Le vaccin contre l'hépatite B est largement sous-utilisé

Et lutte contre les pseudo-sciences et les obscurantismes

Message par Crockette » 30 Déc 2007, 00:05

va pas si vite Txi, et si on veut se faire vacciner mais qu'on a pas eu ce vaccin dès deux mois ? que se passe t-il ?

c'est comme le cancer de l'utérus au départ pas de lien avec une maladie sexuellement transmissible puis le public apprend qu'il ya un lien via un virus je crois, puis on apprend que ce lien de transmisson sexuel est responsable pour 70% des cas... reste les 30 autre pourcent...

enfin les médecins ont aussi leur part de responsabilité, faudrait ptêtre aussi faire plus de pédagogie...ou de vulgarisation.

Crockette
 

Message par canardos » 30 Déc 2007, 20:04

décidemment, crockette....

alors selon toi entre le risque mille fois vérifié et mesuré d'attraper une hépatite qui tourne en cyrrhose puis en cancer, causant des milliers de morts chaque année, et le risque rarissime d'accidents de vaccination, risque meme pas démontré jusqu'à présent, , la prudence selon toi c'est de ne pas se vacciner....

avec ce genre de raisonnement, la meilleure protection contre la mort c'est de s'envelopper d'un suaire pour etre pret!

:altharion:
canardos
 
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Message par Crockette » 31 Déc 2007, 13:36

ben non canardos pour une fois je m'oppose pas ce que dit ton pote Txi, !!! :sleep:

je pose juste une question technique : que se passe t-il si tu veux te faire vacciner après l'age de deux mois ? le vaccin est il toujours aussi efficace ?

j'ai fait le lien avec le cancer de l'utérus car il semblerait que les jeunes filles qui se vaccinent après leur première relation sexuelle, le vaccin n'aurait plus d'effet...

Crockette
 

Message par canardos » 31 Déc 2007, 13:55

le vaccin de l'hépatite B est efficace à tout age, mais il est encore plus efficace sur les nourrissons que sur les adolescents et sur les adolescents, avant ou apres leur premiere relation sexuelle que sur les adultes.

Dans Doctissimo

a écrit :

[center]Hépatite B : une exception française [/center]

Début 2005, une étude préliminaire de l'Institut de Veille sanitaire révèle que les cas d'hépatite B aurait doublé en dix ans. Pourtant, un vaccin efficace a été mis au point par des équipes françaises depuis plus de 20 ans. Mais la controverse, qui l'entoure en a limité l'usage. Comment réagir ? Qui doit se faire vacciner ?… Les réponses avec Doctissimo.



[center]Zoom sur un virus dangereux[/center]

Chez 5 % des personnes contaminées, une hépatite chronique apparaît et peut entraîner pour une personne sur cinq à une cirrhose. Cent fois plus contagieux que le virus du sida, le virus de l'hépatite B fait partie des dix virus les plus redoutables du monde. On compterait en France 300 000 porteurs chroniques de l'hépatite B.


[center] L'hépatite B Retour sur une longue controverse[/center]

Depuis la fin des années 1990, le débat autour du vaccin contre l'hépatite B a, en France, largement dépassé le cadre scientifique. Entre batailles d'experts et décisions de justice contradictoires, il est parfois difficile d'y voir clair. Retour sur les grandes dates de cette controverse franco-française.


Nouvelle polémique autour du vaccin contre l'hépatite B (septembre 2004)
Nouveau plan de lutte contre les hépatites (février 2002)
Politique vaccinale en France : la controverse (mars 2001)
Hépatite B et sclérose en plaques : la fin d'une polémique ? (février 2001)

[center]Traitements et vaccins[/center]

Actuellement, il n'existe aucun médicament permettant d'éliminer le virus de l'hépatite B. Réunis à plusieurs reprises, les experts ont réaffirmé que la seule protection restait le vaccin. Des recommandations qui prennent toutes les valeurs lorsque l'on sait que le nombre de cas aurait doublé en 10 ans.


