Caravanes de LO

[redsamourai]

c'est aussi mon avis: assez distant, mais relativement correct

(sauf le choix de la photo assez tendancieux puisqu'elle montre les copains totalement seuls, ce qui ne reflète pas de manière honnête le déroulement de l'activité mais passons)

il ne faut quand même pas oublier que libé est loin, très loin d'être un journal d'extrême gauche... :roll:

[Ottokar]

Dans Sud Ouest, le rédacteur a remarqué l'enthousiasme de nos camarades, même si'il dit que nous "suivons l'exemple des autres formations", alors que LO fait des caravanes depuis 30 ans...

POLITIQUE. La caravane de LO a fait étape en centre-ville, place des Laitiers
Lutte ouvrière bat le rappel avant la rentrée

Guilaume Perché, militant de LO, est venu hier de Bordeaux. (photo thierry-daniel vidal)
    Guilaume Perché, militant de LO, est venu hier de Bordeaux. (photo thierry-daniel vidal)

Hier, les militants de Lutte ouvrière ont fait étape à Agen, en centre-ville, place des Laitiers, après s'être arrêtés la veille à Marmande et à Tonneins. Là, à l'abri d'une tente, oriflammes au vent et organe de presse en main, les adhérents de LO sont allés au-devant des badauds.

Depuis le début de l'été, le parti d'extrême gauche qui fut incarné par Arlette Laguiller, sillonne avec ses adhérents les villes de France pour « discuter de la situation politique » avec les gens. D'autres y verront du prosélytisme mais LO ne fait que suivre ici l'exemple des autres formations politiques.

« On est là pour rappeler aux travailleurs qu'ils doivent contrer les attaques du patronat et du gouvernement. Et que c'est par les luttes sociales qu'on changera les choses », indique Guillaume Perché, militant LO à Bordeaux.

« Toutes les occasions sont bonnes pour licencier des travailleurs. On a l'exemple non loin d'ici avec JLG à Tonneins. Il faut donc se mobiliser pour empêcher le grand patronat de nuire ». Demain, la caravane de Lutte ouvrière et son enthousiasme s'arrêteront à Périgueux pour battre le rappel avant la rentrée.

[Ottokar]

Un écho dans le progrès de Lyon avec une belle photo

ZOOM
Les militants de Lutte ouvrière sur le marché de Bourg

le 27.08.2009 04h00
Photo Claude Mulot

Depuis plus de six semaines, la caravane de Lutte ouvrière sillonne les routes du département. Hier matin, c'est aux abords marché de Bourg quelle à stationné avant de rejoindre la place de la Comédie l'après-midi. À peine arrivés, une dizaine de militants montent le stand, prennent une poignée de journaux et de tracts et se mettent en place à des endroits stratégiques pour engager le dialogue avec les passants. « Cette caravane, souligne Cyril Duvinage, responsable lyonnais du mouvement venu prêter main-forte à ses amis burgiens, c'est notre université d'été, la vraie, celle au milieu des travailleurs ». « Dans chaque ville où nous sommes passés, note Maude Lepagnot, l'inquiétude grandit, les gens ont toujours les mêmes questions, le chômage, les prix des produits alimentaires en hausse, le travail du dimanche.
»

[Ottokar]

un autre article dans Presse Océan, pas meilleur que Ouest France et moins lu, avec notre ancienne élue locale, Helène Defrance

LO occupe le terrain de la crise

La formation politique souhaite porter son message sur le terrain.
La crise mobilise toujours autant. Lutte ouvrière organisait hier une journée de rencontre avec le public, place du Commerce à Nantes. Le parti critique notamment la hausse du chômage et des licenciements, avec pour dernier exemple l'annonce de la fermeture de l'usine Samro, à Nort-sur-Erdre.

Pour la formation, qui revendique une centaine d'adhérents dans le département, ces échanges sont également l'occasion d'attirer de nouveaux sympathisants. Sur le terrain, la responsable locale Hélène Defrance constate « une véritable angoisse par rapport à l'avenir, et une colère par rapport aux financiers et au gouvernement ». Pour elle, il « faut défendre l'actualité du communisme ». Un projet qui implique de réussir les prochaines échéances électorales. S'il est encore trop tôt pour penser aux élections régionales, Hélène Defrance rappelle que Lutte Ouvrière ne dialoguera qu'avec « ceux qui défendent des idées révolutionnaires. » Une façon d'écarter toute idée de rapprochement avec le Front de gauche. Les militants organiseront une nouvelle journée de rencontres le mercredi 28 octobre, place du Commerce.

Fabien Magnenou

[Ottokar]

La Voix du Nord sur Maubeuge

Malgré les vacances, Lutte ouvrière poursuit le débat

jeudi 30.07.2009, 04:47 - La Voix du Nord
Les militants de Lutte ouvrière ont investi le centre-ville, hier. Les militants de Lutte ouvrière ont investi le centre-ville, hier.
|  POLITIQUE |

Hier, des militants du parti de gauche Lutte ouvrière ont engagé le débat avec les passants, dans les rues de Maubeuge mais aussi de Ferrière-la-Grande.

