Je viens de lire dans Le Monde qu'Alan Sillitoe est mort à Londres d'un cancer dimanche dernier.
Je me souviens du film Samedi soir et Dimanche matin tiré de son premier roman.
C'est ensuite que je l'ai lu.
Un choc, du Poulaille actualisé et anglais.
Ca changeait des limonades staliniennes et des conneries sur la classe ouvrière disparue, déjà :hinhin:
Ensuite j'ai vu puis lu La solitude d'un coureur de fond, très bien aussi, même mieux sur la forme, mais on est plus vraiment dans le "prolétarien".