(Ottokar @ mercredi 21 juillet 2010 à 19:35 a écrit : je crois qu'on est en train de chercher des poux dans la tête de nos rédacteurs...
Disons que parfois, quand ça nous démange, on se met à gratter un peu les textes.
- luc marchauciel
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- Inscription : 12 Avr 2008, 18:37
(Zappa @ mercredi 21 juillet 2010 à 16:58 a écrit : très probablement que nous ne pourrions pas aux vues des moyens et des réseaux dont ils disposent pour se tirer.
Très certainement, ceux qui hésiteront, resteront au milieu du chemin, ne pourront pas grand chose, et la classe ouvrière serait bien mal avisée de les maintenir à sa direction.
Mais à ceux qui prennent au sérieux leurs idées, qui agiront pour la dictature du prolétariat, rien ne résistera longtemps, il faut l'espérer, et les "réseaux" de la bourgeoisie seront comme une fourmilière ayant reçu un grand coup de pied (et point besoin d'exterminer les fourmis une par une :roll: :roll: ).L’intérêt ne pense pas, il calcule. Les motifs sont ses chiffres. K. Marx, « Débats sur la loi relative au vol de bois » 1842.
com_71- Message(s) : 6006
- Inscription : 12 Oct 2002, 00:14
(com_71 @ mercredi 21 juillet 2010 à 22:20 a écrit :(Zappa @ mercredi 21 juillet 2010 à 16:58 a écrit : très probablement que nous ne pourrions pas aux vues des moyens et des réseaux dont ils disposent pour se tirer.
Très certainement, ceux qui hésiteront, resteront au milieu du chemin, ne pourront pas grand chose, et la classe ouvrière serait bien mal avisée de les maintenir à sa direction.
Mais à ceux qui prennent au sérieux leurs idées, qui agiront pour la dictature du prolétariat, rien ne résistera longtemps, il faut l'espérer, et les "réseaux" de la bourgeoisie seront comme une fourmilière ayant reçu un grand coup de pied (et point besoin d'exterminer les fourmis une par une :roll: :roll: ).
Quand on sait ce que chaque jour ce système engendre de misères et de morts, on peut éviter d'exprimer des sentiments "humanistes" pour la classe qui produit cyniquement des morts programmées par la simple loi du profit.
- satanas
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- Inscription : 04 Juil 2004, 20:37
a écrit : (édito du 12 juillet) (...) Tous les discours sur les patrons qui seraient nécessaires pour “donner du travail” aux ouvriers et aux employés, sur le “il faut bien qu’il y ait des riches” pour que la machine économique puisse fonctionner, ne sont faits que pour justifier l’existence de cette petite couche de parasites qui vivent de l’exploitation de la grande majorité de la population.
Loin de s’atténuer avec le temps, le caractère parasitaire du système capitaliste ne fait que s’aggraver. (...)
a écrit : (édito du 17 mai) (...) Mais il faut surtout que mûrisse la conscience que cette organisation économique, en plus d’être injuste et inégalitaire, est absurde et incontrôlable. La classe capitaliste est non seulement de plus en plus parasitaire et n’apporte rien à la production, à la création de biens matériels et culturels, mais en choisissant de s’enrichir dans les opérations financières, elle désorganise et démolit l’économie. Exproprier ces parasites , mettre les banques et les usines sous le contrôle de toute la population est devenu une exigence pour la survie même de la société.
a écrit : (édito du 12 avril) (...) Il ne s’agit pas de philosopher sur ce que serait une retraite juste. En réalité, la seule justice serait que ceux qui ont consacré une grande partie de leur vie à produire et à créer des richesses pour la société en bénéficient aussi bien pendant le temps où ils produisent qu’après et que le montant des retraites soit celui des salaires. Mais cela ne pourrait se produire que dans une société débarrassée des parasites qui non seulement prélèvent leur part sans travailler mais imposent aussi les règles sociales correspondant à leurs intérêts. (...)
a écrit : (édito du 15 février) (...) Ce sont les travailleurs qui font tout dans cette société. Ils ont les moyens d’arrêter toute la production et de stopper la fabrication du profit pour les plus riches. Ils ont même les moyens de menacer la fortune des plus riches comme leur mainmise sur l’économie.
Ces moyens, c’est leur lutte collective, c’est l’explosion sociale consciente.
Les élections régionales qui viennent ne remplaceront pas la lutte collective. Mais elles permettront de crier notre révolte contre une organisation sociale qui laisse crever ceux qui produisent alors que les riches parasites responsables de la crise en profitent pour s’enrichir encore plus.
(Wikipedia a écrit :
* Neutralisme : parasite et hôte sont indépendants et n'ont aucune influence l'un envers l'autre
* Compétition : parasite et hôte agissent défavorablement l'un envers l'autre, il y a compétition au niveau de l'habitat, de la nourriture, ...
* Mutualisme : parasite et hôte vivent en association durable sinon constante, nécessaire et bénéfique aux deux
* Commensalisme : Le parasite se nourrit de matières organiques produites par l'hôte sans dommage pour ce dernier. Lorsque les matières organiques proviennent de matières en décomposition, cela est du saprophytisme
* Coopération : Les deux espèces peuvent vivre indépendamment l'une de l'autre, mais tirent profit de l'association. Dans ce cas, chaque espèce est à la fois parasite et hôte
* Phorésie : l'hôte transporte le parasite dans un milieu favorable au développement de ce dernier. Il s’agit d’une association libre (les sources de nourriture de l’un et l’autre partenaires étant indépendantes) et non-destructrice (le transport en question n’occasionne pas de dommages physiologiques particuliers)
* Inquilinisme : le parasite trouve auprès de son hôte un habitat, un refuge et une protection sans en tirer de nourriture (parasitisme spatial et non physiologique).
Différence entre parasitisme et prédation
Les interactions liant un prédateur et sa proie, ainsi qu'un parasite et son hôte sont de même nature (+/-). La différence se situe dans la taille de l'individu tirant profit de l'interaction. Ainsi, on remarque que le parasite est plus petit que son hôte, et qu'un prédateur est généralement plus grand que sa proie. (Dans le cas d'attaque en bande (par exemple dans le cas des lions), l'addition de la taille de la totalité des prédateurs dépasse celle de la proie). Néanmoins ce critère possède ses limites car il existe des cas où la masse comme le volume des prédateurs peuvent être inférieurs à celui de la proie notamment si l'on considère l'homme (chasse à la baleine par exemple). Il peut être complété par le devenir de l'hôte qui, dans le cas de la prédation, du moins si on en exclut l'alimentation herbivore, est systématiquement tué.
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