Chômage, licenciements, salaires peu élevés... Paroles de militants de Lutte ouvrière, même au plus fort de l'été, les inquiétudes des Sambriens sur la situation, en particulier économique, demeurent. «  L'accueil est chaleureux, les gens sont dans notre camp », confirme Sandrine, venue de la région lilloise pour attirer le chaland, vendre le journal du parti et, évidemment, discuter politique.

Hier, le parti dont Arlette Laguiller fut longtemps porte-parole était sur le pont. «  On fait ça un peu partout dans le pays », explique Éric Pecqueur, porte-parole régional de LO. En Sambre, ce sont Maubeuge et Ferrière-la-Grande qui ont concentré les efforts des membres de la formation de gauche. «  On profite de la période estivale pour aller à la rencontre de la population, des travailleurs et des chômeurs, pour discuter. » Avec une question fondamentale : qui dirige la société ? «  Nous leur proposons que ce soit les travailleurs  », suggère Éric Pecqueur, avec une mise en commun des moyens industriels, agricoles, «  au profit de tous ».
« Vraie politique »

Pour autant, est-ce facile d'alpaguer le passant hors échéances électorales ? «  C'est justement là qu'on fait la vraie politique  », argumente Éric Pecqueur, également tête de liste dans le Nord Ouest pour Lutte ouvrière lors des dernières élections européennes. «  On discute plus des vrais problèmes des gens des jours comme aujourd'hui que lors des élections européennes. D'ailleurs, le taux d'abstention, en particulier dans les milieux populaires, en est la preuve. » Prochain rendez-vous en Sambre, le 18 septembre.

•

MYRIAM ZENINI

et à Lens avec une petite photo noir et blanc

Les militants de Lutte ouvrière sur le pont avec ou sans élection

samedi 18.07.2009, 04:50 - La Voix du Nord
Les militants de Lutte ouvrière viennent à Lens tous les deux mois, en moyenne. Les militants de Lutte ouvrière viennent à Lens tous les deux mois, en moyenne.
|  POLITIQUE |

Difficile de ne pas croiser de militants de Lutte ouvrière hier, dans les rues de Lens. De la place de la République à celle du marché, ils étaient partout pour prôner leurs idées.

« Qu'est-ce que vous pensez de la situation actuelle ? », « Vous connaissez un peu nos idées ? », etc. Les façons d'aborder les passants ne manquaient pas pour les militants de Lutte ouvrière (LO).

Les prochaines élections ne sont pas pour tout de suite mais ils occupent quand même le terrain pour « discuter avec la population de tous les problèmes qui la touchent, explique Denis Houssin. Surtout qu'avec la crise, la situation s'est aggravée. Il y a beaucoup de licenciements. En France, ils parlent de 3 000 suppressions d'emplois par jour. » Ainsi, en plus d'épingler certains actes présidentiels ou gouvernementaux, LO - fidèle à ses idéaux trotskistes - propose de «  remplacer ce système capitaliste par une économie dans laquelle on produira pour satisfaire les besoins de chacun, et de toute la collectivité  ». « Aujourd'hui, on ne sent pas une forte combativité, regrette Denis Houssin . Mais la colère est là, et la combativité peut revenir très vite. » La révolution ne semble quand même pas pour tout de suite...

• C. D.

[pelon]

Grand Sud » Hautes-Pyrénées
Publié le 28/08/2009 04:36 | Jessica Simoes.


Cinéma vivant : tournez vidéo La politique continue en été

La caravane de Lutte ouvrière s'est installée jeudi, au marché de Marcadieu, « un moyen de montrer que la résistance continue contre la politique du gouvernement de Sarkozy », explique François Meunier, porte-parole départemental du parti.

Ce dernier dénonce l'emprunt national qui, selon lui, servira toujours les mêmes et laissera démunis ceux qui en ont vraiment besoin : « Les gens sont lassés, il y a un ras-le-bol général. A la rentrée, les chiffres du chômage vont exploser, c'est ça la réalité du gouvernement. La riposte ne va pas tarder, comme elle s'est produite il y a peu de temps en Martinique et en Guadeloupe ».

article avec photo

[pelon]

Les militants de Lutte Ouvrière à Béziers
« Aucun banquier , aucun spéculateur ne s'est retrouvé sur la paille. Par contre, des centaines de milliers de salariés ont perdu leur emploi », lit-on sur le tract distribué par les militants de Lutte Ouvrière. Ils étaient une vingtaine hier, disséminés sur les allées Paul-Riquet, à aller à la rencontre des Biterrois. « Nous sommes là pour discuter de la situation économique désastreuse. On donne de l'argent aux banques et aux grandes entreprises, pas aux salariés. Il faut imposer un rapport de force et faire reculer le grand patronat » , explique Nicole Desplantes, l'une des militantes. « Les gens sont écoeurés, il faut réagir car on accumule les coups. A la rentrée, il faut que le patronat recule. »

Article avec photo