[center]Hépatite B : Pourquoi il faut vacciner[/center]

Les études successives disculpant le vaccin contre l'hépatite B, soupçonné d'avoir contribué au développement de scléroses en plaques chez des patients, ne parviennent pas à vaincre totalement les réticences des parents. Le rapport risques-bénéfices plaide pourtant en faveur de la vaccination.

"Théoriquement les choses sont simples. La vaccination est recommandée pour les nourrissons, les adolescents et les adultes appartenant à un groupe à risque" déclare le Pr. Etienne Roullet, chef du service neurologie à l'Hôpital Tenon. Dans les faits, elles sont plus compliquées, de nombreux parents inquiets continuent à refuser la vaccination de leurs enfants par crainte de provoquer une sclérose en plaques.

[center]Chronologie d'une méfiance[/center]

Les premières observations de scléroses en plaque (SEP) imputées au vaccin contre l'hépatite B sont relatées en 1994 dans des revues de sociétés savantes. Puis l'information est reprise par la presse grand public avec un fort effet démobilisateur. L'affaire connaît de multiples rebonds avec les années. Le 1er octobre 1998, Bernard Kouchner, alors Secrétaire d'Etat à la Santé, annonce une adaptation de la stratégie vaccinale en France en reportant sur les médecins traitants la décision de vacciner ou non, sa décision a pour conséquence de freiner brusquement la campagne en cours. Le 15 mai 2000, la Direction générale de la santé (DGS) ouvre des droits à l'indemnisation à huit personnes, dont trois atteintes de sclérose en plaques. Professionnelles de santé, elles avaient subi une vaccination obligatoire en raison de leur statut. Au 31 décembre 1998, 247 cas étaient recensés, sans que l'on puisse juger si le chiffre est élevé, l'absence de base de données de recueil des cas de scléroses en plaques dans la population générale privant les experts d'une base de comparaison.

[center]Aucun lien de causalité imputable[/center]

Face à ces circonstances, et pour mettre fin aux incertitudes, de nombreuses études permettent la comparaison du taux d'exposition au risque, en l'occurrence la vaccination, entre des personnes porteuses de SEP et celles qui ne le sont pas. Aucune différence significative n'a été retenue.


Le Dr Dessa Sadovnick, professeur de génétique médicale à l'Université de la Colombie-Britannique à Vancouver au Canada, a effectué des recherches sur des adolescents avant et après un programme de vaccination. Les résultats publiés en février 2000 dans le Lancet, une revue médicale de référence, concluent à l'impossibilité d'établir un lien de causalité entre le vaccin de l'hépatite B et la SEP ou une autre maladie démyelinisante. "En somme, le vaccin ne protège pas contre la SEP, mais il ne l'induit pas" résume le Pr. Stanislas Pol, Président du groupe hépatite de l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), service hépatologie adultes - hôpital Necker enfants malades.

[center]La non-vaccination constitue une prise de risque[/center]

"L'application aujourd'hui du principe de précaution peut être préjudiciable pour plus tard" rappelle le Dr Françoise Degos du service Hépatologie de l'Hôpital Beaujon. La vaccination évite 3 000 infections par an dont 3 hépatites fulminantes, 60 à 150 hépatites chroniques et 15 à 30 carcinomes hépatocellulaires (CHC). De plus 4 à 7 jours suffisent à la réactivation des cellules B mémoire alors que la maladie se développe en 2 à 3 semaines, il n'est donc pas nécessaire de réaliser des rappels lorsque les trois injections ont été faites. Enfin on a constaté une meilleure réponse au vaccin chez les nourrissons, les enfants et les adolescents que chez les adultes, surtout s'il s'agit d'hommes qui fument et sont obèses.

Mathieu Ozanam



seulement les fanatiques rétrogrades adversaires de la vaccination parmi lesquels on retrouve les signataires du "manifeste pour une médecine écologique" et les maitres à penser (quel hasard) du mouvement anti-ogm, entretiennent les peurs les rumeurs et les psychoses.

ce faisant ils sont responsables du déclin des vaccinations et de l'augmentation concommitante des contaminations et des déces et ont un certain nombre de morts sur la conscience....
canardos
 
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Message par canardos » 31 Déc 2007, 14:33

sur le site
a écrit : ACECOMED Liberté thérapeutique  Pour une médecine écologique
site ou a été publié le "manifeste pour une médecine écologique" dont les initiatieurs sont notamment Seralini, christian Velot et Jean Marie Pelt, les "cautions scientifiques du mouvement anti-OGM" (c'est moi qui mets les guillement!) , entre une recommandation pour la médecine des gourous sénégalais et une dénonciation des amalgames au mercure utilisés dans les plombages dentaires on trouve cet éloge d'un livre contre les vaccinations:

a écrit :

  [center]Ce qu’on nous cache sur les vaccins[/center]

Le 25 décembre 2006 | Christian Portal

Un livre révélation pour beaucoup, et pourtant, que d’ouvrages parus sur ce thème, depuis ceux écrits par Fernand Delarue, à partir de 1966.

Sylvie Simon, journaliste et écrivain, est l’auteur prolifique de nombreux ouvrages polémiques sur la médecine.

A la lecture de ce document, le regard sur les vaccinations ne sera plus le même, et la confiance établie autour de mensonges d’État sera sérieusement ébranlée.

Après un premier chapitre de généralités sur les maladies infectieuses et les vaccins, Sylvie Simon passe en revue les différentes maladies qui font l’objet de vaccinations obligatoires, recommandées ou en projet.

Il apparaît que dans l’ensemble,

soit les maladies sont graves, tétanos, méningite, maladies tropicales, et le plus souvent elles sont rares, ou alors les conséquences vaccinales sont telles qu’il y a tout lieu d’hésiter à vacciner (fièvre jaune par exemple),
soit les maladies sont le plus souvent bénignes, maladies infantiles, rougeole, oreillons, rubéole, et dans ces cas, en prenant quelques précautions thérapeutiques, on se met à l’abri des complications qui peuvent survenir, ce qui rend la vaccination inutile.
Il reste le cas de certaines maladies surévalués comme la poliomyélite ou l’hépatite B, et pour lesquelles des peurs illégitimes viennent cautionner les politiques vaccinales.

Sylvie Simon constate que la littérature médicale foisonne d’articles qui remettent en cause la dangerosité intrinsèque des maladies. Certaines maladies semblent favoriser les conditions d’adaptation de l’espèce humaine. Ainsi la vaccination pourrait à terme, mettre l’homme en péril en n’ayant pas permis des adaptations que les épidémies auraient favorisées.

Cette même littérature signale que certaines maladies comme la tuberculose et le tétanos n’étant pas immunisantes, le vaccin n’a aucune chance de protéger davantage que la maladie. Ainsi dans de nombreux cas, ces maladies surviennent sur des personnes vaccinées et qui possèdent des taux d’anticorps très largement capables de protéger mais qui ne le font pas. Nous constatons ainsi que les vaccins sont souvent faiblement protecteurs et pour des durées qui sont mal définies.

Par ailleurs, les vaccins sont souvent dangereux, directement par des accidents qui peuvent survenir brutalement ou par des pathologies souvent neurologiques dont le caractère est plus sournois.

Les problèmes qui se posent sont nombreux :

les vaccins multiples qui comportent jusqu’à 6 éléments ; il devient impossible de se procurer des doses vaccinales uniques
les vaccinations précoces et en particulier à la naissance sur des systèmes immunitaires totalement immature,
les vaccins produits par génie génétique, à partir de cellules cancéreuses ou à l’aide de virus-outil
l’incapacité démontrée des fabricants de vaccins à purifier suffisamment pour éliminer tout risque de contamination par les résidus d’ADN, d’albumine ou de virus ayant servi à la fabrication du vaccin ou présents dans le vaccin
les éléments toxiques, mercure et aluminium, présents dans les vaccins
l’absence de dosage spécifique aux enfant qui reçoivent des doses adulte.
De plus les vaccinations multiples sont très suspectées d’être à l’origine des épidémies de diabète, d’allergies, de nombreuses pathologies neuro-musculaires, de cancers, de maladies auto-immunes ou d’autisme. Les premiers cancers ont coïncidé chez certaines populations avec les premières campagnes de vaccination.

