Robert Allen Zimmerman se raconte... dans une biographie (à la hache) qui parait ces jours-ci.
morceaux choisis :
"... admirés par tous, je me terrais à domicile, avec à proximité des armes à feu contre les gauchistes et les drogués..."
"... je ne suis pas le ténor de telle ou telle génération... je révais à l'époque d'une maison bordée d'arbres, avec une clôture blanche et des fleurs dans le jardin".
on apprend aussi qu'il a longtemps glorifié le rôle de la famille et rêvé de mourir au combat pour la patrie...
que penser de cette oscillation entre "les claques" que nombre d'entre nous (les plus vieux?) ont pris à l'écoute des meilleures compositions du monstre et l'itinéraire de l'individu?
iskra
:lenine: