2007, 23:01
par Crockette
je vois pas ce que ça change aux states 90 % des travilleurs d'ici 2100 seront devant des machines assistées par ordinateur ou des ordinateurs.

aux étrangers les travaux pénibles dans les usines ou les peintures de facades...

je plaisante... :dry:

Message Publié : 07 Oct 2011, 16:37
par abounouwas
a écrit :Frederick Zimmerman : "La façon dont la télévision est utilisée est un problème de santé publique"
LEMONDE | 07.10.11 | 11h14  •  Mis à jour le 07.10.11 | 17h27
Auteur de The Elephant in the Living Room (Rodale), Frederick Zimmerman est spécialiste en santé publique, professeur au Department of Health Services de l'université de Californie à Los Angeles (Etats-Unis). Ses travaux sur les effets de la télévision sur les enfants sont parmi les plus cités sur le sujet.

A son niveau actuel d'utilisation, la télévision peut-elle être considérée, à votre avis, comme un problème de santé publique ?

Les enfants aux Etats-Unis regardent à peu près deux heures de télévision par jour. C'est une moyenne, bien entendu — il y a des enfants qui la regardent beaucoup moins, mais d'autres qui sont quasi-collés à l'écran pendant des heures. Pour les adultes, c'est aussi variable, autour d'une moyenne de trois heures par jour.

Ce qui constitue à mon avis un problème de santé publique, c'est la façon dont la télévision est utilisée. Aux Etats-Unis, l'âge moyen auquel les enfants — ou plutôt les bébés ! — commencent à se planter régulièrement devant la télévision, c'est 9 mois. Or, à cet âge les enfants ne sont pas capables de comprendre ce qu'ils voient ni d'en profiter en aucune manière, y compris le divertissement. Pour les enfants en bas âge, donc, la télévision est une boîte qui capte l'attention à travers des mécanismes-réflexes ("orienting reflex", en anglais), sans produire des signes intelligibles pour l'enfant, donc sans lui profiter de quelque manière que ce soit.

Pour les enfants plus âgés, les adolescents et les adultes, il est vrai que la télé utilisée modérément ne nuit en rien, mais la réalité à laquelle nous faisons face actuellement est que la télévision est utilisée de manière immodérée. Et ceci en deux sens. Non seulement elle commence beaucoup trop tôt, mais elle occupe trop de temps, écartant la possibilité d'autres activités plus gratifiantes. On dit qu'on regarde la télé pour se décontracter, pour se distraire. Mais la recherche a démontré qu'on est peu relaxé après avoir passé une soirée devant la télévision. Dans ce contexte, passer trois à quatre heures devant la télé chaque jour et se plaindre en même temps qu'on n'a pas de temps pour cuisiner, pour entretenir des relations sociales, ou de pratiquer régulièrement un sport est une chose absurde. Or, c'est devenu la norme aux Etats-Unis, et c'est ce que j'appellerais un problème significatif de la santé publique. J'espère que la France a toujours l'opportunité de ne pas tomber là-dedans.

Quels sont les résultats les plus significatifs que vous avez obtenus sur les effets de la télévision sur les jeunes enfants et les adolescents ?

J'ai toujours mis l'accent dans mes recherches sur la distinction entre, d'une part, la télévision éducative et, d'autre part, la télévision commerciale, les dessins animés ou les films pour les petits ou les plus grands, comme Bugs Bunny, Harry Potter ou Star Wars… Les effets de la télévision sont complètement différents selon ces deux types. L'obésité est une des conséquences les plus dommageables de la télévision commerciale sur le long terme. Les gosses qui regardent beaucoup de télévision ont tendance à devenir obèses. Et ce n'est pas du tout inévitable : mes travaux ont par exemple montré que s'ils évitaient tout simplement les publicités télévisées, les parents réduiraient sensiblement le risque d'obésité pour leurs enfants.

La quantité de télévision commerciale que les enfants consomment, sans compter l'âge auquel ils ont commencé à en consommer, représente une perte importante pour leurs cervelles en croissance. Dans les trois premières années, le poids du cerveau humain triple, en même temps que la complexité et la densité des réseaux de neurones s'accroissent. Or, dans cette période de développement rapide, ce n'est pas seulement la cervelle qui se forme, mais aussi la personnalité – ce qu'il attend de son environnement, sa façon de négocier avec le monde qui l'entoure, ses atouts pour remplir un certain nombre de tâches – tout cela trouve ses fondations dans les 3 à 5 premières années de la vie. Ce n'est pas sa destinée qui se joue là, bien sûr, mais c'est la base sur laquelle la vie se déroulera.

Si dans cette période l'enfant passe une demi-heure par jour dans une activité quelconque qui n'aide pas ce développement, c'est une perte, mais ce n'est pas irréparable. En revanche, c'est une tragédie de voir des enfants qui passent jusqu'à la moitié de leurs heures de veille devant une télévision, qui ne leur offre aucune expérience intéressante ou productive.

Mes travaux ont montré que les enfants qui regardent la télévision plus que la moyenne avant l'âge de 3 ans auront des capacités nettement inférieures en lecture et en mathématiques lors de leur entrée à l'école primaire. Cette association négative n'est pas énorme, mais elle persiste quand on contrôle statistiquement [c'est-à-dire quand on corrige les résultats en fonction de] l'intelligence et l'éducation de la mère. Dans une autre étude, j'ai montré que la télévision avant l'âge de 2 ans entrave sérieusement le développement du langage, même si la télévision en question est faite de vidéos "éducatives" spécifiquement destinées aux bébés.

Une autre faculté que les enfants consolident avant l'entrée à l'école primaire, ce sont la capacité de maintenir son attention sur une tâche, de maîtriser lui-même les déplacements d'attention, et de planifier stratégiquement ses actions en vue d'un objectif. C'est ce que nous appelons en anglais l'executive function. Tout récemment, une étude fascinante a été publiée qui démontre que seules neuf minutes d'un dessin animé comme Bob l'Eponge suffisent, par comparaison avec le jeu libre ou même avec une vidéo plus calme, à nettement dégrader cette fonction chez des enfants de 4 ans. Ce résultat ne me surprend pas du tout. J'avais précédemment identifié un effet similaire qui opère sur le long-terme : en moyenne, chaque heure quotidienne que les enfants de moins de 3 ans passent à regarder la télévision commerciale correspond à un doublement du risque de voir survenir des problèmes d'attention cinq ans plus tard. En revanche, la télévision éducative n'avait pas du tout cet effet.

Quels sont les principaux effets secondaires de la télévision sur les enfants qui font consensus dans la communauté scientifique ? Quels sont les effets qui sont encore en débat ?

Ici, il faut bien parler de consensus, et non d'unanimité, car il y toujours ceux qui ne vont jamais reconnaître les effets néfastes de quoi que ce soit. Pour certains, c'est une question financière, étant donné le nombre d'experts qui sont consultants pour l'industrie. Comme disait Upton Sinclair, "il est difficile de faire comprendre quelque chose à un homme quand son salaire exige qu'il ne le comprenne pas". Pour d'autres, admettre que la télévision pourrait avoir des effets néfastes, c'est admettre qu'on doit changer son propre comportement.

On peut tout de même parler de consensus devenus assez solides. D'abord, nous savons que regarder beaucoup de scène de violence à la télévision conduit quasi directement à un comportement agressif. Ceux qui regardent régulièrement la télévision violente son désensibilisés aux effets de la violence et tendent à penser le monde en termes de violence et de danger.

Nous savons aussi que la publicité est réellement efficace, même si la plupart des gens en nient l'effet pour eux-mêmes tout en le reconnaissant pour autrui. Il y a clairement un consensus scientifique des effets de la télévision sur l'épidémie d'obésité – bien que certains aient décidé d'être aveugles à cette réalité.

Au fur et à mesure que la recherche se développe, on reconnaît aussi, de plus en plus, les effets de la télévision sur le développement cognitif et sur l'executive function. Il est peut-être trop tôt encore de parler d'un consensus solide, mais on peut y déjà esquisser un consensus émergeant dans ces domaines.

Je n'ai pas vu, dans la littérature scientifique, d'articles découvrant des bénéfices à la télévision, surtout pour les enfants... A votre avis y en a-t-il ? Avez-vous des enfants et si oui, les laissez-vous (ou les avez-vous laissé) regarder la télévision ?

La télévision est depuis longtemps dénigrée pour ses multiples effets néfastes sur la santé et le développement. Pourtant, des recherches récentes démontrent que la télé éducative peut favoriser une bonne santé et un développement harmonieux, tandis que la télé commerciale peut conduire à des esprits mous dans des corps flasques. J'ai publié une étude qui suggère que seule télévision commerciale est associée à l'obésité : je pense que la raison en est l'effet de la publicité pour les produits obésigènes qui font fureur.

D'autres études que j'ai menées, décrites tout à l'heure, font un distingo entre les effets néfastes de la télévision commerciale et les effets non-existants ou anodins de la télévision éducative.

Pour les jeunes enfants, de 2 à 4 ans, la recherche a clairement prouvé que la télévision éducative peut réellement favoriser l'acquisition de vocabulaire, les compétences en mathématiques, l'aisance de lecture. Pour les enfants plus âgés, peu de recherche scientifique a été menée, mais on suppose qu'eux aussi pourraient en tirer grand profit.