Selon un rapport du CDC, en Avril 2000, aux États Unis, l’autisme qui touchait entre 2 et 10 enfants sur 10 000, quelques années avant, affecte 1 enfant sur 150 dans le New Jersey et 1 sur 132 en Californie en 1998. « Une étude comparative des 16ème et 20ème rapports du Congrès américain a montré une augmentation de plus de 300% entre 1992 et 1997, dans 25 états. »

La situation mondiale est dramatique et quand on se sera attelé à un véritable audit sur la question des vaccins, on se rendra compte qu’on est à la veille d’un immense scandale. Rien ne justifie cette frénésie vaccinale sinon la certitude de profits pharamineux.

Les vaccins constituent une triple pollution, immunitaire, chimique et génétique, qui doit subir la même évaluation que celle réclamée pour les produits toxiques, à travers la directive REACH.

Plus que jamais, notre position pour la promotion d’une médecine écologique, ne peut s’accommoder de cette hystérie vaccinale. De même qu’en matière de choix thérapeutique, nous ne souhaitons rien imposer, de même, en matière de vaccination nous réclamons la liberté individuelle.

Pour en savoir plus, et ce livre est une mine d’informations et une mine explosive, n’hésiter pas à lire et à faire lire ce livre.

Il est paru aux éditions Delville Santé



notez que l'on retrouve à propos des vaccins la campagne contre l'alumine dont la présence est deja denoncée dans l'eau du robinet par une bande d'illuminés et reprise par doc stardust (rassurez vous aucun lien de parenté entre ce canard des étoiles et moi) . C'est d'autant plus ridicule que, pour que l'alumine, un métal lourd, se concentre en quantité suffisamment importante pour devenir toxique pour le systeme nerveux il faudrait en boire des centaines de litres tous les jours pendant des dizaines d'années et que l'hydroxyde d'alumine est utilisée en quantité infime dans les vaccins .

l'alumine deviendrait elle le nouveau complot destiné à empoisonner les français comme le fluor a été pour l'extreme droite américaine un complot communiste des tiné à empoisonner les américains (voir les propos que stanley kubrick placait dans la bouche du général américain qui déclenche la guerre atomique dans le film "docteur folamour")
canardos
 
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Message par canardos » 02 Jan 2008, 07:42

je crois que ce type de campagne antivaccinale est tout aussi criminel que leur campagne contre les tritherapies....

imagine-t-on les dizaines de millions de morts par an si on renonçait aux vaccinations de masse!

ce qu'on peut quand meme noter c'est que ce sont tres souvent les memes personnes qui menent toutes ces campagnes, antitritherapies, antivaccinales, anti medecine moderne et pro-pseudomedecine....antirecherche...et antiogm...

meme si la question des ogm est somme tout tres secondaire, on voit bien que l'obscurantisme est un tout...
canardos
 
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Message par Crockette » 02 Jan 2008, 11:56

attention canardos, les anti ogm ne sont pas forcément débiles...et ils sont nombreux à se faire vacciner...pas d'amalgames

les anti ogm sont contre un monde dominé par les multinationales et contre un monde où toutes les espèces animales et végétales seraient brevetés par les plus riches, TXI et TOI avaient une vue partielle du combat anti ogm, ya d'autres trucs derrière que le retour au moyen age... :rtfm:


être "anti ogm" selon vos définitions, c'est aussi être pour les ogm, mais pour des études scientifiques libres et indépendantes de smultinationales voir meme de sgouvernements pro-capitalistes !

Crockette
 

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