je crois quand même que derrière les personnes qui developpe l'argument sur "la nature humaine", il y a ceux qui acceptent "définitivement" les injustices (cela leur permet de faire un petit arrangement avec leur conscience, car la conclusion est alors qu'il ne faut rien faire (à pârt bien voter à la rigueur) et "cultiver son jardin")
et puis il y a ceux, plus rares, qui aimeraient qu'il y ait des luttes, mais ne sont pas encore convaincus quant à leurs échéances
heureusement, on peux passer du premier état au second, même si le découragement actuel va plutôt dans l'autre sens