J'ai moi-même deux fils, de 7 et 9 ans, qui on le droit de regarder une heure de télévision le samedi et le dimanche. Au début j'ai fait tout pour leur trouver de bons programmes intéressants et éducatifs à regarder. Maintenant qu'ils sont un peu plus âgés, je les laisse regarder plus ou moins ce qu'ils veulent – pourvu que ce ne soit pas trop violent, bien entendu. Parfois, nous regardons en famille de vieux films comme The Muppet Movie ou Charlie Chaplin, ou un programme qui intéresse tout le monde. Un de leurs programmes favoris, c'est Planet Earth, de la BBC. Mais j'avoue que le plus souvent ils choisissent un dessin animé.

Les effets constatés – hyperactivité et troubles de l'attention notamment – sur les plus jeunes enfants sont-il réversibles ? Existe-t-il un débat sur ce point ?

Bien sûr, ces effets sont réversibles – mais à quel prix ! L'enfant qui passe la moitié de sa petite enfance devant l'écran aura la tâche plus rude pour rattraper son retard en lecture ou en mathématiques. Et ces efforts seront encore plus entravés par ses difficultés de concentration. Les choix autour de la télévision ne prédisent pas le sort de l'enfant ; ils déterminent des possibilités. Vouloir changer ces possibilités plus tard, c'est vouloir changer le plan de l'étage d'une maison, une fois la construction déjà entamée.

L'Académie américaine de pédiatrie préconise l'absence de télévision avant l'âge de deux ans, et pas plus de deux heures de télévision "de haute qualité" après cet âge.

Les effets sont-ils différents selon les types d'écrans regardés : TV, ordinateur, jeux vidéos ?

Nous sommes en train de repousser les frontières de la recherche sur ce thème. Nous ne savons pas encore quels sont les effets du temps prodigieux passé sur ces autres sortes d'écrans. Avec les ordinateurs, il y a la possibilité de mettre en jeu la capacité d'interaction, pour créer des programmes avec lesquelles l'enfant peu véritablement jouer et en tirer un avantage cognitif ou tout simplement divertissant. Mais il faut faire attention. Bien qu'il y ait pas mal de jeux qui apparaissent interactifs, il n'est pas toujours clair que l'esprit de l'enfant est véritablement engagé dans cette interaction. Le potentiel des ordinateurs est évidemment là ; la façon dont ils sont utilisés décidera si ce potentiel est réalisé. Etant donné le taux d'utilisation très bas de la télévision éducative, je crains qu'il ne soit pas réaliste de croire que le potentiel des autres formats sera mieux exploité !

Propos recueillis par Stéphane Foucart

A lire : le dossier du supplément hebdomadaire Science & Techno, "La télévision nuit gravement à la santé", dans Le Monde daté du samedi 8 octobre.
Article paru dans l'édition du 08.10.11


la baby-sitter idéale a du plomb dans l'aile

Message Publié : 07 Oct 2011, 16:38
par abounouwas
a écrit :Abuser du petit écran mettrait en danger la santé des enfants
LEMONDE.FR avec AFP | 20.04.11 | 08h30  •  Mis à jour le 20.04.11 | 09h41

D.R.

Les enfants qui regardent trop la télévision ont plus de risques de développer à terme des maladies cardiaques, de l'hypertension ou du diabète, selon une étude australienne publiée, mercredi 20 avril, dans le Journal of the American Heart Association.

Les enfants étudiés, âgés de 6 ou 7 ans, qui regardent longtemps la télévision ont des artères plus étroites à l'arrière des yeux, selon cette étude de l'université de Sydney, présentée comme la première du genre. Cela accroît plus tard les risques de maladies cardiaques, d'hypertension et de diabète.

"Les parents doivent pousser leurs enfants à avoir de l'activité et à délaisser le canapé", a recommandé le Dr Bamini Gopinath, responsable de l'étude. L'étude a porté sur quelque mille cinq cents enfants de trente-quatre écoles primaires de Sydney. En moyenne, les enfants examinés passaient, par jour, 1,9 heure devant la télévision et trente-six minutes à suivre des activités physiques.

INFLUENCE SUR LA MICROCIRCULATION

Ceux qui s'adonnaient le plus à des activités physiques, une heure ou plus par jour, avaient des artères sensiblement plus larges que ceux qui passaient moins d'une heure par jour à se dépenser physiquement. "Nous avons découvert que les enfants présentant un haut niveau d'activités physiques avaient un meilleur profil microvasculaire par rapport à ceux ayant les plus bas niveaux d'activité physique", a expliqué le Dr Gopinath.

"Cela laisse à penser que des comportements moins bons pour la santé peuvent influencer la microcirculation très tôt et peuvent accroître le risque de maladie cardiaque et d'hypertension plus tard", a-t-il ajouté. Une trop grande consommation de télévision conduit à moins d'activité physique, de mauvaises habitudes alimentaires et à la prise de poids, a-t-il ajouté.

Message Publié : 07 Oct 2011, 17:05
par logan
C'est une question fondamentale de santé publique et de vie quotidienne. Les résultats ne me surprennent pas. Chez les adultes, de vraies études seraient sans doute édifiantes également.