Alors, Byrrh, j'ai lu "C'est la nuit surtout que le combat devient furieux".
Déjà, rassure-toi: tu n'auras pas à me rembourser. C'était une très bonne idée de signaler ce petit bouquin
Mais les combats ne sont pas si furieux, c'est sans gros dommages, elle le dit, la jeune dame. D'ailleurs, je cite le début d'une lettre d'Alix :
Lundi matin (15 mai)
La nuit a été orageuse, mais, Dieu merci, sans grand dommage.
Tu vois, y'a pire… C'est page 94 de l'édition Libertalia. Non, je ne triche pas. Mais bon, je vais citer la suite de sa lettre qui commence si benoitement – voyons ce qu'elle appelle une nuit «
sans grand dommage» :
Lundi matin (15 mai)
La nuit a été orageuse, mais, Dieu merci, sans grand dommage. Un seul tué et quatre blessés légèrement. Notre maison s'est effondrée sous les bombes, mais notre écurie, étant au sous-sol n'a rien eu.
Ah OK, une nuit calme, la routine.
J'ai beaucoup apprécié ces textes et la jeune femme est époustouflante. Ça fait vibrer.
Que celles et ceux qui n'ont pas encore lu rougissent de honte, si, mais si.