Les deux films parlent des relations d'hommes dont la vie a été pourrie par leur père, un richissime et talentueux chef d'orchestre, dans le film de coppola, un facteur qui vit avec ses frères chez leurs vieille maman pour cause de catastrophe conjugale, de crise, pour le film belge.
Les deux films m'ont plus indépendamment l'un de l'autre; en les voyants à la suite l'un de l'autre on se retrouve face à une problématique psychologique, les rapports père-fils, pour deux contextes sociaux différents.
Pour le reste, les flamants de la merditude ressemble étrangement aux flamandes des chansons de Brel, mais le film, comme le dit le générique, est "made in flander".