par Catharos » 28 Jan 2004, 19:47
Soyons moins bête lisont Lacan et Reich...
Pour des millions d'angoissés, psychotiques, ceux qui ont des TOC, pour ceux dont la vie devient un calvaire quotidien, la psychiatrie peut être un soulagement, plus une thérapie, tout dépend aussi de la volonté du patient et l'attitude du thérapeute...
La consommation de médicaments augmentent, deroxat, anafranil, xanax... à la hauteur des drames individuels... Peuvent soulager et engraissent l'Industrie pharmacatique. C'est le capitalisme qui génère des hommes hors du monde
L'alcool, les drogues sont un fléau à combattre car elles éloignent du combat, c'est le désespoir à l'état pur... A l'usine le travail politique c'est aussi donner un sens à la vie au collègue de boulot, l'aider d'arrêter de picoler, de ne plus taper sa femme, et donc éviter un long travail médical, si le parti est la famille, ce n'est pas non plus une thérapie de groupe... Pour acceder à la conscience de classe il faut être en possibilté de raisonner et de ne pas noyer ses colères...
La politique pour un révolutionnaire, notre combat, sauve parfois de la folie destructrice ceux qui décident d'entrer dans la lutte... Le fils de la mère de Gorki arrête de la battre, de boire à partir du moment où il se met à militer...
Là où nous sommes, combien de votre type sans avenir n'y espoir, tombent dans la déchéance physique et sociale... La pureté revolutionnaire, l'exemplarité du militant est de combrattre ce fléau de l'aliénation, l' opium du peuple... C'est pas que la religion
Alors si la médecine peut redonner la dignité à un homme, c'est un pas vers l'émancipation...
les revolutionnaires n'ont pas de tabous, être libre c'est pouvoir choisir son combat...