Bon, ben, puisque c'est reparti sur les aspects soit-disants intéressants de la Décroissance, allons-y...Je sais pas comment copier des images, alors je copie le lien vers les couvertures du journal du même nom (j'imagine que c'est eux, la Décroissance, parce que sinon faudra me donner d'autres noms de gens potentiellement intéressants... Latouche ? Bové ? Hulot ? ) sur son propre site, comme ça chacun peut aller vérifier l'intérêt de la chose :
http://www.ladecroissance.net/?chemin=anciens_numerosParmi mes favoris à moi, dans ces couvs vachement intéressantes , je citerais :
Numéro 23 : "Vive la pauvreté" [ça a le mérite d'être clair. Ils sont chiants aussi, ces marxistes, à vouloir dégoûter les pauvres de la pauvreté...]
Numéro 24 : "Pour Noël, n'achetez rien" [conseil suivi par plein de gens qu'ont pas de quoi acheter des trucs à Noel, des Décroissants forcés qu'on les appelle]
Numéro 28 : "Rentrée : grève de la consommation" [ils sont cons, ces marxistes, à vouloir organiser des grèves de producteurs. Mais, là aussi, les Décroissants ont gagné à cette rentrée 2008 : plein de gens ont consommé moins, faute de thunes]
Numéro 31 : "Maigrir pour embellir" [bon, ça doit être de l'humour, ce remake de "Jeunes et Jolies". Sauf que, et même Ariès a fini par s'en rendre compte, son journal haineux a tendance à caricaturer le pauvre comme un gros à casquette pas beau qui a un hamburger - caca, les Etats-Unis- dans une main et un portable dans l'autre - danger, portables, ondes méchantes-. Tout ça sent à plein nez le racisme de classe, mais contre notre classe, c'est con...]
Numéro 43 : "La planète livrée aux savants fous" [caca, la science, méchants les scientifiques]
Numéro 48 : "Merde au pouvoir d'achat" [est ce qu'un esprit éclairé pourra m'expliquer, par les temps qui courrent, en quoi ce slogan médéfien fièrement affiché en une est intéressant mais insuffisant d'un point de vue marxiste ? ]
Vraiment, il faut arrêter avec ça... On peut discuter de quel développement alternatif au capitalisme on voudrait, mais j'ai aucune envie d'en discuter avec ces réacs qui n'en veulent même plus du développement, quel qu'il soit (cf le bouqin préfacé par Bové, qui est explicite sur ce point).