(yannalan @ dimanche 19 juin 2011 à 10:59 a écrit : Pauvres Politis ! Une fois, ils avaient essayé de faire une fête en 78, je crois...
1988, peut-être, vu que c'est l'année de fondation du journal.
- luc marchauciel
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Presse et fête
17 message(s)
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par luc marchauciel » 19 Juin 2011, 10:50
par yannalan » 19 Juin 2011, 12:50
(luc marchauciel @ dimanche 19 juin 2011 à 10:50 a écrit :(yannalan @ dimanche 19 juin 2011 à 10:59 a écrit : Pauvres Politis ! Une fois, ils avaient essayé de faire une fête en 78, je crois...
1988, peut-être, vu que c'est l'année de fondation du journal.
Non, je me goure, 'c'était Politique Hebdo à l'époque je crois... Enfin même genre de soupe...
- yannalan
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par pelon » 19 Juin 2011, 13:54
(yannalan @ dimanche 19 juin 2011 à 14:50 a écrit :(luc marchauciel @ dimanche 19 juin 2011 à 10:50 a écrit :(yannalan @ dimanche 19 juin 2011 à 10:59 a écrit : Pauvres Politis ! Une fois, ils avaient essayé de faire une fête en 78, je crois...
1988, peut-être, vu que c'est l'année de fondation du journal.
Non, je me goure, 'c'était Politique Hebdo à l'époque je crois... Enfin même genre de soupe...
:hinhin: ... et pas de la bonne.
- pelon
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par artza » 20 Juin 2011, 07:45
Politis ça existe encore, ben oui, hebdo, 3 euro pour 36 pages petit format.
Le reste de l'article est dans le même ton.
Valérie Hamon conductrice de train en Bretagne et Eric Pecqueur ouvrier chez Toyota dans le Nord n'ont-ils pas le même exemple pour démontrer l'existence et l'importance de la classe ouvrière, une chaise en plastique qui se trouve à proximité.
Voilà bien la preuve "d'un discours bien rodé... appris décidément en choeur" et servi par Nathalie Artaud (sic) que cette journaliste n'est pas capable d'orthographier correctement.
Sans doute prononce-t-elle Laguiller comme une anguille et non pas comme il se doit comme une aiguille.
Voyons la conclusion:"Quelques gouttes de pluie tombent sur le public affalé sur la pelouse. Qui se lève mollement et entonne, le poing levé, l'Internationale".
Le reste de l'article est dans le même ton.
Valérie Hamon conductrice de train en Bretagne et Eric Pecqueur ouvrier chez Toyota dans le Nord n'ont-ils pas le même exemple pour démontrer l'existence et l'importance de la classe ouvrière, une chaise en plastique qui se trouve à proximité.
Voilà bien la preuve "d'un discours bien rodé... appris décidément en choeur" et servi par Nathalie Artaud (sic) que cette journaliste n'est pas capable d'orthographier correctement.
Sans doute prononce-t-elle Laguiller comme une anguille et non pas comme il se doit comme une aiguille.
Voyons la conclusion:"Quelques gouttes de pluie tombent sur le public affalé sur la pelouse. Qui se lève mollement et entonne, le poing levé, l'Internationale".
- artza
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par Ottokar » 23 Juin 2011, 07:27
Un article de l'Huma qui m'avait échappé
commentaire fielleux, car selon ce qu'elle a toujours dit, LO "n'invite" pas sur une liste nominale, mais elle ouvre sa fête à qui veut bien venir... et accepte tous les partis qui en font la demande, à partir du moment où ils ont une publication (= ils existent) et s'engagent à respecter les règles de la fête (ne pas distribuer de tracts dans les allées et accepter en payement les vignettes, qui leur seront payées à 0,80).
Qu'attend donc le PCF pour demander un stand (gratuit) comme tout le monde ?
a écrit :LO joue à nouveau en solo en 2012
Lors de la fête de Lutte ouvrière, Nathalie Arthaud a exclu toute alliance avec le Front de gauche.
La Fête de lutte ouvrière (LO), qui se tenait ce long week-end de la Pentecôte, a l’apparence d’une immense kermesse rassemblant des milliers de personnes. Le public bigarré déambule dans cet espace clos perdu au milieu des champs, à Presles, dans le Val-d’Oise.
Bizarrement, les slogans sont rares sur les frontons des stands. On ne sent pas un parfum de campagne électorale. Seule importe ici « la lutte des travailleurs et des travailleuses ». Nathalie Arthaud l’explicite dans son discours : pour la porte-parole de LO, « les résultats des élections n’apporteront pas de changement dans ce qui est le plus important pour nous : le rapport de forces entre la bourgeoisie et la classe ouvrière ».
La foule accompagne le discours de la candidate au scrutin présidentiel dans un silence assourdissant. « Nous ne nous présenterons pas pour gagner des postes ou des sinécures, mais pour profiter de l’occasion offerte d’armer politiquement la classe ouvrière », martèle Nathalie Arthaud, convaincue que seule compterait l’élection au suffrage universel des dirigeants des grandes entreprises, des grandes banques ou des institutions financières.
L’ambiance, plutôt familiale, conviviale, fraternelle, que combative, contraste avec les propos parfois tranchés de Nathalie Arthaud, notamment sur le Front de gauche, qui se place selon elle « sur le terrain de l’organisation capitaliste de la société ». Ou sur le PCF, qui aurait « perdu la raison d’être de ses origines », et serait « devenu l’ombre de lui-même ». Ne cherchez pas le stand du PCF dans les allées de la fête, LO a invité les seuls partis dits « révolutionnaires » à ses yeux, comme le NPA et ses courants les plus extrêmes ou en encore la Gauche communiste, collectif animé par le communiste d’Aubervilliers, Jean-Jacques Karman.
Mina Kaci
commentaire fielleux, car selon ce qu'elle a toujours dit, LO "n'invite" pas sur une liste nominale, mais elle ouvre sa fête à qui veut bien venir... et accepte tous les partis qui en font la demande, à partir du moment où ils ont une publication (= ils existent) et s'engagent à respecter les règles de la fête (ne pas distribuer de tracts dans les allées et accepter en payement les vignettes, qui leur seront payées à 0,80).
Qu'attend donc le PCF pour demander un stand (gratuit) comme tout le monde ?
- Ottokar
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