Pour pas répéter ce que les camarades citent, je rajoute :
Utopie de Thomas More. :hinhin: C'est de la politique fiction et c'est pas gros.
Dans Les voyages de Gulliver, les chapitres lilliput et Brobdingnag, satire politique de génie.
a écrit :Voyage à Brobdingnag
Gulliver entreprend un deuxième voyage et se retrouve à Brobdingnag, pays peuplé de géants, que l'auteur situe dans l'océan Pacifique entre le Japon et l'Amérique. Du fait de sa petite taille, le héros devient un objet de curiosité pour le roi, la reine et la cour. Il explique au roi le système politique existant en Angleterre. Le souverain critique vivement les institutions anglaises.
Des fleurs pour Algernon. C'est moins politique, mais bon, c'est super bien. Et TOUT "permet de discuter un aspect ou un autre de nos idées". :hinhin:
Dans Asimov, j'ai particulièrement aimé les robots, version courte : en poche, un petit recueil de nouvelles classées de façon évolutive sur des robots de plus en plus sophistiqués au service des hommes... jusqu'à un certain point.
PS (pour commenter certaines oeuvres déjà citées) : Un souvenir ébloui aussi des chroniques martiennes, de ray bradbury, faut que je le relise pour voir s'il me fait toujours cet effet. De même les dépossédés est sans doute le plus directement politique de tous qui permet de discuter flamme révolutionnaire et... thermidor stalinien, écrit par une américaine anarcho-écolo que j'adore.
Mais bon, je m'aperçois qu'on ne te cite tous que des vieux tromblons, des jeunes amateurs de science-fiction auront peut-être des tuyaux plus frais...