a écrit :« la femme a le sens de la justice peu développé, ce qui s »explique par la prédominance de l’envie dans sa vie psychique (….) Ses intérêts sociaux sont moins développés et ses capacités de sublimer ses passions sont plus faibles que ceux des hommes »
a écrit :«Derrière l’envie de pénis se révèle l’amertume hostile de la femme envers l’homme, amertume dont les productions littéraires des « émancipées » présentent les signes les plus évidents.»
a écrit :« …l’enfant ne se comporte pas autrement que la femme moyenne inculte, chez qui subsiste la même disposition perverse polymorphe. Dans les conditions habituelles, celle-ci peut rester à peu près normale sexuellement, mais sous la conduite d’un habile séducteur, elle prendra goût à toutes les perversions et en maintiendra l’usage dans son activité sexuelle. Dans son activité professionnelle, la prostituée met à profit la même disposition polymorphe et, par conséquent, infantile ; et, si l’on considère le nombre immense de femmes prostituées et de celles à qui il faut accorder des aptitudes à la prostitution bien qu’elles aient échappé au métier, il devient en fin de compte impossible de ne pas reconnaître dans l’égale disposition à toutes les perversions un trait universellement humain et originel. »
a écrit : « …l’infériorité intellectuelle de tant de femmes, qui est une réalité indiscutable, doit être attribuée à l’inhibition de la pensée, inhibition requise pour la répression sexuelle. »
a écrit :« C’est un fait connu, et qui a donné aux hommes ample matière à récrimination, que souvent le caractère des femmes s’altère singulièrement une fois qu’elles ont renoncé à leur fonction génitale. Elles deviennent querelleuses, tracassières et ergoteuses, mesquines et avares ; elles font ainsi montre de traits d’érotisme sadique anal qu’elles ne possédaient pas auparavant, durant leur féminité. »
a écrit :« Le secret de l’imbécillité physiologique des femmes réside dans le fait qu’elle est une conséquence du refoulement sexuel. Comme on leur interdit de penser à ce qu’il y a de plus valable pour elles, l’activité de la pensée en général n’a plus de valeur du tout. »
a écrit :Même si la femme « doit être jugée avec indulgence et tolérance dans les domaines où elle est en retard sur l’homme », « Il est vrai, que la femme ne gagne rien à étudier et que cela n’améliore pas, dans l’ensemble, la condition des femmes. En outre, la femme ne peut égaler l’homme dans la sublimation de la sexualité. »
a écrit :
il est surprenant de voir à quel point les féministes de l’époque l’appréciaient.
a écrit :
Comme tu peux le constater Freud est réputé pour ne pas prendre de patients psychotiques. même jacobsen doit le sous-entendre
a écrit :
On considère souvent que Freud ne prenait pas des psychotiques en analyse, mais c’est faux.
(granit @ dimanche 22 janvier 2012 à 22:33 a écrit :
Mais dis moi t'as été rapide à sortir ta liste de citation mysogyne.. Tu la gardais sous le coude ? T'en as beaucoup d'autres ?
Me dis pas que t'as du te farcir toute l'oeuvre de Freud plus sa correspondance en un après midi (en fait 1 heure tout au plus ! chapeau ! ) pour en tirer seulement 5 citations ?
Depuis combien de temps tu t'es mis à la tâche ?
Tu nous ferais pas une légère obsession ?
a écrit :
Prenez Marie von Ferstel, c’est un cas absolument ahurissant. Cette femme phobique est très riche. Elle a des problèmes de constipation. Freud, qui a une théorie sur l’équivalence symbolique entre les excréments et l’or, lui dit : « Pour régler vos problèmes de constipation, il faut que vous appreniez à lâcher. Par exemple, que vous lâchiez votre argent. » Que fait-elle ? Elle lui donne le titre d’une de ses propriétés, qu’il vend immédiatement. Si ce n’est pas de l’abus de faiblesse, je ne sais pas ce que c’est !
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