(redsamourai @ dimanche 4 mai 2008 à 09:32 a écrit : qu'appelles-tu "un militant de rue"? car enfin, besancenot, je suppose qu'il a passé pas mal de temps à militer "dans la rue" avant de finir porte-parole sur les plateaux télé!![]()
Ceci dit Besancenot est connu pas en tant que "militant de rue", mais comme porte-parole de la LCR
(artza @ dimanche 4 mai 2008 à 10:12 a écrit : Ceci dit Besancenot est connu pas en tant que "militant de rue", mais comme porte-parole de la LCR![]()
Sur Marchais, nous sommes d'accord, évidemment. Meme si, il faut le répéter, les médias qui le ridiculisaient ne l'attaquaient pas pour les memes raisons que nous.
Ses simples origines ouvrières et son "parler ouvrier" ( meme s'il comportait une bonne part de démagogie) suffisait pour le faire mépriser.
Sur Olivier, je te trouve dur : on peut dire exactement la meme chose de Arlette. Meme si elle a joué un nrole dans une grève déjà ancienne du Crédit Lyonnais, qui le sait en dehors des gens du CL et des militants de LO ? Ce sont tout de meme les médias qui, comme pour Besancenot, lui ont apporté sa notoriété et sa relative popularité. Question de période évidemment, comme tu dis...
(Zappa @ dimanche 4 mai 2008 à 13:17 a écrit : Bien sûr que c'est une opération marketing, comme n'importe quel porte-parole, ça fait partie des règles du jeu.
Ton ton me semble à quelques lieues de ce qui serait juste. Marketing, c'est le marché, qui a quelque chose à vendre dans cette affaire ?
Et puis un rôle public ça implique des tas de choses, il y a Henri Salvador, il y a aussi G. Besse ou A. Moro (sans comparer à Arlette ou Olivier bien entendu).L’intérêt ne pense pas, il calcule. Les motifs sont ses chiffres. K. Marx, « Débats sur la loi relative au vol de bois » 1842.
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